Sur l'amour et la mortPatrick Süskind2006

Synopsis

Comment l'amour qui nous abêtit, et qui est potentiellement capable de faire de nous des brutes, peut-il être ressenti et désigné comme le bonheur suprême ? L'amour n'est-il qu'une maladie, et non la plus belle, mais la plus terrible qui soit ? Ou bien est-il un poison dont le dosage décide s'il est bénéfique ou dévastateur ? Au secours, Socrate, au secours ! C'est bien l'amour et son funeste double, la mort, que l'auteur du Parfum a choisi d'embrasser ici dans un même mouvement d'humour et d'audace. L'essayiste en appelle à Goethe, Wagner ou Stendhal, compare les destins d'Orphée et de Jésus qui, tous deux, ont tenté de vaincre la mort au nom de l'amour. Mais c'est surtout le romancier que l'on retrouve avec bonheur dans ce bref essai, lui qui sait, mieux que personne, brosser en quelques lignes des saynètes cocasses et bouleversantes.

Moyenne

16.0

8 votes

BON

2 éditions pour ce livre

2006 Française Editions Fayard (Littérature française)

Traduit par Bernard Lortholary

82 pages

ISBN : 221362691X

Qui a lu ce livre ?

26 membres ont lu ce livre

Aucun membre ne lit ce livre

37 membres veulent lire ce livre

26 membres possèdent ce livre

1 chronique de blog

En vous inscrivant à Livraddict, vous pourrez partager vos chroniques de blog !

3 commentaires

  • Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict

  • avatar EmmieKenza
    18 / 20 Le 28 Mai 2020 à 18:17 EmmieKenza

    C'est court et précis comme j'aime les essais philosophiques. Il y a de très bonnes idées dans celui ci et on comprend tout.

  • avatar Mayaa88
    Le 30 Novembre 2016 à 21:11 Mayaa88

    Lecture très intéressante, c'est juste dommage que ce soit si court. J'ai beaucoup apprécié ma lecture d'autant que l'écriture est simple et fluide.

  • avatar chococahuete
    15 / 20 Le 19 Octobre 2016 à 20:25 chococahuete

    Petit essai philosophique pas prise de tête. Le livre est court, alors qu'habituellement, concernant la philosophie je ne rentre pas du tout dans le texte, voir je comprends l'inverse de ce qui est dit (merci Condillac). Là des phrases claires, des exemples clairs et une question pertinente : "Pourquoi (...) les gens dans les romans ne vont jamais aux cabinets ?"