Synopsis
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A l’origine, Lador se pose la question de l’alimentation vegan, une mode portée par Andonia Dimitrijevic, et imagine un texte qui célébrerait les vertus de la chose pour L’Âge d’Homme. Cependant, bien vite, les contradictions du sujet l’éloignent du prestigieux éditeur. C’est que, comme l’enfer, le vegan est semé de bonnes intentions et contient, en son germe, ses excès, ses exceptions, ses bizarreries et ses impossibilités. Ainsi de l’avocat (le fruit, pas le Genevois) qui heurte la terre plus que la viande de bœuf, AOC suisse il va de soi, et ainsi du reste, car les certitudes, fussent-elles vegan, sont aussi erronées que leur contraire. Lador l’écrit, tout est dans la dialectique du tiraillement. Il faut parfois revenir sur ses pas.
De l’exemple vegan, Lador trace des routes parallèles ou perpendiculaires qui font lien, c’est toute l’étymologie de l’intelligence, avec des sujets dits sociétaux. Ainsi, en toile de fond, on s’aperçoit que l’obsession des minorités conduit à des dérives qu’on peut débattre.
1 édition pour ce livre
2018 Editions Hélice Hélas
Langue française | 264 pages | Sortie : 1er mars 2018 | ISBN : 9782940522620
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