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  • #0 29 Septembre 2016 06:46:07

    Je ne suis pas sûre qu'Eilis n'aime pas prendre de décision.
    Je pense que c'est juste son éducation qui l'a faite comme ca, tout était toujours décidé par les autres, elle n'est pas habitué, à son arrivée à Brooklyn il faut que le prêtre prenne aussi une décision pour elle (les études). Mais au fil des jours elle commence un peu à se dérider mais c'est lent, y a 18 ans de vie drivé par les autres et une éducation à oublier.
  • #0 28 Septembre 2016 22:58:14

    J'ai eu du mal avec les personnages. C'est peut-être juste moi mais je les ai trouvé assez plat ou bien très caricaturaux. C'est peut-être l'une des raisons qui ont fait que ce livre ne m'a pas emballé plus que ça ...
  • #0 28 Septembre 2016 22:47:14

    Kirlan a écrit

    Saloria a écrit

    Kirlan a écrit


    Le pire étant la scène de sexe ! Je crois que c'est à ce moment que j'ai perdu espoir pour Eilis.


    Après relecture rapide du passage, tout était dans le non dit, mais c'est tout de même Eilis qui a ouvert la porte du sous-sol et qui a permis à Tony d'entrer. N'étais-ce donc pas, en partie, sa décision ? Bien que j'admet à avoir de la difficulté à comprendre, dans leur contexte socio-historique, pourquoi ils se sont rendu aussi loins.


    Je ne saurai plus être sûre, mais j'ai eu l'impression qu'elle lui ouvrait la porte plutôt parce que il était devant et que c'était probablement ce qu'il attendait et que du coup "baaah je peux pas dire non ! " plutôt que par envie/pulsion/elle se sent prête à aller plus loin ...


    Je plussoie même si j'avais gardé un soupçon d'espoir pour la fin!

  • #0 28 Septembre 2016 21:46:01

    Elle a du mal à prendre des décisions mais c' est logique quand on est si jeune, qu' on nous met la pression ( elle veut tellement être aussi brillante que Rose ), qu' on se sent responsable ( elle ne veut pas laisser sa mère seule ), et puis il ne faut pas oublier qu' elle est sans figure paternelle - son père est mort depuis je ne sais plus combien d' années. Quatre ans je crois. Devenir une jeune personne accomplie en ne sachant pas à quel saint se vouer, je veux dire sans savoir vraiment comment procéder, qui écouter, ce qui doit être notre rôle ou non, etc; je suis persuadée que ce n' est pas évident.
    Sa nature et son caractère  ne l' aident peut - être pas, mais il faut voir sa situation aussi.

  • #0 28 Septembre 2016 21:35:38

    Saloria a écrit

    Kirlan a écrit

    Parlonslittérature a écrit

    Exactement, elle n'aime pas prendre de décisions, et c'est ce qui m'a sérieusement agacé ^^ !


    Le pire étant la scène de sexe ! Je crois que c'est à ce moment que j'ai perdu espoir pour Eilis.


    Après relecture rapide du passage, tout était dans le non dit, mais c'est tout de même Eilis qui a ouvert la porte du sous-sol et qui a permis à Tony d'entrer. N'étais-ce donc pas, en partie, sa décision ? Bien que j'admet à avoir de la difficulté à comprendre, dans leur contexte socio-historique, pourquoi ils se sont rendu aussi loins.


    Je ne saurai plus être sûre, mais j'ai eu l'impression qu'elle lui ouvrait la porte plutôt parce que il était devant et que c'était probablement ce qu'il attendait et que du coup "baaah je peux pas dire non ! " plutôt que par envie/pulsion/elle se sent prête à aller plus loin ...

  • #0 28 Septembre 2016 21:12:01

    J'ai beaucoup eu de mal a m'attacher aux personnages aussi. Je pense que c'est en partie à cause du fait que la point de vue est extérieur. Mais parfois Eilis m'a agacé par sa naiveté.
    J'ai bien aimé Tony notamment par sa manière de se comporter.
  • #0 28 Septembre 2016 21:10:58

    Kirlan a écrit

    Parlonslittérature a écrit

    Exactement, elle n'aime pas prendre de décisions, et c'est ce qui m'a sérieusement agacé ^^ !


    Le pire étant la scène de sexe ! Je crois que c'est à ce moment que j'ai perdu espoir pour Eilis.


    Après relecture rapide du passage, tout était dans le non dit, mais c'est tout de même Eilis qui a ouvert la porte du sous-sol et qui a permis à Tony d'entrer. N'étais-ce donc pas, en partie, sa décision ? Bien que j'admet à avoir de la difficulté à comprendre, dans leur contexte socio-historique, pourquoi ils se sont rendu aussi loins.

  • #0 28 Septembre 2016 20:59:55

    Parlonslittérature a écrit

    Exactement, elle n'aime pas prendre de décisions, et c'est ce qui m'a sérieusement agacé ^^ !


    Le pire étant la scène de sexe ! Je crois que c'est à ce moment que j'ai perdu espoir pour Eilis.

  • #0 28 Septembre 2016 20:57:46

    Exactement, elle n'aime pas prendre de décisions, et c'est ce qui m'a sérieusement agacé ^^ !
  • #0 28 Septembre 2016 20:54:20

    Parlonslittérature a écrit

    Tony. Au début, je l'ai bien apprécié car il apportait au livre une touche humoristique et du coup quand il était dans le coin, les passages devenaient beaucoup plus intéressants. Sauf lorsqu'il a exigé d'Eilis, qu'ils se marient.


    Justement, j'ai trouvé très intéressant ce côté "Macho" / "Vieille époque". Même si j'ai moins apprécié le personnage car les mœurs ont depuis changé (et que ce ne sont pas les miens), j'ai trouvé le dilemme pour Eilis intéressant (même si au final, on a l'impression qu'elle n'aime pas prendre de décisions)

  • #0 28 Septembre 2016 20:49:50

    Hello,

    Alors moi je n'ai pas été attachée à Eilis. J'ai trouvé qu'elle était trop coincée. Vous me direz que c'est l'époque qui veut cela, mais c'était comme si elle subissait toujours l'histoire dans laquelle elle est impétrée et qu'elle ne sait pas ce qu'elle veut. Elle ne sait pas si elle aime Tony et pourtant elle reste avec lui. Quand elle revient en Irlande elle se rapproche de Jim mais ...mais... Elle m'a agacé !!! Sérieusement elle était trop mièvre à mon goût.

    Tony. Au début, je l'ai bien apprécié car il apportait au livre une touche humoristique et du coup quand il était dans le coin, les passages devenaient beaucoup plus intéressants. Sauf lorsqu'il a exigé d'Eilis, qu'ils se marient.

    Mlle Kelly. La mégère du coin ! Sèche et méfiante.

    Georgina. J'ai bien aimé ce personnage passager, un peu brut de décoffrage mais qu'est-ce que j'ai ri dans cette traversée vers Brooklyn.

    Rose. Son personnage m'a touché. Elle est à la fois attachante, fragile et courageuse. Attachante, car elle met tout en son pouvoir pour que sa soeur trouve un emploi et puisse s'en sortir. Fragile à cause de sa maladie que l'on connaît que vers la fin. Et courageuse, car elle s'est sacrifiée pour rester avec sa mère. ça m'a fait vraiment de la peine pour son destin funeste.
  • #0 28 Septembre 2016 20:49:42

    En ce qui concerne les personnages, ils m'ont semblé assez crédible mais plein de cliché. Mlle Kelly m'a largement exaspéré, elle traite sa vendeuse et Eillis comme si elles étaient à son service, sans compter son comportement vis-à-vis de ses clients. Cela ne m'a pas du tout donné envie de faire un tour dans sa boutique.
    Un des personnages irlandais m'a fait un peu de peine, le pauvre il a rien vu venir.
    Eillis se laisse porter par les décisions que d'autres prennent pour elle. Elle ne veux pas décevoir et par moment je l'aurais bien secoué pour qu'elle décide par elle même. Mais la fin du roman n'est-elle pas sa première vrai décision ?
    Je n'arrive pas savoir si j'apprécie la logeuse ou si au contraire elle m’énerve avec sa curiosité et ses façons de faire.
    En résumé, une petite galerie de personnage avec des défauts et des qualités auxquels je me suis un peu attachée mais pas au point de vouloir les croiser dans la rue.
  • #0 28 Septembre 2016 20:48:05

    J'ai eu de la difficulté à vraiment m'attacher aux personnages. Il n'y a pas vraiment d'emphase sur le profil psychologique. Cependant, les descriptions du quotidien font en sorte que j'ai quand même pu me faire une bonne idée des traits de chacun des personnages. J'ai bien apprécié Eilis à la fin et je salue son courage pour le voyage qu'elle a fait pour trouver du travail loin de sa famille.
  • #0 28 Septembre 2016 20:45:46

    Grizelda a écrit

    Saloria a écrit

    J
    Concernant les pensionnaires, je crois que leur présence ont ajouter toute la vie dont le roman avait besoin .


    Pas mieux je pense pareil, lle apportent un mouvement, une vie, une euphorie parfois qui semble refléter les diverses jeunes filles de l'époque.


    C'est vrai que tout le monde pouvait trouver son compte entre les délurées et les vieilles filles, la propriétaire qui en fait à du mal avec un peu tout le monde, la nouvelle qui est un peu idiote et Eilis au milieu, les scènes de repas était animées !

  • #0 28 Septembre 2016 20:40:32

    Saloria a écrit

    J
    Concernant les pensionnaires, je crois que leur présence ont ajouter toute la vie dont le roman avait besoin .


    Pas mieux je pense pareil, lle apportent un mouvement, une vie, une euphorie parfois qui semble refléter les diverses jeunes filles de l'époque.