Coucou, j'ai terminé
Max hier soir, et j'ai beaucoup apprécié. C'est une lecture que je vous recommande. Je m'attendais à devoir le chroniquer, et ça va être le cas. Il faut que je laisse reposer un peu pour faire une chronique à la hauteur du livre qui ne peut que faire réfléchir.
Et j'ai débuté ma relecture de
Anne... La Maison aux pignons verts, une relecture que je veux faire depuis un moment, et dont je voulais lancer une LC pour
Glace & Fudge, car je voulais une lecture plus légère dans le défi, et ce titre convenait parfaitement. Cependant, quelqu'un d'autre en a lancé une avant moi, et je ne peux que vous inviter à la rejoindre. Pour l'instant, j'ai environ le quart lu, et voici ce que je viens d'en dire sur le topic de la LC:
Bon, après avoir terminé la lecture que je voulais terminer, j'ai enfin débuté ce matin.
J'avais peur que plus de 20 ans plus tard, ça n'opère pas, mais j'aime toujours. Bien sûr, beaucoup moins émerveillée que lorsque j'étais jeune, car je n'ai pas l'effet de surprise, surtout que j'ai regardé la dernière adaptation, et que des choses m'étaient rappelés.
Et j'aime voir comment ceux qui l'entourent se prennent d'attachement petit à petit.
Et comme je vous avais vu parler de son langage, j'ai un peu souri lorsqu'elle dit
Et les gens rient de moi, en plus, parce que j'utilise de grands mots.
Je n'avais pas trop parlé lorsque vous aviez abordé, car je ne me rappelais plus à quel niveau était son langage, mais que je me souvenais, plus jeune qu'Anne, noter des mots plus difficiles, les chercher et noter leur définition, et les utiliser au moins dans mes textes à partir de l'âge d'Anne.
Et là, j'ai porté attention à ses mots, et je ne trouve pas que c'est impossible comme discours pour une fille de 11 ans, et ce, même de nos jours, car, à présent, son plus grand mot est distinguer je crois, ou un dans ces eaux-là. Et oui, une fille de 11 ans peut fort bien y avoir été confronté. Mais il y a des mots plus raffinés que Lucy Maud Montgomery utilise dans ses descriptions, et j'ignore si ça peut jouer sur ce qu'on perçoit du discours.
Et la scène quand Anne se rend chez Rachel, pas le choix d'avoir la même pensée que Marilla quand elle y pense. Malheureusement, je ne peux me rappeler de toutes les sensations de ma première lecture, mais je crois avoir eu cette sensation à l'époque. Et avec le recul, je repère différentes caractéristiques chez les personnages qui font que je pouvais, à différents degrés, me reconnaître dans les différents personnages.
Voilà, j'ai hâte de relire le reste!
Bonnes lectures, et profitez du week-end!