#1000 12 Novembre 2017 21:10:00
Milena19 a écritAh chouette pour Bussi ! =) Nous commençons à avoir des retours positifs à la librairie ;)
Ça ne m'étonne pas du tout :) Tu l'as lu toi ?
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Hello !
Ça y est, je suis venue à bout du dense roman de DOA, Pukhtu, Primo ! Heureusement, après 200/230 pages, la lecture est plus aisée. Mais il faut aimer les récits guerriers...
Le talent de l'auteur est indéniable en revanche, ce roman est terriblement réaliste et d'actualité !
Par contre, je ne pense pas lire le Secundo, car ce n'est pas ma came. Mais pour les amateurs du genre, ça doit être un délice.
Mon avis complet ici.
Une date de part' respectée (presque au jour près), même si ce ne fut pas de tout repos :faischaud
J'ai commencé La brume en août de Robert Domes issu d'une histoire vraie. Voici le résumé :
Qui juge de la valeur d’une vie ? « Si je ne l’avais pas euthanasié, eh bien il aurait simplement été transféré dans une autre institution. » Dr Valentin Faltlhauser, qui a ordonné le meurtre d’Ernst Lossa, pendant son procès.
La Brume en août est un roman allemand inspiré d’une histoire vraie. Celle d’Ernst Lossa, assassiné à l’âge de 14 ans dans un hôpital psychiatrique par les nazis parce qu’il était tzigane. Déjà adapté au cinéma en Allemagne.
Allemagne, 1933. Ernst Lossa vient d’une famille de Tziganes. Les services sociaux l’arrachent à sa famille et le placent dans un orphelinat. Là, le jeune enfant se débat entre les promesses de revoir ses parents et la difficile adaptation à son nouvel environnement. Quoi qu’il fasse, il est jugé comme un enfant à problèmes car ce qui plane sur lui, c’est le regard des adultes qui le jugent « issu d’une race inférieure ». Il sera transféré plusieurs fois d’institution en institution, jusqu’à être interné dans un hôpital psychiatrique. Commence alors son court voyage vers la mort. Cet enfant, parfaitement sain de corps et d’esprit, gentil, résilient, ne pourra jamais comprendre cette grande faute qu’on lui reproche. Après des années de recherches, Robert Domes tisse sur son destin et en son hommage un récit aussi beau que poignant, qui illustre parfaitement une face peu connue de la nazification des esprits dans l’Allemagne des années 1930. Un scandale historique qui aura été largement ignoré à Nuremberg, comme un dossier perdu dans les ténèbres de la Seconde Guerre mondiale.
Bonne fin de dimanche :bisous: