Idées / Suggestions pour le book club

C'est ce BC qui m'a éveillé cette réflexion car perso, s'il avait fait 350 pages, je pense que je l'aurai fini en me disant "plus que 70 pages, allez !" Alors que là, j'étais en mode "pfiou, encore 300 pages d'une réflexion en replay, I CAN'T" XD

Et que si ça avait été une lecture pour moi-même, je m'en fiche, (parfois je prends 6 mois à lire 1 même bouquin !). Mais là le but étant d'échanger...

En plus, tu as tellement de contenu que niveau de l'échange, tu ne sais pas vraiment par quoi commencer, sur quoi te concentrer. Je me suis dit qu'avec un essai plus court, ça permettrait aussi d'avoir des échanges plus suivis et moins déconstruits.

EDIT : Après c'est juste une réflexion hein, et j'adore débattre c'est pour ça que je me permets de répondre à vos posts XD
Quoique vous décidiez, ça m'ira car j'aime trop les essais :pink: pour me plaindre :D

Je crois qu'on tient là le cœur du problème en effet ! :grimaces:
Les marchés n'ont tellement plus confiance qu'on annonce déjà une pénurie de Coper pour 2024. :chut:


Blague à part, je ne pense pas que se focaliser sur le nombre de pages soit la bonne stratégie pour plusieurs raisons :
Déjà j'apprends aux nouvelles (et je rappelle aux anciennes qui ne suivent pas au fond) que le dernier BC Essai a sélectionné un texte très court et très lisible qui ne méritait pas vraiment le titre d'essai du coup donc bon on a déjà donné dans l'excès inverse également merci bien. :goutte:
Ensuite pour un essai le nombre de pages est en soi encore plus tendancieux comme indicateur que pour un roman ou c'est déjà loin d'être très fiable (Harry Potter ? Marchera jamais, trop long pour les gosses. Ils préfèrent lire des petites nouvelles de Maupassant, c'est bien connu.) :euhnon:
Sans même parler du format, de la taille d'écriture et du style, un essai digne de ce nom peut comporter une bibliographie à la fin ainsi qu'une annexe avec des références, des cartes, graphiques et que sais-je encore, le tout étant plus ou moins long par rapport au texte brut (sans rajouter au temps de lecture) et perturbant donc fortement la mesure. :rules2:


Sinon pour l'histoire d'organiser un BC Essai sans thème cela risque de fortement perturber mon OCD d'autiste mais ce sera une occasion de sortir de ma zone de confort et aura peut-être le mérite d'être plus pratique pour la plupart ainsi que de permettre de caser des titres particuliers qui seraient filtrés autrement. :grat:
"Donc moi je dis aux français, allons-y quoi !" :chaispas:

Non mais faut pas abuser non plus, t'as déjà vu quelqu'un proposer un livre de 1500 pages quelque part toi ?
Concrètement on est plus dans la différence entre un livre de 350 pages et un autre de 500, et là désolé mais une fois pris en compte les différences de format, de corps, de ponctuation, d'agencement divers etc c'est kiffe. La différence se fera plutôt dans l'intérêt qu'on y porte, la fluidité de la plume de l'auteur pour nous motiver à lire quelques pages de plus ou de moins.
Accessoirement, le BC Essai est prévu longtemps en amont exprès pour qu'on ait plusieurs mois pour le lire, cet essai. Donc on n'est vraiment pas dans la situation de l'étudiant qui se verrait imposé un pavé indigeste à lire en peu de temps (situation qui n'arrive plus même à Harvard pour l'anecdote tellement les jeunes ne lisent plus), loin de là, surtout qu'on fonctionne démocratiquement et que le nombre de pages figure bien dans les paramètres comparatifs avant de voter.
Mais si tu penses vraiment que c'est le nombre de pages qui joue, la prochaine fois on peut tester comparativement les propositions d'un très cours livre de Wittgenstein réputé pour sa technicité austère et un plus long livre bien commercial de Frédéric Lenoir que je ne peux pas piffer mais qui a beaucoup de succès populaire et on verra ce que ça donne. Moi personnellement j'ai ma petite idée hein. ;)