#9 29 Septembre 2010 20:19:50
Cela va être difficile d'être précis, car bien sûr cela dépend de la longueur du livre, des difficultés (style à rendre, domaine dans lequel se déroule l'histoire, vocabulaire "technique") etc. Pendant des années j'en ai traduit entre trois et quatre par an mais je ne faisais pas que ça, j'étais aussi enseignant. Et je suis quelqu'un qui travaille assez lentement. Disons deux mois pour quelqu'un de plus rapide que moi, qui ne fait que ça et se voit confier un texte qui ne dépasse pas 300 pages et qui ne présente pas de difficultés majeures.
Je crains de ne pas avoir le temps de me relire ce soir et je suis le roi des fautres de frappe, voire des lapsus écrits... désolé d'avance.
J'ai envoyé, mais c'est toujours dans la case "message" alors je continue. Bonjour à tous et à toutes bien sûr, merci d'être là, j'essaierai de répondre à vos questions rapidement et sincèrement.
Merci à Nathalie de m'accueillir sur le site.
Bonjour, Liloochat. Avec grand plaisir, Folfaerie. Les lecteurs de Louis Owens sont rares et d'excellents lecteurs car c'est un auteur difficile. Donc bravo à vous et je suis heureux de voir qu'il continue à vivre par votre lecture.
Bambi_slaughter, merci d'être là, mais vous savez, avec internet, mais oui, la grande culture générale a quand même grandement changé, hier j'ai (dans un Ken bruen) trouvé un nom un peu suspect, et grâce aux moteurs de recherche j'ai appris qu'il sortait tout droit d'un roman de Dickens, associé d'ailleurs avec un jeu de mot qui fait que je ne pourrai pas utiliser le nom qui figure dans la version française du roman. Merci pour ces bons mots concernant Ken. Moi aussi je l'aime beaucoup, il y en a un autre qui va sortir en octobre chez Gallimard "En ce sanctuaire" mais malheureusement cet éditeur abandonne la série (des Jack Taylor, je n'aime pas beaucoup les autres livres). J'essaye de récupérer le livre suivant ("The Devil") mais je ne sais pas encore s'il a été acheté et par quel éditeur.
Bienvenue zazane. Il n'y a aucune honte, vous vous rendez compte du nombre de livres qui paraissent chaque année ? Et nul n'est obligé d'aimer tous les genres. On peut simplement parler traduction, sans forcément pârler de livres précis.