[Mathieu Gaborit] Auteur de Chronique du soupir

  • bubblegirl67

    Chercheur de mots

    Hors ligne

    #41 24 Octobre 2011 20:31:48

    Merci de votre réponse pour les elfes et les nains. Je trouve ça poétique en fait :)
    Pour la mythologie que vous avez des elfes, elle se rapproche de celle que j'ai et qui est principalement sur la base des ouvrages de Tolkien...
    Et dans votre roman je trouve qu'on ressent bien la fragilité d'Errence
  • Mutinelle

    Dompteur de pages

    Hors ligne

    #42 24 Octobre 2011 20:32:07

    J'aime particulièrement la couverture de Chronique du soupire et je l'ai encore plus aimé quand j'ai lu le livre et que je l'ai comprise pleinement. Avez-vous participé à sa création ?
  • Mathieu G.

    Auteur

    Hors ligne

    #43 24 Octobre 2011 20:32:32

    On en revient à l'enfance.
    Mais grandir est un acte douloureux, une forme de renoncement.
  • Mathieu G.

    Auteur

    Hors ligne

    #44 24 Octobre 2011 20:33:09

    Non, Didier Graffet a lu le bouquin et a livré son regard.
    Tant mieux !
  • Mathieu G.

    Auteur

    Hors ligne

    #45 24 Octobre 2011 20:36:08

    La féminité de l'elfe est vraiment intéressante. Longtemps, l'elfe m'a gêné dans ce qu'il pouvait avoir de "kitch", de suranné. L'elfe véhicule d'innombrables images trop éculées. J'ai voulu des elfes marqués, des elfes en prise avec leur époque, en prise avec la drogue, le manque, la peur, etc.
    Tout ce qui peut, d'une façon ou d'une autre, humaniser un peuple identifiée comme "merveilleux" me semble être la meilleure façon de faire exister ledit peuple.
  • nahe

    Petit chimiste des mots

    Hors ligne

    #46 24 Octobre 2011 20:37:30

    Bonsoir,

    j'ai beaucoup apprécié votre livre : le monde créé invite au voyage, même s'il ne s'annonce pas paradisiaque.

    J'ai également apprécié la fin et l'espoir qu'elle renferme.
  • Mathieu G.

    Auteur

    Hors ligne

    #47 24 Octobre 2011 20:38:37

    L'interprétation propre à la Fantasy est dangereuse. Elle peut véhiculer des paramètres qui flirtent avec le racisme. C'est un démon qui est souvent à la lisière du genre et dont il faut se méfier, je trouve. La singularité est essentielle.
  • Mutinelle

    Dompteur de pages

    Hors ligne

    #48 24 Octobre 2011 20:39:18

    Il est effectivement tombé pile poil ! J'imaginais comme ça les fées dans le cœur des nains. Je me suis même demandé ce que ça serait d'avoir uen fée à la place du cœur... Mais quelle imagination !!

    Envisagez-vous une suite ?
  • EloDesigns

    Magicien des lignes

    Hors ligne

    #49 24 Octobre 2011 20:42:48

    Idem que Mutinelle est ce qu'il y aura une suite?
  • Mathieu G.

    Auteur

    Hors ligne

    #50 24 Octobre 2011 20:43:32

    nahe a écrit

    Bonsoir,

    j'ai beaucoup apprécié votre livre : le monde créé invite au voyage, même s'il ne s'annonce pas paradisiaque.

    J'ai également apprécié la fin et l'espoir qu'elle renferme.


    A mes yeux, l'immersion est plus importante que ce qu'elle peut montrer.
    Le décor a de la valeur à condition de puiser aux origines d'un mythe. En l'occurrence, le Souffle. Un décor vit à travers les enjeux du monde. Un décor, seul, serait celui d'un théâtre derrière lequel il n'y aurait rien ou quelques techniciens désoeuvrés.
    Crédibiliser l'univers. Voilà le maître-mot. Mais jamais en l'imposant. On invite quelqu'un dans son univers, on ne le jette pas dedans.
    J'ai conscience que Soupir est un monde complexe qui peut dérouter. Le "comprendre" n'est pas très important. Le ressentir, en revanche, l'est beaucoup plus. Si un lecteur, à un moment ou à un autre, n'a pas été immergé, alors je me suis planté.