[Cyril Massarotto] La petite fille qui aimait la lumière - DISCUSSION

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  • Cyril Massarotto

    Auteur

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    #31 07 Décembre 2011 20:23:12

    le but de ce roman était vraiment la relation entre deux personnages, une enfant qui n'a jamais connu la lumière, et un vieil homme qui croit que la sienne est éteinte

  • Lise

    Mange-mots

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    #32 07 Décembre 2011 20:24:16

    J'ai remarqué en vous lisant que vous ne nommiez pas vos protagonistes.
    Dans La petite fille..., Lumière et Monsieur Papi sont des noms d'emprunt. Ils sont pourtant importants puisqu'ils se sont nommés l'un l'autre.
    D'où vous vient ce goût pour les héros anonymes?

  • bubblegirl67

    Chercheur de mots

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    #33 07 Décembre 2011 20:24:38

    Cyril Massarotto a écrit

    et donc pour répondre a révélation et aliz, les autres, justement, restent indéfinis. c'était une volonté absolue dès le départ. c'est drôle car certains en effet se demandaient si ce n'était pas de la SF, alors que dans mon esprit cela n'en a jamais été


    J'avoue que tout au long de ma lecture, j'ai comparé et assimilé "les autres" à des zombies ou des créatures du même genre.

  • Cyril Massarotto

    Auteur

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    #34 07 Décembre 2011 20:25:02

    donc cajou, non je n'en avais aucune image mentale... disons simplement qu'il représentait le danger et la terreur. peu importe qui ils sont finalement!

  • revelation

    Mange-mots

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    #35 07 Décembre 2011 20:25:12

    et bien c'est très fort d'arriver à fignoler si bien une histoire en ayant un pays "neutre" et des personnages "inconnus" sans jamais se mêler les pinceaux ou partir dans tous les sens...
    ce livre, superbement abouti à mon goût a pleins d'éléments qui me dérangeait de ne pas savoir (le lieu, qui sont les autres) mais vu ainsi : WAHOU !

  • Cyril Massarotto

    Auteur

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    #36 07 Décembre 2011 20:26:11

    Lise, c'est exact. c'est une petite marque de fabrique chez moi, je ne nomme jamais mes héros. dans les livres précédents il s'appelait simplement "je"

  • Cajou

    Puits de lecture

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    #37 07 Décembre 2011 20:26:31

    En effet, si tout cela avait été défini noir sur blanc, cela en aurait fait un roman de SF plutôt qu'un huis clos psychologique, notamment tout simplement en raison du cadre de "fin du monde"... mais c'est justement tout ce qui fait la force de ce roman, je trouve : qu'après la fin du monde, il ne subsiste dans cette maison que... l'amour, le vrai, le beau, le pur, inintéressé et sincère... Je suis vraiment tombée amoureuse de la relation de Monsieur Papi et de Lumière.

  • bubblegirl67

    Chercheur de mots

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    #38 07 Décembre 2011 20:27:15

    Cyril Massarotto a écrit

    Lise, c'est exact. c'est une petite marque de fabrique chez moi, je ne nomme jamais mes héros. dans les livres précédents il s'appelait simplement "je"


    Ah bn Lise m'a coupée l'herbe sous le pied parce que je me demandais si vous aviez en tête un prénom pour "Monsieur Papi".

  • Cyril Massarotto

    Auteur

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    #39 07 Décembre 2011 20:27:33

    là j'ai finalement un peu triché, puisque je leur ai attribué des surnoms... Mais on ne connait pas les vrais!

  • revelation

    Mange-mots

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    #40 07 Décembre 2011 20:27:39

    l'image de la lumière éteinte et allumée : :pink:
    vu comme ça, j'aime encore plus ce livre....
    surtout que j'ai eu une relation lumineuse avec mon grand père...
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