[suivi lecture ] Jutiboli

 
  • Jutiboli

    Bibliophile

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    #71 26 Mars 2013 21:05:46

    Vite lu, à oublier; j'ai trop lu de thrillers ;)
    Comme je lis du Verlaine en même temps... c'est sûr, rien à voir ! 

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  • Jutiboli

    Bibliophile

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    #72 26 Mars 2013 21:11:13

    Nyx a écrit

    En ce moment, rien mais l'an passé j'avais misé sur Quand souffle le vent du nord de Daniel Glattauer et j'avais a-do-ré. Bon par contre c'est une histoire d'amour (virtuelle) alors pas sûre que tu accroches ;).


    Oh si,  à lire le résumé, cela ressemble à Vous avez un message avec Tom Hanks et Meg Ryan. :pink:

  • Jutiboli

    Bibliophile

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    #73 28 Mars 2013 09:23:11

    Bon, Verlaine avance doucement. Pour parodier un message publicitaire, cela se boit avec modération pour mieux l'apprécier. ;)
    Mais que de vocabulaire perdu aujourd'hui, de mots disparus de notre langage courant. Comme évoqué dans une autre discussion qui parlait de correspondance (relire Baudelaire absolument ), les relations épistolaires permettaient une autre mesure du temps. Je vous conseille la lecture de Carl Honoré à ce propos. Son livre s'intitule Eloge de la lenteur; tout un programme.
  • Nyx

    Lecteur du dimanche

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    #74 28 Mars 2013 10:02:35

    Jutiboli a écrit
    Nyx a écrit

    En ce moment, rien mais l'an passé j'avais misé sur Quand souffle le vent du nord de Daniel Glattauer et j'avais a-do-ré. Bon par contre c'est une histoire d'amour (virtuelle) alors pas sûre que tu accroches ;).


    Oh si,  à lire le résumé, cela ressemble à Vous avez un message avec Tom Hanks et Meg Ryan. :pink:


    Je l'ai jamais vu tiens ! Je l'ajoute à ma liste de films à voir du coup, merci ! :)

    Et te lire me donne envie de me replonger dans la poésie. De mémoire, Verlaine est d'excellente compagnie !

  • FloXy

    A moitié noyé sous sa PAL

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    #75 28 Mars 2013 10:23:37

    Jutiboli a écrit

    Comme évoqué dans une autre discussion qui parlait de correspondance (relire Baudelaire absolument ), les relations épistolaires permettaient une autre mesure du temps.


    C'est vrai que c'est intéressant les "vieilles" correspondances, les lettres de la Rochefoucauld, Sévigné,...
    En lire une petite de temps en temps et c'est le dépaysement garanti.


    Jutiboli a écrit

    Je vous conseille la lecture de Carl Honoré à ce propos. Son livre s'intitule Eloge de la lenteur; tout un programme.


    Je ne connais que de nom, mais moi ça me fait penser à La lenteur, mon Kundera préféré.


    Et sinon tu avances bien dans le Kant ? Ouvrage difficile à aborder s'il en est... (Je n'ai lu que le début et l'ai remis à plus tard.)

  • Jutiboli

    Bibliophile

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    #76 28 Mars 2013 20:23:49

    Pour Kant, la lecture est plus compliquée...
    A la fin d'une phrase, je ne me souviens plus du début et je n'ai pas compris un ou deux mots de cette phrase. =D
    Mais cela permet de vider le cerveau de ses idées parasites, ou de les faire avancer. Pour faire un parallèle, c'est comme décanter une bouteille de vin

    Je viens de finir le recueil de Verlaine. Un peu plus facile à lire.
  • Jutiboli

    Bibliophile

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    #77 30 Mars 2013 18:36:17

    Changement de style de lecture encore avec ce roman de Arthur Koestler, le zéro et l'infini.
    <image>

    Résumé:
    Ecrit de 1938 à 1940, paru en France dès 1945, Le Zéro et l'Infini est un des grands « classiques » du xxe siècle, ainsi qu'un best-seller mondial.
    Inspiré des grands procès de Moscou, le roman imagine l'itinéraire d'un responsable communiste, Roubachof, jeté en prison et jugé après avoir été lui-même un « épurateur ».
    A travers ce thème, l'écrivain nous convie à un véritable procès des dictatures et du système totalitaire pour lesquels l'homme n'est rien, un zéro en regard de la collectivité, alors que l'humanisme voit en lui, au contraire, un infini.
    Le Zéro et l'Infini est de ces œuvres dont le temps n'abolit pas la portée.
  • unchocolatdansmonroman

    Mécène des éditeurs

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    #78 31 Mars 2013 06:21:09

    Ce dit être intéressant car le roman a été écrit en pleine période de guerre. Maintenant le manque de recul ne nuit-il pas à la vision qu'offre l'auteur ? Tu nous le diras ;)
    Belle lecture !
  • Jutiboli

    Bibliophile

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    #79 31 Mars 2013 11:15:22

    Jubilatoire pour l'instant après une centaine de pages. Le terme doit vous sembler bizarre mais c'est mon ressenti pour l'instant; le personnage principal, Roubachof, ancien leader communiste à son tour emprisonné a dû être un parfait petit soldat de la cause mais il n'empêche que l'auteur nous le rend attachant.
  • unchocolatdansmonroman

    Mécène des éditeurs

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    #80 31 Mars 2013 11:43:23

    Avant qu'ils ne tombent du côté obscur nombre d'entre eux étaient humains ! Ce doit être intéressant de savoir comment on peut basculer ainsi, la pression ? Une sorte de révélation malsaine ? Le terme "épurateur" me fait peur mais j'ai lu aussi des témoignages de tortionnaires en Algérie et cela m'a soulevé le coeur. Bon ton roman reste une fiction mais parfois la réalité va bien au-delà ...
    Bonne  lecture ;)