Les partenariats, jouissifs ou nocifs ?

A mon sens, pour trois raisons : 1) tout le monde ne ne connait pas ces outils, personnellement je les ai découverts il y a très peu de temps. 2) avec on n'arrive pas à avoir de résultats fiables car rien ne se recoupe, on obtient tout juste une fourchette 3) L'attaché de presse n'a pas toujours le temps d'aller analyser les blogs avec ces outils, au moins il a l'information directement s'il demande au blogueur, et c'est intéressant de voir comment il la présente.

Comme je suis douée, je n'arrive pas à utiliser google analytics... :angel:

Comme dit Well, le nerf de la guerre c'est la visibilité, mais un attaché qui demande les stats peut ne pas les utiliser de façon "brute". Comme on dit dans cette discussion, un blog avec moins de visites en absolu qu'un autre peut avoir d'autres avantages intéressants. Les stats permettent aussi de faire un équilibre entre les "plus vus" et les "un peu moins vus mais bien écrits et au public intéressant".
Le soucis étant qu'on ne sait pas et qu'on ne maîtrise pas du tout ce qu'ils en font derrière :/
Perso quand j'entame une discussion avec un attaché j'essaye d'expliquer ma démarche. Mes styles de lectures, pourquoi ils m'intéressent en tant qu'éditeur (souvent pour un titre précis ou un public précis), pour montrer qu'il y a quelque chose de réfléchi dans ma démarche, pas juste "hey dude je veux un livre gratuit lol". Des fois je me rends compte que j'aurais simplement pu envoyer un mail courtois ça aurait suffi et des fois j'ai des vents monumentaux. :P
J'ai pas eu d'entre deux pour l'instant.
En tout cas je comprends qu'avec la "démocratisation" des SP ils soient tellement assaillis qu'un premier tri sur critère "brut" leur permet de souffler un peu. C'est ce que j'ai regretté en partie avec cette ruée, c'est qu'on n'arrivait plus à avoir des contacts "faciles" avec les attachés après, c'est devenu une gestion de masse chez certains éditeurs et du coup ça n'est agréable pour personne, ça crée du boulot et des frustrations. Après aucun éditeur ne gère de la même façon, donc on peut encore trouver des contacts agréables, heureusement :)

Ben là où j'ai bossé l'attachée était toute seule pour toute la comm' (libraires, journalistes, lecteurs, parler aux auteurs, organiser les festivals, faire les newsletters, etc) et elle avait vraiment pas le temps du coup. Donc je comprends.
Et puis c'est pas toujours facile d'expliquer pourquoi le refus aussi, c'est pas forcément des raisons hyper précises, donc tu pourrais passer du temps à faire une réponse juste pour dire non et ce temps-là tu l'as pas forcément.
Mais c'est dur quand t'es celui qui attend de l'autre côté, sans réponse, c'est clair :/

C'est vrai que la communication n'est pas la meme avec tous les attachés Il y en a des plus ou moins intéressantes et constructives.
Mais bon, ça reste frustrant de s'investir pour... avoir un retour: "Merci pour votre chronique, salut". Limite tu te demandes s'ils la lisent vraiment...
Je peux comprendre ce manque de temps, notamment lors de gros événement comme le salon du livre à Paris.. Mais ça fait partie du boulot aussi, non ? Communiquer avec les blogueurs..

Bizarrement, quand ils avaient besoin de monde pour la grande opération bookcrossing, elle me répondait tous les jours quasiment.. Elle n'en reste pas moins disponible, c'est pas ce que j'entends. Mais parfois j'ai l'impression que les réponses sont plus rapides et plus espacées pour tes chroniques.