#1652 27 Mars 2018 19:02:36
Salut tout le monde !
Je fais un petit point sur mes lectures...alors j'ai abandonné
Patria que je n'ai pas DU TOUT aimé. Je suis arrivée à 100 pages (c'est ma limite minimale disons quand j'ai du mal) et je n'arrive pas à me faire au style de l'auteur. La narration est incompréhensible, l'auteur change de point de vue dans un même paragraphe sans prévenir, on ne sait jamais de quel personne il s'agit au début d'un chapitre parce que ça change tout le temps et y'a aucun moyen de savoir avant d'avoir croisé un prénom. C'est dommage parce que le thème est intéressant mais vraiment je n'y comprends rien...en plus en 100 pages il ne s'est vraiment rien passé donc bon j'ai arrêté la torture :lol:
Entre dimanche et lundi j'ai lu un livre qui paraîtra en avril je crois. Je ne peux pas vous montrer la couverture, je ne suis pas sûre qu'elle soit définitive vu que je ne la trouve nulle part sur le net. Le titre c'est
Le jour où maman m'a présenté Shakespeare de Julien Aranda. J'ai bien aimé l'histoire, c'est un feel good book qui fonctionne bien, l'histoire est sympa. J'ai cependant été très gênée par la narration (décidément). L'auteur a choisi de faire parler son personnage, enfant (il se situerai autour de 10 ans). J'y vois 2 problèmes : le premier est qu le livre est écrit au passé et qu'à la fin de l'histoire "l'enfant" en question a passé son bac et emménagé avec sa copine...donc s'il écrit le livre après ces faits il ne peut décemment pas s'exprimer comme un enfant de 10 ans ! Le 2eme problème est que les tournures de langage utilisée font plutôt penser à un enfant de maternelle : il utilise dans toutes les phrases le double sujet (maman, elle a dit ça. Rita elle a fait ça) et non seulement c'est fatiguant et ça alourdit le texte mais en plus c'est pas crédible à 10 ans...
Alors le livre se lit quand même bien comme je le disais l'histoire est sympa mais ça gâche un peu. En attendant voici le résumé :
Quand on a 10 ans, une mère comédienne amoureuse de Shakespeare, pas de papa et que l’on s’attend à voir débarquer les huissiers d’un jour à l’autre, la vie n’est pas simple. Elle, c’est l’impétuosité de l’artiste pour qui la liberté n’accepte aucun compromis. Lui, c’est la naïveté de l’enfance qui découvre le monde et ses paradoxes. Ils vivent au son de Brassens et s’enivrent des mots de Shakespeare. Avec leur voisine Sabrina, caissière de son état,qui a des « bips plein la tête à force de passer des choses sur son tapis roulant », et Rita, Lulu et Max, comédiens de théâtre, ils forment une famille sur laquelle la mélancolie n’a pas prise. L’art est un refuge à l’absurdité de la vie. Mais, un jour, la réalité des choses frappe à la porte. Comment dès lors vivre au présent sans sombrer dans l’amertume des rêves brisés ? En comprenant que, peut-être, l’essentiel n’est pas l’objectif, mais le chemin parcouru ... Sur fond de crise des subprimes Julien Aranda nous raconte la trajectoire pleine d’espoir d’un petit garçon et de sa mère éprise d’absolu.Ensuite ma fille a voulu choisir un livre de ma PAL pour que je le lise. Sans surprise elle a choisi un livre que je lui avais offert et qu'elle avait adoré :
<image>Je l'ai commencé hier soir et fini cet aprem'. Je me suis régalée ! c'est drôle, c'est fin, c'est plein de créature magique. Vraiment très sympa j'ai passé un bon moment.
Le résumé :
Pip Bartlett possède le don incroyable de parler aux créatures magiques. Un talent qui peut aussi lui jouer des tours, comme la fois où un troupeau de licorne a envahi l'école par sa faute. Suite à cet incident, ses parents l'envoient chez sa tante, une vétérinaire d'un genre très spécial : elle ne soigne que des animaux magiques. Parmi les pégases, les cornebecs ailés et les licornes, Pip est aux anges !
Mais ces vacances paisibles sont bientôt troublées par l'arrivée de poilafeux, des petites bestioles agitées qui peuvent s'embraser à tout moment. A l'aide de son nouvel ami Tomas, Pip doit trouver un moyen de sauver la ville avant que tous ses endroits préférés ne deviennent la proie des flammes !Voilà je vais voir ce que je lis maintenant...je n'oublies pas le tome 2 de HP en anglais mais je dois voir où j'en suis de mes SP...