#1 16 Juin 2018 18:46:13
Bonjour à tous,
Je ne sais pas si beaucoup font ça mais personnellement il m'arrive d'avoir des jets d'inspiration que je m'empresse de mettre par écrit. Ce sont généralement des textes sans suite et dépourvu de sens j'en ai bien peur. Je tiens cependant à en monter un ici. j'accepte volontiers toutes les critiques qu'elles soient positives et négatives !:ok:
Et si quelqu'un aurait envie de me faire partager un de ses jets je serai ravie de les lire !:P
Chut ! Ne dis rien. Je connais la vérité. Et toi aussi, au fond tu le sais. Seulement tu ne veux pas la voir. Tu ne veux pas l'affronter. Comme beaucoup de gens tu as peur de la vérité, peur de ce qu’elle pourrait te révéler. Tu ne veux pas l’affronter ni la connaître. Parce que oui la vérité s’affronte. C’est ce qu’on n’a jamais su, ce sont des mensonges, des secrets enfouis, des douleurs qu’il aurait mieux valu ne pas dévoiler. Comme beaucoup de gens tu as peur de t’engager. Peur du lendemain. Tu vis au jour le jour sans penser à demain. Parce que le futur est imprévu. Et tu as peur de l’imprévu. Peur de ce que tu ne contrôles pas. Que tu ne choisis pas. Et oui dans la vie on n’a pas toujours le choix. Mais qu’est-ce qu’on y peut ?! Absolument rien. La seule chose qu’on peut faire c’est attendre et avancer. Bien sûr comme encore beaucoup de gens tu te dis que c’est facile à dire mais pas facile à faire. Il est vrai qu’avancer quand la route est barrée n’est pas facile d’avancer. Pour te motiver tu pourrais te dire qu’il y a des gens qui n’ont même plus de route parce qu’elle s’est arrêtée, là, brusquement au détour du chemin. Mais non. Tu es comme tout le monde, cette pensée ne te suffit pas. Il t’en faut plus. Toujours plus. Personne ne peut te comprendre. Tu es seul. Et c’est là que tu te trompes. Parce que je suis là. Moi. Je n'ai pas de nom. Je suis Moi. Une partie de toi, ou celle d’un autre ou juste Moi. Va savoir. Alors c’est à ce moment-là que j'entre en scène. Tu es triste, malheureux et sans espoir. Et moi j’arrive. Alors maintenant tu vas te dire que je suis une sorte d’ange gardien qui va veiller sur toi et te protéger. Et voilà. C’est là que tu fais la deuxième erreur. Je n’ai rien d’un ange gardien.