[Suivi lecture] diablounette

Oh la normandie, pas loin de la mer...
Petite chanceuse ^^

Coucou :)

Cette lecture dit aussi qu'il faudrait mettre en couple les gens en fonction de leurs lectures.

Pour ma lecture actuelle, c'est vrai qu'ont à l'impression de lire un magazine. Mais c'est parce qu'il est très coloré, rempli d'illustration et de touches d'humour.

Bonne lecture

:bisous:

Bonjour !

Il est temps de faire un petit point lecture !

Plume Violette : c'est marrant ça cette idée de mettre les gens ensemble en fonction de leurs lectures :) remarque, on a fusionné nos bibliothèques avec mon amoureux et je trouve que nos livres se complètent bien, comme nous :pink:

Lemillefeuilles : oui c'est plutôt très sympa comme lecture Biscotti à Sarasota, j'en reparle plus bas ;)

Que s'est-il passé depuis la semaine dernière ?

J'ai fini La femme du Vème, j'ai écrit la chronique mais je ne l'ai pas encore mise en ligne. La fin du roman bascule vraiment dans quelque chose de très différent de ce que à quoi on peut s'attendre. Au final, j'ai trouvé que ma lecture était agréable car j'avais vraiment envie de savoir ce qu'il en était, mais aussi difficile, car le style de Douglas Kennedy est très différent dans ce roman. Le début est hyper noir et glauque, honnêtement, à un moment je me demandais jusqu'où ça pouvait aller. En ce sens, le titre et la couverture sont très trompeurs car on ne s'attend vraiment pas à ce genre de spirale infernale.
Le personnage principal Harry Ricks est parfois vraiment agaçant, OK, il est dans une sale situation, mais alors, que d'apitoiement sur son sort... en plus il fuit à l'autre bout de la planète plutôt que d'affronter tout ça, ce n'est pas vraiment le genre d'attitude qui me fait avoir de l'empathie pour ce genre de personnage. Sa "femme", même si on la voit peu, en tient une sacrée couche aussi, il n'y en a pas un pour rattraper l'autre dans tout ça !
Quand à la fameuse "femme du Vème", c'est sans doute le personnage le plus intéressant, le plus complexe... et... il faut lire le livre pour le reste =D
Ce roman est intéressant, et même si je n'avais lu qu'un Douglas Kennedy auparavant, ce n'est quand même pas celui qui représente le mieux l'auteur.
Par contre, je maintiens qu'il faut avoir le cœur bien accroché pour lire certains passages, et pourtant je dois voir pire dans les thrillers... mais là ça fait vraiment très "réel" donc encore plus gênant.

J'ai pas mal avancé dans Biscotti à Sarasota et il sera fini très bientôt ! Lew Fonesca, le privé du livre (ah non, il n'est pas détective, c'est vrai) est très attachant. C'est rigolo de vivre avec lui au jour le jour à Sarasota, surtout quand il parle des restos, diner's, bars... en y réfléchissant, on sait ce qu'il mange à chaque repas presque. Bon, par contre, je ne sais vraiment pas d'où sort le titre français !! parce que s'il mange des fois des biscottis, ben c'est pas non plus mentionné à chaque page. Enfin bref, encore un mystère de la traduction... A part ça, c'est un livre plaisant, qui sort du schéma habituel des thrillers, polars... que je lis souvent. Là, c'est vraiment un mec clairement pas super content de sa vie, qui survit tant bien que mal mais qui est plutôt débrouillard, bien que parfois fort imprudent. En tout cas, il est doué pour ce qu'il fait, et vraiment c'est un gars sympa. Le rythme n'est pas trépidant mais correspond exactement à sa vie. L'écriture est très plaisante et même si l'action n'est pas le nerf de la guerre, ça se lit très bien. Reste à savoir si le dénouement me surprendra !

Comme j'avais fini le Douglas Kennedy, j'ai commencé un nouveau livre : Rouletabille chez Krupp de Gaston Leroux. Bien que j'ai dans ma bibliothèque Le mystère de la chambre jaune pas encore lu, j'ai trouvé ce Rouletabille dans une boite à livres et là je me suis lancée. J'ai lu environ 80 pages pour le moment, et j'aime bien. L'écriture est délicieusement "à l'ancienne", ça me fait penser un peu à Maurice Leblanc par moment. Je craignais de ne pas du tout adhérer mais vraiment, je trouve ça super sympa ! (j'en suis presque étonnée). Les chapitres sont plutôt courts, et oui, les personnages peuvent sembler caricaturaux, exagérés, mais c'est un peu le style de l'époque je pense. Personnellement, je trouve ça plutôt rafraichissant de "plonger dans le passé" de cette façon. Et puis, ce Rouletabille c'est un peu le grand-père de tous les romans policiers français en plus :heart:

Coucou diablounette :)

Comment vas-tu ? :)
Pour ma part, tout va plutôt bien puisque je suis toujours en vacances mais tout doucement, l'envie de retourner chez moi se fait sentir donc, je pense que ce n'est qu'une question de jours désormais.
Sinon, contrairement à toi, je suis très saga car cela me permet de passer un peu plus de temps avec des personnages qui m'ont vraiment tapé dans l'oeil et cela permet également de mieux développer l'histoire, en tout cas, pour ceux et celles qui se montrent doués à cet exercice.

En tout cas, pour ma lecture actuelle, cela s'améliore un peu et j'espère que la suite de cette histoire conservera ce petit rythme :)

Sinon, en parcourant ton profil lecture, j'ai repéré Biscotti à Sarasota et son résumé me semble super sympathique.
Toutefois, comme ce livre n'a aucune note et encore moins au niveau des avis, je vais attendre de connaître ton bilan pour savoir si je dois le rajouter dans ma wish-list.

D'ici là, je te souhaite une belle journée, d'excellentes lectures et je te dis à très bientôt :)
Des poutous :pink:

Bonjour,

Un petit point lecture en ce milieu de semaine :)

J'ai terminé Rouletabille chez Krupp la semaine dernière, et quelle bonne surprise ! les soixante dernières pages donnent un tout autre aspect à cette histoire. Jusque là je trouvais le déroulé un peu "facile", il n'y avait pas de vrai rebondissement à mon sens mais la fin en valait la peine. Je lirai d'autres Rouletabille avec plaisir, je dois écrire ma chronique pour essayer de bien le vendre =D

Comme j'ai fini ce livre et que j'en ai toujours 2 en cours, j'ai entamé L'Hystéricon de Christophe Bigot : ce roman raconte l'histoire de 10 jeunes d'une vingtaine d'années qui se retrouvent bloqués dans un coin de de Bretagne sans télé ni Internet à cause d'un mouvement social. Comme les soirées sont longues, ils décident de se raconter à tour de rôle une histoire vraie, étonnante, et d'en débattre ensuite.
J'en suis environ à 80 pages, et j'aime vraiment beaucoup cette histoire, c'est très bien raconté. Bon, par contre, c'est parfois un peu "intellectuel" dans le sens où les jeunes que je connais de cet âge ne parlent absolument pas de cette façon. Certes, ils font tous des études de lettre, de droit... et sont plutôt cultivés, mais parfois, ce côté "je me la pète" peut agacer. Cela dit, ça m'énerve aussi chez Amélie Nothomb mais je fais abstraction de ça car comme pour elle, j'aime beaucoup la façon d'écrire de Christophe Bigot. En fait c'est paradoxal car c'est une écriture simple mais qui se la raconte par moments.
J'ai hâte de continuer ! certains personnages sont super agaçants, j'adore ! =D

J'ai continué La consolante à petites doses. Pour le moment, je ne comprends pas bien ce que raconte vraiment ce livre, j'ai lu environ 70 pages, mais je le reprends avec beaucoup moins de plaisir que L'hystéricon. L'écriture d'Anna Gavalda est particulière, elle supprime régulièrement les pronoms personnels dans les phrases et c'est super bizarre je trouve (et pas nécessaire à mon sens). Ca donne des phrases comme : "Regardait par dessus son épaule", si c'était isolé ce serait moins gênant, mais là ça se répète souvent et ça me perturbe. Il y a des moments vraiment intéressants, mais en gros, je trouve que le personnage principal s'apitoie beaucoup sur son sort. Bon, il a l'air de souffrir de plein de choses, de vieux souvenirs qui l'assaillent, il est clairement malheureux, et il reste encore beaucoup de pages pour éclaircir tout ça. On verra bien !