Hey, y a eu du mouvement ici ! :D
Grominou > Ah oui, si tu n'as pas apprécié le personnage principal, c'est compréhensible :) Pour Stephen King, je n'ai pas lu énormément de ses livres, et en film je n'ai vu que Ca, Carrie et Shinning ! Et pas de souci pour le squattage, faites-vous plaisir !
Catysprint > Ahah c'est vrai qu'elle est imposante, et encore elle n'est même pas complète sur Livraddict xD J'en ai 243 en vérité ! Oui, j'ai vu les posts mais je n'ai pas encore eu la motivation de m'inscrire :lol:
Je comprend tout à fait ton ressenti des images du film qui s'imposent lors de la lecture. J'aime imaginer les choses que je lis et je n'aime pas trop quand c'est imposé. Et oui, le Hobbit apparemment ce n'est pas super. Je n'ai regardé que le film, j'ai un livre dans ma PAL.
Cendre > Le visionnage de ces films remonte, j'avoue ne pas avoir tant de souvenirs que ça...
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J'ai donc terminé Léonard et la machine infernale et c'était bien sympa ! La chronique est écrite, elle sera postée demain.
Hier, je me suis décidé au dernier moment pour La petite fille dans le placard de Marie Lincourt, et il a été terminé au bout d'une petite heure seulement. J'ai eu quelques difficultés avec le style, certains moments sont très peu détaillés, c'est assez fouillis... :(
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Parce qu'elle a attrapé la rougeole et pourrait contaminer son petit frère, Laurence, six ans, est enfermée dans un grand placard avec, pour seule compagnie, son ours en peluche. Les jours s'étirent dans la solitude, au gré des humiliations et des coups. Martyrisée, affamée, Laurence attend, espère, rêve qu'on viendra la délivrer... avant qu'il ne soit trop tard. Le récit poignant et pourtant plein de vie d'une enfant oubliée qui ne demande qu'à être aimée...
- Fiche Livraddict -
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J'hésite donc entre deux livres pour ma prochaine lecture... Si vous avez une préférence, dites-le moi !
<image>" Pendant les deux années qui suivirent le divorce, maman m'emmena de plus en plus vers l'ouest, comme à la poursuite du soleil couchant, déménageant d'un lieu à l'autre. Elle était hantée par la terreur de me voir enlevé par mon père, alors que ses craintes étaient, en réalité, infondées. C'était à la lettre une vie "au vent mauvais, pareille à deux feuilles mortes...", mais j'en ai gardé un souvenir flou. Probablement les déménagements étaient-ils si fréquents qu'aucun lieu n'avait le temps de m'impressionner. Or, nous étions à K. depuis déjà six mois quand Tête-de-mule débarqua à l'improviste. "
Un homme d'une quarantaine d'années se souvient de son enfance. Seul avec sa mère, lorsqu'il n'avait qu'une dizaine d'années, il a reçu la visite de son grand-père, surnommé Tête-de-mule, venu mourir près d'eux. Le vieil homme, au comportement mystérieux, évoque sa jeunesse devant le petit garçon. Une atmosphère poétique se dégage de cette rencontre chaleureuse, inattendue. Sans bien comprendre l'existence de sa mère, sur laquelle l'enfant dispose d'indices étranges, il décrit les événements quotidiens que vit cette famille atypique.
- Fiche Livraddict -
<image>À la suite d'une crise de démence, consécutive à la tentative de suicide de l'une de ses maîtresses et du départ de son épouse, Eric Meyer, un homme d'affaire égoïste, odieux et cocaïnomane, se retrouve interné dans un hôpital psychiatrique. Ses confrontations avec des patients et dialogues avec un psychiatre, le docteur Robert Kaplan, le poussent à révéler une mémoire parentale, ancienne et douloureuse, qui coïncide avec celle du médecin. Or, si le premier a tenté d'éradiquer le passé de ses parents, au risque de la folie, le second en a fait un instrument de sagesse et de connaissance de soi et des autres. Très intelligemment construit, subtilement drôle, ce roman qui frôle le thriller psychologique, nous fait découvrir la multiplicité des méthodes qu'a l'être humain d'utiliser ou de subir, de manière consciente ou non, son passé familial et de tenter d'échapper à lui-même. Au centre de ce « temps égaré », l'hôpital psychiatrique est le lieu de toutes les expériences et de toutes les renaissances. Un temps égaré est un livre qui fait du bien ; un baume qui enseigne que la relation à l'autre reste, et quel que soit le degré de l'égarement, est toujours possible.
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