[Suivi lecture] Miyuki_

 
  • Invité

    Invité

    #61 11 Mai 2020 19:08:30

    J'apprends aussi à me méfier de ce qui est trop vendu. Du coup, quand je trouve une personne qui aime relativement les mêmes choses que moi, j'ai tout de suite un peu plus confiance. (Genre 90% des lectures de Cendre finissent dans ma WL... ce qui ne lui fait pas du bien !)
    Et oui la romance, elle est cramée depuis la première apparition du type (dont j'ai oublié le nom) et elle n'est même pas chou je trouve... Il manque de l’authenticité pour que ça sonne vrai.

    Ohhhhh je suis passée dans ma librairie pour faire un achat livresque et j'ai également pris la Horde du Contrevent mdr.

  • Patate_suisse

    Chercheur de mots

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    #62 11 Mai 2020 19:22:57

    Coucou,

    J'espère que la lecture de la Horde du Contrevent te plaira :) C'était une sacrée claque en ce qui me concerne.

    Bonne lecture <3
  • Cendre

    Gollum littéraire

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    #63 11 Mai 2020 20:15:32

    Noemie.lsth a écrit

    Wonderbooks_wonderland : OMG UNE ALLIEE CONTRE THE MORTAL INSTRUMENT O_o


    :cachecache: On est 3 !
    Bon, j'ai prévu de relire le T3 et de commencer le T4 pour le challenge Pyramide "créatures légendaires"(la pyramides de la bit lit et de l'urban fanstsy en gros). La fille qui aime souffrir. Je ne sais pas si je ne vais pas changer pour un tome de Mercy Thompson qui a été merveilleusement bien vendu lors du bookclub oral de samedi. Au moins pour le T4 car apparemment c'est le début d'un 2ème arc narratif.

    D'autant plus, que je me suis faite spoiler volontairement le tome 3.


    Lol, la bonne excuse pour pas lire la suite :P

    tu auras plutôt l'impression de lire un livre d'horreur chair de poule !


    Ahah mais tellement !

    Super pour le drive de ta biblio. Je sens que ca va faire comme quand McDo a rouvert son drive :P
    Serais tu isncrite au BC de juin ? :)
    Je ne connais pas tes autres lectures. Ceci dit j'ai vu le nom de Jirô Taniguchi et donc j'ai hate de voir ton avis.

  • Wonderbooks_

    Bookworm

    Hors ligne

    #64 11 Mai 2020 20:28:22

    Mais purée vous pouvez pas savoir à quel point je suis heureuse de ne pas être la seul anti-TMI sur ce forum =D Je suis aussi dans la team Myopie, sans mes lunettes, je vois que dalle ! :faischaud

    Trop contente d'avoir pu te faire découvrir Vénus le podcast :heart: Il est génial !

    C'est malin !!! A parler de Code lyoko, tu m'as mis le générique en tête (on ira, on saura, sauver notre existence, pour trouver une chance de nous échapper... Code lyoko tout reprogrammer, Code Lyoko un monde sans danger :lol:). Il faut savoir que j'ai le talent de le connaître par cœur.

    Sinon, ma biblio va aussi adopter le drive biblio à partir du 19 mai. J'ai hâte !!! :angel:
  • LittleGuizmo

    Magicien des lignes

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    #65 11 Mai 2020 21:49:21

    Donc je ne suis pas la seule à na pas aimmer TMI ???
    Je rejoins votre club !! :D

    Cool que tu ai récupéré la horde du contre vent ! J'imagine que tu participe au book club de juin toi aussi ? :)

    Belle lecture à toi !
  • Miyuki_

    Gastronome littéraire

    Hors ligne

    #66 17 Mai 2020 10:22:46

    Cendre & Guizmo : Yes, c’est mon premier book club livraddict d’ailleurs. Pour une fois que j’aime le sujet et que je peux récupérer le livre adéquat !

    Cette semaine, il n’y aura pas de top 5 pour la simple et bonne raison que je n’ai pas suffisamment de livres à présenter. J’ai beau fouiller, je ne trouve pas. Ce sera pour la prochaine fois, tant pis ! Et donc, commençons l’update lecture parce qu’il se trouve que j’ai pas mal de choses à dire.






    <image>Et plus encore, Patrick Ness, Ed. Gallimard jeunesse

    « Un garçon se noie dans l'océan, désespéré et seul. Il meurt. Puis il se réveille, endolori, mais vivant. Comment est-ce possible? Quel est cet endroit étrange, complètement désert, dans lequel il se trouve? Se pourrait-il que ce ne soit pas la fin? Seth cherche à comprendre ce qui lui arrive, démêlant le réel de l'iréel, pour trouver un sens à sa vie. »

    J’ai toujours cette image imprimée dans mon cerveau du moment où j’ai terminé Quelques minutes après minuit de Patrick Ness ; dans ma chambre d’internat, les larmes aux yeux, l’envie d’enfouir ma tête dans mon oreiller pour pleurer toutes les larmes de mon corps, le cœur en vrac. C’était en décembre 2017.

    Deux ans plus tard, alors que je vais à mon premier salon littéraire à Paris, je fais un passage chez Gibert Joseph, une grande librairie où on trouve des livres neufs et d’occasions. Et en cherchant dans les rayons, je trouve Et plus encore.

    Et puis, il reste là à prendre la poussière.

    S’il y a quand même un avantage au confinement et à la fermeture des bibliothèques, c’est que je peux déterrer les vieux livres de ma pile à lire. Et donc, me voilà à lire un second livre de Patrick Ness, espérant ne pas ressortir de ma lecture dans le même état que la dernière fois. Mais, quand même, je ne me vois pas finir une livre de cet auteur sans être secouée.

    Et c’est le cas. Enfin, il y a un mais.

    L’histoire est donc celle de Seth qui se noie. Les premières pages ne laissent aucunement place au doute. Seth n’a aucune chance de s’en sortir, pouvoir sortir de l’eau comme si de rien n’était. Et déjà, rien que ça c’est plutôt remuant.

    Seulement, il se réveille dans un endroit qui lui est totalement inconnu et notre protagoniste va devoir apprendre à s’accommoder à son nouvel environnement.

    Et si j’ai aimé suivre ses aventures, je me suis toujours sentie osciller entre deux eaux, deux sentiments qui pouvaient faire basculer ma lecture dans le bon ou dans le mauvais. J’avais peur que l’auteur puisse me mentir et que sous prétexte qu’il s’agisse de littérature jeunesse, il y ait des facilités. Je ne dirais rien de plus là-dessus pour ne pas spoiler. Mais sur ce point, je suis mitigée mais, c’est loin d’être une catastrophe pour autant.

    Par contre, point positif : Patrick Ness aborde beaucoup de sujets qui n’apparaissent pas beaucoup dans la littérature jeunesse : le revengeporn, les maltraitances, l’immigration, le deuil, etc. Et ce, sans jamais tomber dans le pathétique ou en le faisant de manière maladroite.

    J’ai aussi beaucoup aimé la réflexion sur les avancées technologiques et scientifiques, jusqu’où on peut aller pour éviter de souffrir, jusqu’où on peut aller pour se mentir pour éviter d’affronter la réalité en face.

    Autre truc qui est super cool et dont on parlait récemment sur le suivi de Mange-Nuages, la représentation ! (et surtout quand elle est bien faite) On a des personnages qui sont homosexuels, noirs, etc … Patrick Ness ne définit pas uniquement ses personnages par leur couleur de peau, leur orientation sexuelle, etc. Ils ont une véritable identité et ça c’est chouette.

    Et c’est aussi rare pour que ce soit souligné, il n’y a pas une foutu romance sortie du chapeau du Lièvre de Mars qui n’a rien à faire là et qui n’apporte rien à l’histoire. Patrick Ness parvient à tisser des liens forts entre ses personnages, des liens d’amour, sans pour autant que ça se termine en romance avec des papillons dans le ventre et des petits bisous. Rien que pour ça, auteurs et éditeurs, prenez exemple sur ce livre. Dans la vie, tu peux aimer des personnes sans que ce soit automatiquement une histoire charnelle. L'amour prend plein de formes différentes et je trouve ça tellement dingue que lorsqu'un auteur ne met pas de romance dans son histoire, je doive sortir les cotillons et les serpentins pour faire la fête.

    Bref, c’était une bonne lecture avec ses qualités et ses défauts. Et même si on est pas sur le même niveau que Quelques minutes après minuit, je continuerai à découvrir Patrick Ness rien que pour la représentation qu’il met en place et ses réflexions sur notre environnement.

    PS : Néanmoins, si vous lisez ce livre, préparez-vous à vous assommer avec un dictionnaire parce niveau coquilles, c’est un peu la fête. Gallimard, vous vendez des milliers d’exemplaires de livres, vous publiez des sagas à succès (Un petit sorcier à lunettes, pour ne citer que lui), ne me faites pas le coup de on n’avait plus de budget pour engager un correcteur.

    Prochaine lecture : La fameuse Horde du contrevent de Alain Damasio pour le book club LA du mois de juin ! Toutefois, je n'exclue pas l'éventualité de vous faire un petit post pour un update lecture spécial mangas parce que j'ai un super titre à conseiller !

    Dernière modification par Noemie.lsth (17 Mai 2020 13:12:04)

  • Aealo

    Lecteur fou

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    #67 18 Mai 2020 11:37:31

    @Noemie.lsth : Salut!

    J'avoue que je réfléchis à un top 5 mais que j'ai du mal car SF ne veut pas dire futur... Donc ça se révèle plus compliqué que prévu... Donc pas certain qu'il y en aura un de mon côté non plus... :goutte:

    Mais du coup, je laisse quand même Et plus encore dans ma WL en me disant qu'il ne faudra pas en attendre trop. (et un dico!) ;)
    Figure-toi que je parlais en partie de ça avec @Cendre : qu'il n'y avait pas forcément besoin d'un physique (mais on pourrait y ajouter leur orientation sexuelle, etc.) pour adhérer à un personnage et s'identifier à lui. Pour peu que lui soit donné un passé, des valeurs convenables, des liens forts, cela peut être amplement suffisant pour s'identifier à lui... C'est agréable de savoir ça de Patrick Ness.

    Je ne connaissais pas le Lièvre de Mars... ;)

    Aaaaah... La Horde du contrevent de Alain Damasio :pink:, je vais te dire ce qu'on m'a dit quand je l'ai lu il y a quelques années : Je vous envie de découvrir ce livre pour la première fois... :pink: Un livre qui a compté beaucoup pour moi...

    Je te souhaite (sans trop me mouiller) une bonne lecture!
  • Miyuki_

    Gastronome littéraire

    Hors ligne

    #68 18 Mai 2020 13:20:42

    Aealo : A part Sirius ou encore Shangri-La, je n'ai pas tellement de titres qui se déroulent dans le futur. Le reste est assez vague et donc, c'est compliqué de les placer dans une fresque chronologique.

    Mais totalement d'accord ! Seth est un personnage incroyablement banal pourtant on s'y attache. Et plus encore n'est pas le meilleur roman de Patrick Ness mais il est en cool quand même. En revanche Quelques minutes après minuit :heart:






    Quand j’avais onze ans, j’ai reçu mon premier manga. Je me souviens encore du titre, il s’agissait de Tokyo Mew Mew à la mode, un titre so girly avec une couverture qui sent le shojo magical girl à mille kilomètres à la ronde.

    Après ça, je n’ai pas cessé d’en lire. J’en avais quelques-uns dans ma bibliothèque que j’ai lu, relu et encore relu. Les mangas, ça m’a en quelque sorte sauvée quand j’étais harcelée au collègue plus jeune. Je pouvais voyager dans des mondes magiques, drôles, avec mille et une péripéties. Cependant, j’ai évolué et mes goûts ont changé.

    Désormais, je ne cherche plus des shojo où mes convictions féministes sont mises à rude épreuve. Pareil pour les shonen des grands magazines tels que le Shonen Jump. Ce qui me tente le plus, ce sont les seinen. Et j’ai terminé une super saga il y a peu !



    <image>Le sommet des dieux, Jiro Taniguchi et Baku Yumemakura, Ed. Kana (saga terminée en cinq tomes)

    « Quand les hommes font face à la nature, c’est d’abord eux qu’ils affrontent. Qui mieux que Jirô Taniguchi pourrait nous le faire comprendre ? A travers le regard et les souvenirs du héros-photographe Fukamachi Makoto, le lecteur pénètre dans un monde à part où cohabitent la dure loi de la montagne et la folle passion des hommes. »

    Le nom de Jirô Taniguchi m’était inconnu avant d’entendre parler du Sommet des dieux. J’étais très dubitative à l’idée qu’il y ait un manga sur l’alpinisme. Personnellement, j’ai d’horribles souvenirs liés à la montagne. J’ai le vertige et je déteste avoir froid. Je n’étais absolument pas prédestinée à aimer un tel titre. Et pourtant, je me suis prise une grosse claque !

    On va commencer par le commencement, ce qui fait que je vais prendre une lecture illustrée ou pas : le graphisme. Personnellement, quand je choisis mes mangas, bande-dessinées ou autres, je fais très attention au trait, au coup de crayon de l’artiste. L’histoire pourrait être géniale si le dessin ne me plaît pas, je ne m’y intéresse pas. Puisque dans ce cas précis, je préfère prendre un roman.

    Je suis particulièrement difficile en terme de dessins et pourtant, un enfant de cinq ans dessine mieux que moi. (j’en suis toujours à mettre des lunettes de soleil aux soleils sur les coins de feuille, parce que bon, faudrait quand même pas qu’il se crame la rétine le petit astre) J’aime tout particulièrement les traits doux, ronds. L’exemple parfait est celui de L’enfant et le maudit de Nagabe. Alors quand j’ai vu que Jirô Taniguchi prenait le sens inverse de ce que j’aime, c’est-à-dire, un dessin très anguleux, marqués, j’ai encore un peu grimacé.

    Décidément, c’était très mal parti pour Le sommet des dieux.

    Mais ce qui m’a vraiment convaincue, ce sont les arrière-plans. Ces dessins de montagne d’une pureté et d’une beauté à couper le souffle. Et je ne me suis pas posée davantage de questions. Des sommets, des pics vertigineux, ça m’a suffi.

    Mais avoir de beaux paysages ce n’est pas tout ! Il faut également une bonne intrigue et ça, c’était pas un soucis pour Le sommet des dieux. Après tout, il s’agit d’une adaptation en manga d’un célèbre roman de Baku Yumemakura et j’ai été plus que happée par cette histoire.

    En plus de son scénario qui sait tenir son lecteur, il y a plein de petites informations distillées sur l’alpinisme. On apprend plein de trucs et j’aurai jamais cru dire ça un jour mais, c’est passionnant ! J’imaginais déjà toutes les difficultés que l’organisme subit lorsqu’on se trouve en haute altitude mais, là j’ai encore appris un tas de choses.

    Bref, Le sommet des dieux, c’est un manga extrêmement exigeant. Certes, on ne le lit pas comme un shojo où le but de l’histoire est de trouver le grand amour ou encore comme un shonen qui fait prévaloir le pouvoir de l’amitié. Mais, c’est une œuvre qui donne des frissons, qui donne froid dans le dos, qui nous confronte à l’humain dans ce qu’il peut faire de plus merveilleux, mais aussi dans ce qu’il y a de pire. Confrontés à l’orgueil, la vanité, la peur mais aussi la passion, toute la beauté de la nature ; si pure et si impitoyable.

    Je ne peux que le recommander même si je vois des sourcils se hausser à la vue d’un manga qui traite d’alpinisme, un sujet pour le moins inhabituel. Tester Le sommet des dieux, c’est l’adopter. Et puis un petit voyage au Népal, dans les pics les plus hauts de l’Himalaya, c’est dépaysant, non ? En plus, c'est que cinq tomes, je dis ça, je ne dis rien !

    Après avoir parlé en long et en large de montagnes, on va parler très brièvement titans.



    <image>L’attaque des titans, tome 2, Hajime Isayama, Ed. Pika

    « Cinq ans après l'attaque de la forteresse, l’humanité subit un nouvel assaut des titans. La bataille fait rage et Mikasa ne sait pas encore qu’Eren a été victime de l’un d’eux. Lorsqu’elle l’apprend, bouleversée, elle perd sa lucidité et dans un accès de désespoir, s’élance sauvagement dans un assaut à corps perdu. Tombant à terre, elle se retrouve à la merci d’un titan. Mais alors qu’elle s’apprête à mourir, se produit quelque chose de totalement inattendu ! »

    L’histoire que j’ai avec L’attaque des titans est compliquée. J’ai regardé le premier épisode de l’animé. Et bien, je me suis demandée comment j’allais terminer le premier épisode. C’était très visuel !

    Après l’avoir vu passer à maintes reprises sur livraddict, je me suis dit que j’allais dépasser mes à priori là-dessus.

    L’attaque des titans n’a, de mon point de vue, pas grand-chose. Si ce n’est un effet page-turner puissant et une maitrise du suspense qui m’a donné envie de me jeter sur le second tome dès la fin du premier. Ironie du sort, j’avais emprunté le tome un juste avant le confinement.

    Et me voici avec le tome deux entre les mains.

    Au final, j’ai bien aimé le tome deux mais, j’ai pas mal de réserves. Première grosse réserve, la plus importante : le graphisme ! Bon sang que je trouve le trait brouillon. On a du mal à déchiffrer l’action. Par contre, quand le mangaka veut, il est très visuel ! Des corps déchiquetés à gogo, on aurait du mal de faire davantage dans la sobriété.

    Par contre, j’ai hâte que l’histoire démarre enfin et qu’on laisse de côté le sang, les boyaux et qu’on en apprenne plus sur les titans.

    Bref, affaire à suivre ! Surtout que la série est longue et loin d’être terminée (mais dans quoi je me suis lancée ?)

    Dernière modification par Noemie.lsth (19 Mai 2020 15:43:55)

  • LittleGuizmo

    Magicien des lignes

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    #69 18 Mai 2020 13:45:55

    Coucou !!

    Je n'ai jamais lu le sommet des dieux, pourtant ce n'est pas faute de l'avoir eu sous le nez puisque j'ai travailler en librairie spé BD/Manga, mais je n'ai jamais eu le déclic de le lire alors que pourtant les mangas j'aime ça. Quand la bibliothèque sera de nouveau ouverte je vais remercier à cela et je le lirais !

    Belle lecture à toi !
  • Wonderbooks_

    Bookworm

    Hors ligne

    #70 18 Mai 2020 18:04:46

    QUOI ????? C'est la première fois que je vois quelqu'un parler de fautes d'orthographe dans un livre. O_O Venant d'une maison d'édition "boss du game" comme Gallimard, ça me surprend franchement. :jeboude:
    J'avais tenté la Horde du Contrevent pour ma part... J'ai tenu 100 pages. :tetemur: Vraiment moi les bouquins longs comme ça, c'est définitivement pas ma cam ! :'S

    Je suis d'accord avec toi pour les shojos ! J'en ai marre de lire des choses dans ce genre car j'ai vraiment du mal à trouver chaussure à mon pied. :pleur: Ou c'est cliché voire cliché problématique ou c'est à la limite du sexisme. Sur ce, je peux te conseiller Aromantic (love) story, un manga plutôt intéressant qui s'amuse avec les codes du shojo tout en  partageant des idées féministes et pour la visibilité des minorités.