[suivi lecture] Exuline

 
  • Exuline

    Tourneur de pages compulsif

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    #721 04 Juin 2025 10:02:55

    <image> Les vies de Lee Miller - Antony Penrose

    Tour à tour muse de Man Ray, photographe de mode pour Vogue et correspondante de guerre suivant l'avancée des alliés des plages de Normandie jusqu'aux camps de Dachau, la photographe Lee Miller est ici racontée par son fils, Anthoy Penrose, dans un récit passionant largement illustré par des cahiers des photographies issues de l'ensemble de sa carrière.

    Quelle femme. Quelle vie. Quelle force.
    Dans cette biographie intime écrite par son propre fils, Antony Penrose, on ne lit pas seulement la vie de Lee Miller : on la traverse. Et elle nous traverse.

    Modèle, muse, photographe, reporter de guerre, artiste surréaliste, amante libre, épouse à l’ombre, mère absente… Lee Miller n’a pas eu une vie, mais une mosaïque d’existences, toutes aussi saisissantes que contradictoires. Le fil conducteur ? Son regard. Sa manière de capturer la réalité et de l’affronter, même dans l’horreur. Ses photos des camps de concentration, son engagement pendant la Seconde Guerre mondiale, tout cela est raconté ici avec une émotion retenue, pudique, mais bouleversante.

    Antony Penrose ne cherche pas à canoniser sa mère. Il en dévoile aussi les fêlures, les absences, les zones d’ombre, et cette douleur muette qu’elle a portée longtemps après la guerre. C’est d’ailleurs ce tiraillement entre liberté et souffrance, génie et silence, qui rend ce portrait si humain.

    Antony Penrose retrace ici cette trajectoire vertigineuse avec sincérité et douleur, mêlant souvenirs, lettres, extraits de journaux intimes et photographies. Ce n’est pas seulement le portrait d’une mère, mais celui d’un génie féminin de la photographie, d’une icône en avance sur son temps, libre dans son corps, libre dans sa tête, croqueuse d’hommes et d’idées, mais profondément instable et parfois insupportable.

    Lee Miller traverse le XXe siècle comme une tornade : modèle chez Vogue, muse de Man Ray, photographe de guerre aux côtés de l’armée américaine, témoin direct des horreurs des camps de concentration. Sa vie est faite de beauté, d’art, de musique, de sensualité, mais aussi de chaos. Elle plonge, elle remonte, elle s'effondre, elle éclaire.

    Et pourtant, malgré sa liberté revendiquée, elle reste prisonnière de son éducation bourgeoise, de ses traumas, de son besoin de reconnaissance. Elle hurle en silence, claque des portes, fuit les responsabilités, et laisse derrière elle beaucoup de cœurs cabossés.

    Ce n’est pas une femme parfaite. C’est une femme complexe, égoïste, solaire, déchirée, brillante. Et c’est ce qui rend cette lecture inoubliable. Loin du biopic Lee Miller que j’ai adoré — et que je vous conseille vivement de voir — ce livre ne l’idéalise jamais. Il la déshabille au contraire, dans toute sa vérité, sans filtre ni fard. J’ai été souvent agacée, souvent admirative, parfois choquée. Mais surtout, j’ai appris. Beaucoup.

    Lee Miller a réellement vécu plusieurs vies, et en refermant ce livre, une question persiste — a-t-elle été heureuse ? Je n’en suis pas certaine. À chaque étape de sa vie, elle est allée au bout de ses désirs, de ses passions, de ses excès. Indépendante, insaisissable, fascinante et parfois détestable, elle était aussi rongée par des démons profonds qui la ramenaient régulièrement vers l’alcool et la dépression.

    Une lecture fascinante, déroutante, émouvante. Un récit d’une richesse folle, comme la femme qu’il raconte.
    Un livre important, pour redonner sa voix à une femme qui en a trop souvent été privée.
    Une lecture viscérale, féminine, artistique, historique.
  • Claire C

    Passionné du papier

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    #722 04 Juin 2025 12:44:34

    Olalala, alors là direct en wish !!!!!
  • Kah Rane

    Mécène des éditeurs

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    #723 06 Juin 2025 10:54:10

    Bonjour Exuline :)

    J'espère que tout va bien car de mon côté, oui, même si tout s'emballe dans le domaine professionnel :)
    Mais bon, je me connais, je vais tout affronter de front et je sais que je vais m'en sortir donc... je ne m'inquiète pas vraiment :)

    Concernant ma lecture en cours, j'ai enchaîné hier avec la seconde personne principale du roman et je change complètement d'histoire.
    Toutefois, certains individus qui gravitent autour d'eux sont un fil rouge que j'ai pu apercevoir dans l'entourage du mec défoncé donc, je me doute bien que tôt ou tard...
    Après, te concernant, je ne sais pas si tu es une habituée des contemporaines américaines.
    D'ailleurs, une question ?
    Quels sont tes sujets favoris dans le domaine littéraire ? :)

    D'ici là, je te souhaite une très belle journée, d'excellentes lectures avant de te dire à très bientôt :)
    Des poutous :pink:
  • Exuline

    Tourneur de pages compulsif

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    #724 10 Juin 2025 12:02:30

    Bilan du mois de MAI

    Je vous retrouve avec un peu de retard pour mon bilan de lecture du mois de mai, mais le début de ce mois de juin est on ne peut plus mouvementé.
    J'ai énormément de boulot durant cette période avec des sujets urgents à gérer et très chronophages.
    Ma famille a été touchée par la gastro, et oui, il y en a encore qui traine, et je suis la seule rescapée, mais je subis les dommages collatéraux c'est à dire une montagne de draps à laver. Je vous fais grâce des détails...
    La fatigue s'accumule, le temps pluvieux et froid ne me donne aucune motivation.

    Côté lecture, j'ai reçu mon second colis pour le  #PrixRomanFnac, trois nouveaux livres. Il m'en reste encore deux à finir, et j'avoue que ça commence à faire beaucoup et j'ai envie de passer à autre chose, mais je me suis engagée, alors je ne faiblis pas. C'est une expérience très enrichissante, mais c'est vrai que c'est intensif. Deux mois c'est relativement court pour ingurgiter 6 romans. Heureusement que j'ai reçu des romans relativement cours, moins de 350 pages, sinon je ne sais pas comment j'aurai pu faire.

    J'ai ce mois-ci abandonné 2 romans pourtant lu à plus de 45% chacun, mais je ne m'y retrouvais vraiment pas.
    <image>Il s'agit de Baal de Gilbert Laporte, un auteur auto édité. Que puis-je en dire en quelques lignes :
    Un déséquilibre flagrant entre exposé historique très académique et scènes d’action peu crédibles nuit à la cohérence du récit. Les personnages manquent de profondeur, certains sont interchangeables, d'autres inutiles ou traités de façon clichée, notamment les figures féminines. L'absence d'émotions face aux événements majeurs empêche toute immersion. La glorification du luxe, omniprésente et gratuite, alourdit inutilement l'intrigue. Dommage, car le potentiel historique, les décors et quelques parallèles temporels sont réussis mais restent sous-exploités.

    <image>Le second concerne La Faucheuse, tome 1de Neal Shusterman
    Je me suis sentie très vite mal à l’aise. Le système des faucheurs, sans justification claire ni cadre moral, m’a semblé vide de sens et cruellement déshumanisé. Le détachement émotionnel omniprésent, la manipulation mentale, et le basculement de Citra, que j’ai trouvée opportuniste et dérangeante, ont renforcé mon malaise. Rowan, plus nuancé, aurait pu me retenir, mais le duel imposé ont scellé mon abandon. Ce n’était pas un livre pour moi, et je l’ai refermé sans aucune culpabilité.


    Mon bilan pour ce mois de mai, c'est donc 7 romans pour 2 300 pages tout rond ;) de très bonnes lectures et d'autres un peu moins. J'ai réussi à alterné les romans imposés par d'autres que j'ai choisi et ça m'a fait du bien de pouvoir vous proposez des contenus variés. Je ne vous présente ici que les romans hors #PrixRomanFnac.

    <image>La Roue du Temps, tome 06 : Le Jeu des ténèbres - Robert Jordan
    Jordan tisse une intrigue subtile où les héros convergent sans se croiser, entre monde réel et rêves. Les tensions entre lumière et ténèbres s’intensifient, révélant la maturité et l’évolution des personnages. Un volume riche et maîtrisé, dans la parfaite continuité du précédent.




    <image>Les Liaisons dangereuses - Pierre Choderlos de Laclos
    En refermant ce roman, j’ai été saisie par la puissance de son dénouement et par la finesse d’une écriture que je n’affectionne pourtant pas particulièrement dans ce registre. Un classique que j’ai eu du mal à apprivoiser, mais qui a su me captiver jusqu’à la dernière lettre.




    <image>Les vies de Lee Miller - Antony Penrose
    Une lecture fascinante, déroutante, émouvante. Un récit d’une richesse folle, comme la femme qu’il raconte. Un livre important, pour redonner sa voix à une femme qui en a trop souvent été privée. Une lecture viscérale, féminine, artistique, historique.




    <image>The Family Upstairs, tome 01 : Ils sont chez nous - Lisa Jewell
    Un roman qui se lit vite mais laisse une impression de platitude, avec une structure cyclique et des chapitres trop courts qui rappellent Harlan Coben, sans en avoir la profondeur. Les personnages principaux — Lucie, Libby et Henri — sont tous abîmés, parfois malsains, et aucun ne suscite vraiment l’empathie. La dimension sectaire autour de David, figure de manipulation psychologique glaçante, est marquante, tout comme le malaise constant généré par Henri. La seule lumière provient de la sœur de Finn, personnage sous-exploité mais porteur d’une vraie résilience. Une lecture facile mais accessoire, qui ne m’a pas convaincue malgré ma curiosité entretenue jusqu’au bout.

    Je vous souhaite un très bon mois de juin !!!
  • Myina

    Pilier de bibliothèque

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    #725 10 Juin 2025 19:29:14

    Je suis fan de La Roue du Temps. J'ai décidé de relire la saga pour le plaisir.

    J'ai adoré Les liaisons dangereuses. L'écriture est subtile.

    Tu m'as donné envie de lire Les vies de Lee Miller. =D
  • Exuline

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    #726 11 Juin 2025 09:57:46

    @ Myina : tu les as déjà tous lus !!! et tu veux y retourner et bien je te salue car ça fait un gros morceau.
    contente de donner encore envie de découvrir la vie de Lee Miller, n'hésite pas à voir le biopic si tu peux.

    @Kah Rane : Alors je n'ai pas de sujets favoris dans le domaine littéraire, mais je n'apprécie pas tout ce qui concerne le viol, l'anthropophagie et la soumission psychologique. Des thèmes révoltant pour ma part. Sinon, comme tu peux le voir je lis de tout ou presque (pas de graphique ou rarement, pas de poésie ou rarement, pas de théâtre ou rarement).

    Claire C : :pink:

    Je vous retrouve aujourd'hui avec le premier tome de la série The Family Upstairs, dont je vous ai déjà parlé. Une lecture qui ne m'a pas vraiment convaincue pour une autrice qui a une certaine renommée mais c'est tout de même une déception pour ma part.

    <image>The Family Upstairs, tome 01 : Ils sont chez nous - Lisa Jewell

    « Certains secrets de famille sont plus mortels que d'autres... Trois cadavres et un bébé abandonné : c'est la macabre découverte que fait la police dans une belle demeure de Chelsea, celle qu'occupait la famille Lamb. Faute de preuves et de témoignages, les enquêteurs privilégient la piste d'un suicide collectif et l'affaire est classée. Vingt-cinq ans plus tard, quand Libby hérite de la maison et se voit révéler les circonstances de son adoption, elle se rend sur les lieux pour percer le mystère de ses origines.
    Accompagnée par Miller, un journaliste qui a enquêté sur cette terrible affaire, la jeune femme va faire des découvertes troublantes. Mais est-elle prête à découvrir l'effroyable secret qu'on lui cache depuis sa naissance ? Elle ignore encore que quelqu'un, quelque part, donnerait cher pour la retrouver.. »


    Je découvre Lisa Jewell et je dois dire que son style m’a immédiatement rappelé celui d’Harlan Coben : chapitres bien trop courts à mon goût, structure cyclique qui alterne les personnages, et une écriture très (trop ?) simple. Un roman de gare dans ce qu’il a de plus typique, qu’on lit ou qu’on écoute facilement, sans prise de tête. Et même si je n’ai ressenti aucune empathie pour les personnages, l’autrice a quand même réussi à piquer ma curiosité. Disons que ce n’est pas un mauvais roman, mais pas un indispensable non plus : il est joli à regarder, pas très encombrant, et pour ma part, il m’a accompagnée en audio.

    L’histoire suit trois personnages principaux : Libby, jeune femme qui hérite d’une étrange maison ; Lucy, mère célibataire paumée et en cavale, tente de fuir un ex-mari tout aussi manipulateur et dominateur, comme un écho malsain du passé, mais y revient tout de même ; et Henry, adolescent dérangeant et dérangé, marqué par un passé lourd. On découvre au fil des pages leurs liens, leurs drames, leurs secrets, avec une alternance passé/présent plutôt bien menée mais sans réelle surprise.

    Dans le passé, on rencontre une galerie de personnages franchement peu reluisants, dominés par David, sorte de mante religieuse version gourou minimaliste, qui vampirise toute une famille et installe une emprise aussi psychologique que physique. J’ai trouvé ce personnage fascinant, mais sous-exploité : j’aurais aimé qu’on explore davantage son impact sur les autres.

    Ce n’est pas vraiment un huis clos, même si une grande partie de l’intrigue se déroule dans cette maison familiale qui devient presque un personnage en soi. Mais jamais je n’ai été surprise. Je suis restée simple spectatrice d’un drame domestique tordu.

    Je m’arrête aussi sur Henry, qui m’a mise particulièrement mal à l’aise. Sa fixation malsaine, ses actes prémédités, son rapport aux autres — sa sœur Lucy, ses parents, Finn, et la sœur de Finn (Clemency), les enfants de David— tout est dérangeant. Il agit avec une logique glaciale, persuadé d’être dans son droit. Un syndrome du sauveur par omission, mais tordu.

    Quant à Lucy, je n’ai jamais réussi à m’y attacher. Elle semble anesthésiée par ce qui lui arrive, comme si tout lui glissait dessus. Même la fameuse scène de retrouvailles, censée être le point d’orgue du roman, m’a laissée totalement froide. L’autrice avait mis en place du suspense, mais la tension retombe aussi vite qu’elle est montée.

    Le seul personnage qui m’a vraiment intéressée, c’est Clemency. Malgré ce qu’elle a vécu, c’est peut-être la seule à s’en sortir un peu. Elle semble plus lucide, plus intelligente émotionnellement. Dommage que ce soit justement elle que l’autrice exploite le moins.

    Un point de vue omniscient sur cette drôle de famille aurait sans doute été plus pertinent que de se limiter à trois voix.

    Bref, une lecture rapide, sans réelle émotion, sans surprise. L’autrice ne donne à voir que le pire de chacun, et au final, on en vient à se demander si tous ces traumatismes justifient vraiment leurs comportements.
  • Mypianocanta

    Gardien du savoir

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    #727 11 Juin 2025 17:48:28

    Je ne suis clairement pas la cible de ce genre de romans, donc je passe.
    Sinon il faut que je reprenne La Roue du Temps (je n'ai lu que le premier tome…)

    Bonne semaine et bonne lecture :)
  • Exuline

    Tourneur de pages compulsif

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    #728 12 Juin 2025 10:08:49

    @Mypianocanta : Et bien voilà, tu dis dans ton suivi de lecture que tu ne sais pas ce que tu vas lire après Martyr, tu as trouvé ;) Bonne fin de semaine et de lectures à toi aussi :)

    Bon une fois n'est pas coutume, je vous fais un vrai retour sur une lecture que j'ai abandonné mais qui peut-être pourra intéresser certains d'entre vous et je pense particulièrement à LaurentVo.

    <image>Chien 51 – Laurent Gaudé

    l y a des lectures qui désarçonnent, non pas parce qu’elles sont mauvaises, mais parce que notre esprit de s'ouvre pas. Chien 51 en fait partie.

    Dans ce roman d’anticipation, Laurent Gaudé imagine un futur où les multinationales ont supplanté les États. La Grèce, exsangue, a été littéralement rachetée par une entreprise tentaculaire, GoldTex. Les citoyens ne sont plus que des ressources humaines reléguées dans une société ultra-hiérarchisée, divisée en trois zones, où la dignité. L’intrigue suit Morse, un ancien flic devenu "Chien" (comprendre : exécutant docile), qui enquête sur un meurtre dans un monde qui a oublié jusqu’au sens du mot "justice". Est-il juste de nommer ces personnes chien ? De les rabaisser sans cesse, de leur dire : bon toutou, ramène, va chercher, c'est choquant, révoltant, et l'auteur a su appuyé là où ça fait mal.

    Le contexte géopolitique – fascinant sur le papier – m’a pourtant semblé sous-exploité. Trop diffus, trop en arrière-plan. L’univers est dense, mais il reste flou, comme vu à travers un brouillard : on évoque des îles, des zones, un passé grec déchu… sans jamais réellement s’ancrer quelque part. J’ai souvent eu l’impression d’avancer sans carte, entre flashbacks et utopie, sans point fixe où m’accrocher.

    C’est sans doute voulu – ce flou contribue à la sensation d’étrangeté, de dépossession, de déshumanisation que subit Morse. Et en cela, l'auteur réussit une vraie ambiance, presque oppressante. J'ai beaucoup pensé à Barjavel, et notamment à La Nuit des temps, dans cette manière de créer une SF poétique, grave, parfois dérangeante. Le Love Day, par exemple, évoque cette scène au pied du ménisque dans La Nuit des temps, un basculement où l’humain se laisse absorber par un idéal qui l’écrase le reste du temps. Un jour de plaisir pour oublier les autres en esclaves.

    Mais malgré ces qualités indéniables, je suis restée en dehors. L’enquête m’a semblé lente, les personnages distants, presque indifférents à eux-mêmes – et moi à eux. J’ai abandonné ce livre, frustrée de ne pas trouver le fil, le fond, le souffle auquel j’aurais voulu me raccrocher.

    Chien 51 est un roman pour ceux qui aiment être bousculés, projetés hors de leur zone de confort, dans une science-fiction plus conceptuelle que narrative. Une lecture exigeante, peut-être trop pour moi à ce moment-là. Une expérience, mais pas un voyage.
  • ImagIn

    Guide touristique des librairies

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    #729 12 Juin 2025 16:13:55

    C'est dommage, ça avait l'air sympa. Peut-être tenterai-je un jour néanmoins, à l'occasion ? Merci de ce retour en tout cas. :)
  • Mypianocanta

    Gardien du savoir

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    #730 12 Juin 2025 18:00:23

    @ Exuline : ce serait étonnant que j'enchaine La Roue du Temps après Martyrs, je vais plutôt prendre quelque chose de plus léger et de plus court, plutôt que de rester dans des pavés de fantasy :P
    Et voilà un retour intéressant (même si Gaudé ne me tente absolument pas et je ne sais même pas pourquoi).

    Bonne soirée :)