#7 27 Mars 2012 21:38:58
Je suis mal organisée et je ne lis pas assez à mon goût (je pense à reprendre la bonne vieille organisation du lire en mangeant... efficace) et surtout, un peu trop entre deux portes, sans me "poser" un assez long moment pour des conditions optimales (en dehors d'une heure tous les lundis).
Bref, j'ai fini de lire Aurélia de Nerval depuis longtemps maintenant. J'ai trouvé ça... Plus encore que magnifique. Même si je continue à penser que les conditions de lectures n'étaient pas idéales.
J'ai aussi fini Les peines de coeur d'une chatte anglaise de Balzac, que j'ai beaucoup aimé, mais sans doute un peu moins la dernière histoire, sans doute trop "scientifique" pour moi. Ce tout en ayant apprécié la référence à Paul et Virginie. J'ai également fini Auschwitz expliqué à ma fille d'Annette Wieviorka. J'ai vaguement appris un ou deux détails, mais dans l'ensemble, comme je m'y attendais un peu, ce n'était pas tellement le cas. En même temps, je ne suis plus vraiment le "public" visé par ce livre.
J'ai dû suspendre la lecture du deuxième tome de la saga du clan des Otori, ayant dû le rendre. Mais, je compte bien le réemprunter et reprendre sa lecture.
De même, j'ai dû suspendre la lecture du livre de Walser, qui est allé se cacher dans un coin.
J'avance dans Guerre et paix à un rythme variable. En fait, j'ai du mal avec les passages de guerre, que je ne peux pourtant pas me résoudre à sauter (oui, je sais, "le droit de sauter des pages" dirait Pennac) par peur de rater des éléments importants. J'aime beaucoup les descriptions que Tolstoï fait, elles sont particulièrement belles.
Dans ma "folie" continuant, et n'ayant "pas assez" de livres en cours, j'ai commencé Lancelot ou le chevalier à la charrette de Chrétien de Troyes. En vers et en version bilingue, du coup, je m'accorde le plaisir, rallongeant la lecture, de le lire en même temps en ancien français et en même temps dans sa traduction dans notre français.
Je suis également en train de relire Le baron perché d'Italo Calvino, mais en italien.
Et je viens de commencer Sylvie de Gérard de Nerval.