Celle qui élève

 
    • Hell-eau

      Lecteur averti

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      #1 16 Octobre 2011 14:57:02

      Voici un projet de roman. Je le retravailles sans cesse, je dois avouer que j'ai des difficultés en grammaire et en orthographe alors surtout il ne faut pas hésiter. Je vous donne un résumé, accompagné du prologue et le début du premier chapitre.

      _________________________________________________________________________________________


      Titre : Celle qui élève



      Résumé :
         A l'âge de dix ans, Marie a perdu ses parents dans un accident de voiture. Elle va être prise en charge par sa soeur Stéphanie, qui rentre à peine dans sa majorité.
      Marie veut oublier le passé, mais plusieurs rencontres vont refaire surgir des mauvais souvenirs.
      Pendant six années, elle a dû apprendre a gérer douleur, migraine, insomnie et le regard des autres ...
      Patrick, un ami d'enfance de Stéphanie a aidé les jeunes soeurs à s'en sortir. Il va particulièrement se prendre d'affection pour Marie.



      Prologue
      Mardi 11 septembre 2001


      8 h 20
      Dans un petit appartement au centre de la ville, un homme entamait sa troisième canette de bière. Prenant conscience que son frigidaire était vide, il prit les clés de sa voiture pour aller faire quelques courses.

      *
      8 h 30
      Un groupe de petits garçons se faisaient des passes tout au long du trottoir, sous la surveillance de leurs parents.

      *
      8h35
      Marie Luz allait souffler ses dix bougies. La journée n'avait pas encore commencé qu'elle était impatiente d'être le soir, car elle savait que de nombreuse surprise l'attendaient. Elle était à bord d'une voiture, accompagnée de ses parents. Son père était au volant, il conduisait à vive allure à travers toute la ville.

      *
      8h37
      La réactivité de l'homme avait diminuée à cause de l'alcool. N'ayant pas vu le feu tricolore passer au rouge, il faillit être percuté par une voiture. Il accéléra ...

      *
      8h40
      Le ballon roula sur la route tandis que le petit garçon courait pour le récupérer.
      « Attention papa ! »
      Monsieur Luz avait de très bons réflexes, il réussit donc à l'éviter sans problème. Cependant ce n'était pas le petit garçon qui inquiétait Marie, mais la voiture d'en face, qui roulait aussi vite qu'eux. Le choc ne pouvant pas être évité, l'accident fut terrible...

      *
      8h46
      Les sirènes retentirent, couvrant les cris de douleur de Marie.

      *
      Le mardi 11 septembre 2001 fut une date qui resta gravée dans l'histoire. L'attentat contre les États-Unis avait provoqué des milliers de morts, mais, dans une ville, au même moment, avait eu lieu un accident de voiture, qui avait causé la mort de trois personnes.

      Chapitre 1 :
      Lundi 3 septembre

      Savoir ce que tout le monde sait, c'est ne rien savoir. Le savoir commence là où commence ce que le monde ignore. [Rémy de Gourmont]


      Le monde entier tournait au ralenti. Ma dernière vision d'eux était déformée par les éclats de verre qui volaient vers moi.
      Trou noir.

      Je me réveillai en sursaut. Instinctivement, je touchai ma cicatrice du bout de mes doigts. Elle me faisait souffrir. Depuis plusieurs jours je faisais toujours le même rêve, non, cauchemar. A chaque fois, je me réveillais avec cette douleur et ces sueurs froides sur tout le corps. Je filai dans la salle de bain sans attendre une minute, rien de mieux qu'une bonne douche pour se remettre de cette nuit agitée.
      La douleur s'était estompée, je m'attardais sur le miroir au dessus du lavabo. Je pouvais apercevoir ma cicatrice. Elle était fine, elle ne me défigurait pas, ou presque. Le regard des gens autour de moi vis à vis de cette cicatrice, me rappelait sans cesse la tragédie qui s'était déroulée alors que j'avais à peine dix ans. Malgré cette sensation de malaise, je faisais le choix de ne pas masquer ma cicatrice. Elle était située au niveau de ma tempe gauche, très près de mon ?il et descendait au milieu de ma pommette.
      Je choisissais donc de me coiffer d'un chignon et de souligner la couleur de mes yeux verts de crayon et mascara noir. Une fois assurée d'être prête je descendis les marches  jusqu'à la cuisine.

      Une odeur de pain grillé flottait. Stéphanie lisait son journal, attablée avec une tasse de café qui fumait à côté d'elle. Les tartines sautèrent du grille-pain pour indiquer qu'elles étaient prêtes.
      -Il me semblait bien avoir entendu de l'eau couler, dit-elle sans lever le bout de son nez.
      Comme elle ne prenait pas les tartines j'en conclus qu'elles étaient pour moi. Stéphanie était ma soeur, après avoir obtenu son diplôme elle avait souhaité me prendre en charge. Un ami l'avait aidé à trouver du travail dans une concession de voitures. Elle avait su monter les échelons très rapidement. Contrairement à moi, elle avait les yeux marron, ses cheveux étaient coupés très court et je mesurais une bonne tête de plus qu'elle. Physiquement on ne se ressemblait pas tellement, beaucoup se posaient la question si on était réellement soeurs. Elle avait seulement vingt trois ans.
      Je mis deux tartines de plus dans le grill. Stéphanie se servit une autre tasse de café.
      -Encore une nuit agitée ?
      Je lui confirmai avec un hochement de tête.
      -Mélanie a appelé, elle vient te chercher pour que vous partiez ensemble au lycée.

      *
      Mélanie aurait aimé devenir mannequin mais elle avait hérité de la petite taille de son père. Elle avait donc choisi une autre alternative, celle de travailler avec eux. Elle voulait devenir maquilleuse professionnelle. C'est pourquoi elle s'était inscrite dans une seconde professionnelle en esthétique. Je pouvais toujours compter sur elle. Au fil du temps, elle était dévenue ma meilleure amie.
      Le rame dans lequel nous nous trouvions était bondée d'étudiants, la rentrée des classes se faisait ressentir. Nous étions entassés comme des sardines. C'est en arrivant à notre station que nous pûmes enfin respirer l'air frais. Notre immense lycée était situé près de la station de métro. Il comptait trois entrées principales. Il était divisé en deux parties, la section générale et la section professionnelle. La liste des élèves était pour le moment inaccessible à cause d'une horde d'étudiants. Au milieu de la foule, on pouvait apercevoir une personne qui mesurait prêt de deux mètres et avait une musculature très imposante. Il attirait beaucoup l'attention sur lui, il fallait dire qu'il ne passait pas inaperçu. Il s'agissait d'Alexander. Le cousin de Mélanie et également mon meilleur ami. Il était le meilleur ami qu'une fille pouvait espérer avoir car il était homosexuel. Il était plus vieux que nous. Il entamait pour la deuxième fois sa seconde en général.
      -Alexander !
      Mélanie avait réussi à attirer son attention. Il se dirigea vers notre direction, il poussait presque les étudiants qui refusaient de lui laisser le passage, car ils étaient plus intéressés par la liste. Plusieurs d'entre eux protestèrent, mais Alexander les ignora. Il m'enlaça tout en me faisant décoller du sol.
      -Marie ! Comment tu vas ?
      -Bien.
      Il me déposa au sol, je remarquai qu'il avait un hématome à l'oeil.
      -Qu'est ce qui t'es arrivé ? 
      -Mon père m'a frappé.
      -Quoi tu plaisantes ? Il t'as pris pour un sac de boxe ?
      -Je lui ai enfin dit que j'avais une attirance pour les hommes, je ne pouvais plus supporter ses réflexions. Du coup, comme il a été surpris il m'a filé une droite. En attendant qu'il se calme, je dors chez Mélanie. Ses parent ont accepté de m'héberger. Après tout je suis leur neveu préféré.

          Un professeur fit l'annonce qu'on devait s'avancer vers nos salles de classes respectives. Mélanie partie en direction de son bâtiment, Alexander et moi nous nous dirigions vers le notre. Par chance nous étions dans la même classe. La pluspart des élèves avaient le regard fixé sur Alexander. On pouvait entendre des chuchotements lorsque nous passions près d'eux. Il était plutôt populaire. Mais parlaient-ils de lui en bien ou mal ? Probablement les deux, m'avait répondu Alexander lorsque je lui avais posé la question. Nous étions arrivés devant notre salle. Là, encore tout le monde nous regardait. Cette fois-ci certains d'entre eux avaient aperçu ma cicatrice.
      -La pauvre, dommage elle a pourtant un si joli visage.
      Je serai les poings. Alexander passa son bras par dessus mon épaule. Il me chuchota à l'oreille.
      -Ne fais pas attention.
      -Je suis habituée.
      -Dites les amoureux ne restez pas au milieu du passage ?
      Un homme à l'allure d'étudiant était planté derrière nous. On lui laissa l'accès libre. Il rentra dans la salle de classe et s'installa au bureau destiné au professeur. Il nous fit signe d'entrer.
      -Alexander j'espère que vous me ferez l'honneur de participer à tous mes cours cette année.
      Il s'agissait de notre professeur principal et de français. Alexander me poussait pour prendre place au dernier rang.
      Après avoir reçu nos emplois du temps et nos manuels scolaires, nous avions du temps libre jusqu'à quatorze heures. M. Turbot, notre professeur avait été très rapide. Nous avions fini avant tout le monde.
      Je filai à la vie scolaire pour confirmer mon inscription aux cours d'arts plastiques. Une blonde était derrière son écran d'ordinateur, elle n'avait pas l'air de m'avoir vu. Je me raclai la gorge. Elle leva les yeux. Au début, elle fit mine de m'ignorer, puis pris d'un doute, elle me regarda ou plutôt elle fixa ma cicatrice ...
      -Je peux vous aider ?


      *

      En face du lycée se trouvait un café. Il disposait d'une très grande baie vitrée qui donnait vue sur l'une des entrées principales. Mélanie nous avait rejoints. Nous étions tous les trois installés au coin de la salle, à l'écart. Nous avions commandé à manger. Comme d'habitude Mélanie avait pris quelque chose de très léger. Alexander avait commandé un sandwich grand format, quant à moi c'était un sandwich format moyen avec une portion de frites.
      -Comment fais-tu pour manger autant ?
      -Ce que Mélanie essaye de te dire, c'est comment tu fais pour ne pas grossir ?
      J'avais toujours eu un appétit vorace.
      -Je suppose que mon entrainement quotidien au basket y est pour quelque chose.
      En regardant par la baie vitrée j'aperçus une voiture de sport rouge, on aurait cru qu'elle sortait tout droit d'un jeu vidéo. Tout le monde sans exception l'avait regardée, les plus passionnés l'admiraient la bouche ouverte. Je remarquai qu'elle portait la marque de la concession dans laquelle travaillait Stéphanie.
      Tout à coup une douleur à la tête se fit ressentir, je plantai mes ongles dans la paume de ma main. Il fallait que je la supporte.
      Il était temps pour nous de s'avancer en direction du gymnase, le directeur de l'établissement avait un discours à faire. Ces dans ces moments là qu'on se rendait bien compte que le lycée avait beaucoup d'élèves, les premières années avaient la priorité ils étaient donc placés en face de l'estrade. Mélanie était contrainte d'être collée à l'avant à cause de sa petite taille. Alexander était évidemment à l'arrière. Malheureusement pour moi nous allions rester debout pendant toute la cérémonie, je ne savais pas si j'allais supporter la douleur, j'avais comme une mauvaise sensation. La douleur se faisait de plus en plus violente. Je fermais les yeux, j'essayais d'oublier le lieu dans lequel je me trouvais. J'écoutai ce discours qui me semblait sans fin ...
      Une main me saisit l'épaule, me rappelant où j'étais. Le gymnase se vidait petit à petit. Mélanie me faisait face. Elle était inquiète. Mélanie et Alexander étaient évidemment au courant de mes problèmes de douleurs. Elles n'étaient pas constantes mais elles faisaient souvent leurs apparitions lorsque j'avais des cauchemars, où lorsque j'éprouvais des sentiments forts comme la colère ou la peur.
      -Tu as fais un cauchemar cette nuit ? M'interrogea Mélanie.
      -Oui, toujours le même depuis quelques jours.
      -Est-ce que la douleur aurait un rapport avec ton anniversaire qui approche ?
      -Sûrement, j'ai vraiment un problème dans ma tête !
      Je reçus un coup derrière la tête, Alexander m'avait frappé. Mélanie continua.
      -Ne dis pas n'importe quoi c'est tout à fait normal, certaines personnes expriment leurs sentiments plus facilement que d'autres. Je pense que toi tu les éprouves à travers ta cicatrice. C'est une partie vulnérable de toi que tu as choisi de ne pas cacher. Connaître tes faiblesses, fais de toi une personne qui est forte.

      Dernière modification par Hell-eau (24 Octobre 2011 00:07:55)

    • Julii

      Marin sur les mers du savoir

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      #2 16 Octobre 2011 17:54:35

      résumé:
      gérer douleur, migraine, insomnie et le regard des autres ...
      il prit les clés de sa voiture(il manque quelque chose non?)faire quelques courses.

      prologue:
      Aujourd'hui, Marie Luz allait souffler ses dix bougies.
      Tu dis aujourd'hui mais le verbe est au passé, il faudrait changer quelque chose.

      Voilà je ne suis pas très douée en orthographe et tout mais c'est ce que j'ai vu ^^ c'est déjà mieux que rien non?

      A part les fautes, moi j'aime bien ton texte, la dernière phrase du prologue j'adore, et aussi le première du chap 1. Et aussi tout le reste :)

      A quand la suite?
    • Hell-eau

      Lecteur averti

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      #3 16 Octobre 2011 18:34:02

      Julii a écrit

      résumé:
      gérer douleur, migraine, insomnie et le regard des autres ...
      il prit les clés de sa voiture(il manque quelque chose non?)faire quelques courses.

      prologue:
      Aujourd'hui, Marie Luz allait souffler ses dix bougies.
      Tu dis aujourd'hui mais le verbe est au passé, il faudrait changer quelque chose.

      Voilà je ne suis pas très douée en orthographe et tout mais c'est ce que j'ai vu ^^ c'est déjà mieux que rien non?

      A part les fautes, moi j'aime bien ton texte, la dernière phrase du prologue j'adore, et aussi le première du chap 1. Et aussi tout le reste :)

      A quand la suite?


      Effectivement il manque quelque chose c'est un oublie de ma part.
      il prit les clés de sa voiture pour faire quelques courses.
      Pour le Aujourd’hui je pense que je vais tous simplement le supprimer.

      Merci pour ton aide j'attends d'avoir d'autre avis avant de mettre la suite.

      Dernière modification par Hell-eau (16 Octobre 2011 18:34:43)

    • loulou86

      Lecteur initié

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      #4 22 Octobre 2011 18:17:10

      Bonjour Hell-eau.

      Je dois avouer que j'aime bien ton texte et j'adore la façon dont tu as écris le prologue. C'est ce que fait Mary Higgins Clark dans certains de ses romans. Et sinon, j'ai relevé plusieurs fautes d'orthographes, ou d'accord.

      il prit les clés de sa voiture pour faire aller quelques courses.


      Je crois que tu voulais dire "aller faire", non ?

      Il accéléra ?


      Le point d'interrogation m'a un peu choqué. Je pense que tu as dû faire une faute de frappe.

      car il était homosexuelle


      Vu que tu parles d'Alexander et que c'est un homme, tu dois écrire "homosexuel".

      La pauvre, dommage elle a pourtant un si jolie visage.


      Enlève le "e" de jolie, car "joli(e)" qualifie le visage, et s'accorde donc avec. Il n'y a par conséquent pas de "e" à la fin, vu que "visage" est masculin.

      Voilà pour les fautes d'orthographe que j'ai pu trouver, et sinon, j'attends la suite avec impatience.

    • Max Hell

      Lecteur professionnel

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      #5 22 Octobre 2011 19:12:29

      Marie veut oublier le passé, mais plusieurs rencontres vont refaire surgir des mauvais souvenirs.


      J'aurais plutôt mis : vont faire resurgir des mauvais souvenirs.
      Après tu fais comme tu veux :)

      il prit les clés de sa voiture pour faire aller quelques courses.


      • ses clés de voiture, serait moins lourd ;)
      • Comme l'a dit Loulou, c'est plutôt "aller faire" ;)

      de nombreuse surprise l'attendaient.


      J'crois (pas sûr) qu'il faudrait mettre nombreuse et surprise au pluriel vu que le verbe est à la troisième personne du pluriel...

      Elle était à bord d'une voiture, accompagnée de ses parents


      Elle était dans la voiture, avec ses parents.
      - Va au plus simple. J'trouve que le 'à bord d'une voiture' très lourd, ça m'a fait tiqué. Puis, si elle est dans une voiture, elle a 10 ans, j'pense qu'il vaut mieux qu'elle soit accompagnée ;)

      N'ayant pas vu le feu tricolore passer au rouge, il faillit être percuté par une voiture. Il accéléra ?


      - J'pense que le mot tricolore ici, n'est pas obligatoire. après, fais comme tu veux ;)
      J'comprends pas le point d'interrogation à la fin... Peut-être une faute de frappe comme a dit Loulou :)

      Le mardi 11 septembre 2001 fut une date qui resta gravée dans l'histoire.


      Ici, tu peux presque mettre, histoire avec un grand H...

      Le monde entier tournait au ralentis


      ralenti, pas besoin de 's' ;)

      les éclats de verre qui volaient en ma direction.


      Très lourd... Plutôt : les éclats de verre qui volaient vers moi... Même si ça fait bizarre, c'est déjà mieux :P

      ces sensations de sueurs froides dans tous le corps.


      Il n'y a pas de sensation de sueurs froides. Enlève le "sensations de" laisse juste avec ces sueurs froides sur tout le corps.

      Je filai dans la salle de bain sans attendre une minute de plus, rien de mieux qu'une bonne douche pour se remettre de cette nuit agité.


      Tu peux supprimer le 'de plus' et agitée avec un e ;) puisque c'est la nuit qui est agitée :)

      Je voulais apercevoir ma cicatrice


      Je voulais ou je pouvais ?

      je descendis les marches pour rejoindre la cuisine.


      rejoindre la cuisine ? J'm'attendais plus à rejoindre les autres :P
      J'aurais mis : je descendis les marches jusqu'à la cuisine.

      Une odeur de pain grillé flottait dans les airs


      ça fait bizarre... J'sais pas pourquoi, mais ça fait bizarre... J'aurais pas mis ça ^^ le dans les airs est en trop j'pense...

      Stéphanie était assise entrain de lire le journal


      Il faut éviter les "en train de", il faut essayer le plus possible d'utiliser directement le verbe conjugué : Stéphanie lisait son journal, attablé avec... Et c'est en train, espacé ;) Sinon, c'est elle lisait son journal avec entrain ;)

      une tasse de café fumait à côté d'elle


      J'ai corrigé les petites fautes ;)

      Mélanie était ma meilleure amie.


      J'ai déjà laissé passé le Stéphanie était ma soeur.
      Là, ça fait vraiment bizarre tout seul :P Essaie de supprimer cette phrase et de placer le fait qu'elle soit sa meilleure amie un peu plus loin ;)

      Le wagon dans lequel nous nous trouvions était bondé d'étudiants


      Si c'est un métro, on parle plutôt de rame ;)

      Nous étions entassés comme dans une boite de sardines


      Nous étions entassés comme des sardines* ça rend plus léger la phrase ;)

      Notre lycée était situé près de la station de métro, le lycée était immense.


      Répétition de lycée... Faut éviter au plus ce genre de choses... Au pire tu peux dire : 'Notre immense lycée était situé...'

      Je lui ai enfin dis que


      dit ici ;) C'est le participé passé au passé composé ;)

      Actuellement je loge chez les parents de Mélanie


      Perso, je trouve que ça fait assez déplacé par rapport au langage qu'il utilise juste avant :P
      Il peut juste dire : "En attendant qu'il se calem, je dors chez Mélanie." Ou un truc du genre ;)

      La pluspart des élèves restaient fixés sur Alexander


      plupart ;)
      ils le regardent ? donc ça serait peut-être mieux fixer ;) Puisque là j'ai eu l'impression qu'ils étaient fixés au sens collés :P

      tous le monde étaient entrain de nous regarder


      Tout le monde* nous regardait. ;)
      Les en train, alourdissent un texte...

      Cette fois ci certains d'entre eux avaient aperçu ma cicatrice.


      fois-ci avec un tiret.

      Alexander j'espère que vous me feriez l'honneur de participer à tous mes cours cette année


      .
      Futur : ferez*

      Alexander était entrain de me pousser


      même remarque que tout à l'heure ;) Alexander me poussait*

      nos manuels scolaires


      Je raclai ma gorge


      Je me raclais la gorge* serait mieux :)

      puis pris d'un doute, elle me regarda ou plutôt elle fixait ma cicatrice


      prise* d'un doute. fixa* vu que tu as mis regarda ;)

      Nous étions tous les trois installés au coin de la salle à l'écart


      j'pense qu'il faut une virgule après la salle. Sinon c'est la salle qui est à l'écart ;)

      En se moment là, on se rendait bien compte que le lycée avait beaucoup d'élèves,


      Ces dans ces moments là qu'on se rendait compte...*

      Une main me saisit l'épaule, qui me rappeler où j'étais


      Une main me saisit l'épaule, me rappelant où j'étais*

      Le gymnase était entrain de se vider petit à petit


      Même remarque ;) Le gymnase se vidait petit à petit.

      Est ce que ça un rapport avec ta date d'anniversaire qui approche ?


      Cette phrase m'a choqué :P "Est-ce que la douleur aurait un rapport avec ton anniversaire qui approche ?"
      - Il faut également éviter au plus les "ça", on se demande des fois de quoi il s'agit. Ici c'est pas nécessaire de le tirer, mais j'avais envie xD

      Ne dis pas n'importe quoi c'est tout à fais normal


      Tout à fait*




      J'crois que j'ai a peu prés corrigé ce que j'ai vu :P

      Sinon, tout ça m'intrigué, j'veux bien la suite aussi =D

    • loulou86

      Lecteur initié

      Hors ligne

      #6 22 Octobre 2011 19:28:55

      Et moi, ça m'a fait penser à Harry Potter, avec l'histoire de la cicatrice . =D Et surtout avec les douleurs dues à un évènement passé lorsqu'elle était toute petite.
    • Hell-eau

      Lecteur averti

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      #7 23 Octobre 2011 13:26:23

      Merci beaucoup pour la correction se sont des détails qui font la différence.=D Je n'avais même pas fais attention que j'utilisais beaucoup les "en train de "

      J'ignorai que Higgins Clark faisait pareil pour ces prologues. Je me souviens à avoir lu un roman de cette auteur, mais je n'avais pas apprécié

      Dernière modification par Hell-eau (23 Octobre 2011 13:49:05)

    • loulou86

      Lecteur initié

      Hors ligne

      #8 23 Octobre 2011 15:23:10

      En fait, Mary Higgins Clark, elle ne fait pas ça que pour ses prologues, mais le temps d'introduire le contexte et les différents personnages (c'est le cas dans "la nuit du renard", l'un des plus connus)(ce qui prend plusieurs chapitres, un chapitre avec chaque personnage, et a final, tous ces personnages seront liés par un quelconque élément).