
Oiselle a commenté
13 octobre 2012 11:42
Le Philip Roth qui m'a le plus interpellé

La bête qui meurt (The Dying animal)
"Un nu aux seins opulents, légèrement évasés, pour lequel elle aurait pu poser elle-même. Un nu aux yeux clos, défendu comme elle par sa seule puissance érotique et, comme elle, à la fois primaire et élégant. Un nu mordoré mystérieusement endormi sur un gouffre noir velouté que, dans...
Editions Folio (2023)