Synopsis
Il s'appelle Mastic des Feux mignons. Il descend, par son père, d'Ian du Bec-Etoile et, par sa mère, de Ceenzo Vitoune de la Mutinerie. C'est un setter anglais de sexe mâle, né le 17 avril 1994. Par l'effet d'une tradition familiale, Elle l'a immédiatement rebaptisé à son arrivée dans la maison. Il est devenu Joyce, en mémoire de qui vous savez, patronyme choisi pour son prédécesseur qui était irlandais. Entre Elle et lui, c'est une histoire d'amour. Une histoire de maison, de saisons, de gestes répétés à l'infini, où peu à peu se tisse, dans les replis du quotidien, la trame d'une famille. Un chien sentimental se met à parler et des lignes de vie se croisent, des lieux se précisent. Il y a dans le regard des bêtes une lumière profonde et doucement triste, disait Francis Jammes. C'est de ce regard-là qu'il s'agit. De ce qu'il nous donne à voir des humains.
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Un chien raconte sa vie mais aussi en creux celle d'une maison de famille, et d'une femme. Une ambiance un rien nostalgique comme dans la chanson "Quatre murs et un toit".
J'ai beaucoup aimé ce roman. Nous avons à faire à Joyce, fabuleux Setter, qui sent que son corps se fait de plus en plus vieux. Il nous fait part de quelques anecdotes, nous suivons son récit sans se rendre compte que nous approchons petit à petit de la fin du livre, mais également à la fin de Joyce. Je m'attendais à ce que le livre soit bien plus triste, mais je dois dire que "ça peut aller" ;)
Lecture agréable et pas habituelle puisque c'est un chien qui nous raconte son histoire. Cependant je n'ai pas trouvé le roman extraordinaire, et il y a tellement de retours en arrière, pas forcément chronologiques en plus, qui font un peu perdre le fil sur le récit.