Synopsis
Jean de Florette :
L'histoire se déroule en Provence, dans le petit village des Bastides blanches. Ugolin est le neveu du Papet, le dernier du clan des Soubeyran. Ugolin a pour projet de créer une grande plantation d'œillets et de faire fortune par la revente de ces fleurs, avec l'appui financier de son oncle. Mais le puits du mas de Massacan ne fournissant pas assez d'eau pour pareille plantation, les deux hommes décident d'acheter le champ de Pique-Bouffigue aux Romarins où ils savent que se trouve une source. Mais Pique-Bouffigue, occupé dans son figuier à tailler de branches pour faire des pièges, refuse de vendre son bien, s'ensuit une dispute où l'homme est précipité à terre par Le Papet.
Ugolin et le Papet laisse Pique-Bouffigue inerte au pied de l'arbre. Celui-ci reprend ensuite conscience après leur départ. Mais lorsque Ugolin le croise quelques jours plus tard il ne se souvient plus des évènements. Pique-Bouffigue meurt peu après. Ugolin et Le Papet espère enfin mettre la main sur la propriété, mais elle revient à Florette en héritage. Dépités, ils bouchent la source pour en faire disparaître toute trace et déprécier la valeur du terrain, pour que personne n'ait idée de l'acheter.
Critique des critiques :
Marcel Pagnol dédie ce texte à son ami : Roger-Ferdinand, en souvenir de leurs luttes communes contre l'ignorance, l'injustice, le snobisme et l'envie. L'écrivain exprime un grief acerbe à l'égard des critiques : il leur reproche d'être jaloux du succès des autres.
Il fustige les auteurs-critiques qui ont besoin de donner leur avis sur les ouvrages de leurs confrères, et les critiques-auteurs dont les pièces n'ont jamais été jouées ou parfois, dans de petits théâtres, sans grand succès, ce qui les rend aigris, prêts à se venger de l'art dramatique en lui nuisant avec tout leur talent.
Il prétend également qu'ils n'aiment pas l'art dramatique ni sur scène ni à l'écran. Enfin, Pagnol pense que le critique assis dans son fauteuil, un soir de générale, est là pour composer son œuvre et non pour juger l'œuvre d'un autre...
Le résultat de ces critiques est parfois déplorable :
"Un certain nombre d'auteurs semblent avoir été dévoyés par le dénigrement de leurs meilleures qualités et l'éloge unanime de leurs erreurs."
L'histoire se déroule en Provence, dans le petit village des Bastides blanches. Ugolin est le neveu du Papet, le dernier du clan des Soubeyran. Ugolin a pour projet de créer une grande plantation d'œillets et de faire fortune par la revente de ces fleurs, avec l'appui financier de son oncle. Mais le puits du mas de Massacan ne fournissant pas assez d'eau pour pareille plantation, les deux hommes décident d'acheter le champ de Pique-Bouffigue aux Romarins où ils savent que se trouve une source. Mais Pique-Bouffigue, occupé dans son figuier à tailler de branches pour faire des pièges, refuse de vendre son bien, s'ensuit une dispute où l'homme est précipité à terre par Le Papet.
Ugolin et le Papet laisse Pique-Bouffigue inerte au pied de l'arbre. Celui-ci reprend ensuite conscience après leur départ. Mais lorsque Ugolin le croise quelques jours plus tard il ne se souvient plus des évènements. Pique-Bouffigue meurt peu après. Ugolin et Le Papet espère enfin mettre la main sur la propriété, mais elle revient à Florette en héritage. Dépités, ils bouchent la source pour en faire disparaître toute trace et déprécier la valeur du terrain, pour que personne n'ait idée de l'acheter.
Critique des critiques :
Marcel Pagnol dédie ce texte à son ami : Roger-Ferdinand, en souvenir de leurs luttes communes contre l'ignorance, l'injustice, le snobisme et l'envie. L'écrivain exprime un grief acerbe à l'égard des critiques : il leur reproche d'être jaloux du succès des autres.
Il fustige les auteurs-critiques qui ont besoin de donner leur avis sur les ouvrages de leurs confrères, et les critiques-auteurs dont les pièces n'ont jamais été jouées ou parfois, dans de petits théâtres, sans grand succès, ce qui les rend aigris, prêts à se venger de l'art dramatique en lui nuisant avec tout leur talent.
Il prétend également qu'ils n'aiment pas l'art dramatique ni sur scène ni à l'écran. Enfin, Pagnol pense que le critique assis dans son fauteuil, un soir de générale, est là pour composer son œuvre et non pour juger l'œuvre d'un autre...
Le résultat de ces critiques est parfois déplorable :
"Un certain nombre d'auteurs semblent avoir été dévoyés par le dénigrement de leurs meilleures qualités et l'éloge unanime de leurs erreurs."
Moyenne
17.5
2 votes
TRES BON
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1976 Editions Presses Pocket
312 pages
1er janvier 1976
ISBN : 2266001000
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