Synopsis
Mélanie naît, quelques années avant 1900, dans une ferme - ou cense - du nord de la France. Son destin semble tout tracé. Comme sa mère, elle sera fermière. Elle passe une enfance heureuse entre ses parents, son grand-père qui l'adore et son petit frère Georges. Elle grandit en apprenant les travaux des champs, les soins aux animaux de la petite ferme familiale, la fierté du travail bien fait. Elle n'aime pas l'école qui l'arrache à cette nature qu'elle chérit tant. Mais, en 1914, un mois avant son mariage, la guerre lui ravit son fiancé. Le temps des épreuves commence pour elle et marque aussi, dès sa naissance, la vie de sa fille Pauline. Très vite, la fillette subit les brutalités de son beau-père. Mais elle a hérité de Mélanie le caractère courageux des gens du Nord et réussit, à force de volonté, à trouver sa plénitude. A travers le très beau portrait de deux femmes du Nord attachantes et émouvantes, fidèles reflets d'une région que Marie-Paul Armand continue à nous raconter pour notre plus grand bonheur, c'est l'évolution de tout un pays à laquelle nous sommes conviés. Nous assistons aux changements subis par le monde rural de l'après-guerre, au début du dépeuplement des campagnes et à la lutte des paysans pour que vivent leurs terres et pour que continuent à chanter les alouettes au-dessus de la ferme de Pauline et Mélanie.
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La cense aux alouettes est un beau roman sur les agriculteurs de ce début du XXe, les affres de la guerre, l’amour filial, la tristesse, la joie, les questionnements d’une jeune fille volontaire mais malmenée, et enfin une jolie histoire d’amour…
Comme à chaque fois, Marie-Paul Armand touche au coeur, doucement, tranquillement, sans avoir l’air d’y toucher.
Assez prévisible mais bien raconté, j'ai passé un bon moment