Synopsis
La douleur : tel est le motif commun de cette « trilogie involontaire », selon l’expression de son auteur. Celle du père, lorsque tout ce qui l’entoure se déforme peu à peu, lieux, visages, objets. Celle de la mère, que le sentiment de solitude terrasse, après le départ de son enfant. Celle du fils enfin, atteint d’un mal-être que rien ne semble pouvoir guérir.
Mais, tandis que les certitudes se muent en sables mouvants, l’humour et la dérision ne cessent d’émailler les répliques, ancrant les personnages de ces « farces noires » dans une réalité illusoire, juste avant le point de bascule. Le sentiment tragique d’un trouble dans le réel rend ces pièces universelles, et fait de Florian Zeller l’auteur francophone vivant le plus joué dans le monde.
Mais, tandis que les certitudes se muent en sables mouvants, l’humour et la dérision ne cessent d’émailler les répliques, ancrant les personnages de ces « farces noires » dans une réalité illusoire, juste avant le point de bascule. Le sentiment tragique d’un trouble dans le réel rend ces pièces universelles, et fait de Florian Zeller l’auteur francophone vivant le plus joué dans le monde.
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2021 Editions Folio (Théâtre)
268 pages
ISBN : 9782072924071
2020 Editions Folio (Théâtre)
304 pages
ISBN : 9782072924071
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La pièce "La mère" m'a totalement perdue. Je ne comprends pas le projet du dramaturge. Avec "Le père" la confusion est normale puisque nous sommes de son point de vu et avec sa perception. Mais alors pourquoi "La mère" est toute autant confusante. On ne sait pas où on va, ce qui se passe, si ce sont à chaque fois les mêmes personnages.. Bref je n'ai même pas eu le courage de lire "Le fils"
J'ai adoré le fils. Les deux autres m'ont moins convaincues car trop confuses.