Synopsis
Précédé de "Le Four du Blondin" par André de Richaud.
Douze contes en langue provençale, autant de scènes qui évoquent coutumes et traditions : le Char de Mazan où se distingue le « Seigneur des Hannetons » (Segnour di Tavan), les fêtes de la confrérie de Saint-Marc avec son « fifre » (lou fifrejaire), ou encore l’attachement lié au culte de saint Gent (La Mountelenco). On découvrira aussi un Jouve porté aux confidences, parlant de sa petite enfance, de ses premières amours, des études au pensionnat de Sainte-Garde (Santo-Custòdi), de son rêve de devenir poète (En bousco d’uno voucacioun), de sa méprise sur le bedeau de Saint-Saturnin : « majestueux, avec ses culottes courtes, ses souliers à boucles, sa belle épée pendue au côté, sa longue canne à pomme d’ivoire faisant clop, clop, sur les dalles, celui que ma jugeote d’enfant prit aussitôt pour monsieur le marquis de Frescati… ».
Depuis le récit du « Pape des fourniers » jusqu’à l’évocation des meuniers qui figure dans ce recueil, l’œuvre de François Jouve s’inspire de la vie locale et des familiers qui ont fréquenté le « Four du Blondin », avec pour décor ce « Carpentras comtadin ». Il traite ses personnages, dessine leurs caractères, avec humour et malice, sans oublier de les inscrire dans l’histoire, comme le montre certaine allusion à l’antique boulangerie de Pompéi.
Les textes de François Jouve sont composés comme des intermèdes, de petites chroniques salutaires signées, parfois, du pseudonyme : L’Ermitan de Frescàti (L’Ermite de Frescati).
Édition bilingue Occitan provençal (graphie mistraliènne) et français. Traduction française de Lucette Besson.
Douze contes en langue provençale, autant de scènes qui évoquent coutumes et traditions : le Char de Mazan où se distingue le « Seigneur des Hannetons » (Segnour di Tavan), les fêtes de la confrérie de Saint-Marc avec son « fifre » (lou fifrejaire), ou encore l’attachement lié au culte de saint Gent (La Mountelenco). On découvrira aussi un Jouve porté aux confidences, parlant de sa petite enfance, de ses premières amours, des études au pensionnat de Sainte-Garde (Santo-Custòdi), de son rêve de devenir poète (En bousco d’uno voucacioun), de sa méprise sur le bedeau de Saint-Saturnin : « majestueux, avec ses culottes courtes, ses souliers à boucles, sa belle épée pendue au côté, sa longue canne à pomme d’ivoire faisant clop, clop, sur les dalles, celui que ma jugeote d’enfant prit aussitôt pour monsieur le marquis de Frescati… ».
Depuis le récit du « Pape des fourniers » jusqu’à l’évocation des meuniers qui figure dans ce recueil, l’œuvre de François Jouve s’inspire de la vie locale et des familiers qui ont fréquenté le « Four du Blondin », avec pour décor ce « Carpentras comtadin ». Il traite ses personnages, dessine leurs caractères, avec humour et malice, sans oublier de les inscrire dans l’histoire, comme le montre certaine allusion à l’antique boulangerie de Pompéi.
Les textes de François Jouve sont composés comme des intermèdes, de petites chroniques salutaires signées, parfois, du pseudonyme : L’Ermitan de Frescàti (L’Ermite de Frescati).
Édition bilingue Occitan provençal (graphie mistraliènne) et français. Traduction française de Lucette Besson.
Titre original : Lou Marqués de Frescàti & àutri conte
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2019 Editions A l'asard Bautezar
Traduit par Lucette Besson
168 pages
22 juin 2019
ISBN : 9791094199138
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