Moi, ce que j'aime, c'est les monstres, tome 1Emil Ferris2018

Je crois que je n'ai jamais été autant convaincue par un roman graphique : au-delà des dessins qui démontrent un style unique et qui sont parfaitement adaptés au récit, le fond de cette histoire est absolument brillant et percutant. C'est un parfait mélange entre histoire, références à l'art et à la pop culture, réflexions sur l'humanité et sur la nature humaine, et intrigue prenante.

Journal autobiographique crayonné au stylo par une artiste atypique et géniale qui propose une oeuvre d'art d'émotion et d'icônes impressives. L'autrice apporte un point de vue artistique sur une époque avec de nombreuses influences notamment de la culture pop avec les couvertures de Pulp fictions et des références à des œuvres d'art. C'est malaisant, poignant et percutant.

J'en attendais beaucoup... Probablement trop. J'ai abandonné à la moitié. Trop brouillon et foisonnant pour moi.

Ode à la différence, la tolérance, l'originalité, l'amour via un support exceptionnellement beau. Des sujets durs sont abordés et en côtoient d'autres plus légers, générant une œuvre simplement humaine qui parle direct au cœur. Un succès mérité !

J’ai été bluffée et fascinée par ce petit bijou. L’esthétique m’a complètement retournée, autant que l’intrigue et les références historiques de la fin des années 60, omniprésentes et extrêmement fortes. J’attends avec impatience de pouvoir lire le deuxième tome qui à coup sûr sera tout aussi génial !