Synopsis
Dans ce nouveau recueil, dont l’édition originale est parue à Beyrouth en janvier 2004, Mahmoud Darwich semble comme à son habitude prendre ses distances par rapport à son précédent recueil pour se lancer dans une nouvelle aventure tant dans le contenu que dans la forme.
La même question qui le taraude depuis quelques années, celle de la frontière entre la poésie et la prose, est posée, d’une manière ou d’une autre, à travers les quarante-sept poèmes courts de la première partie du livre ("Envie de cadences") et surtout les cinq compositions plus amples – dont trois consistent en hommage à des poètes qui lui sont proches : l’Egyptien Amal Junqul, le Grec Yannis Ritsos et le Syrien kurde Salim Barakat.
La même question qui le taraude depuis quelques années, celle de la frontière entre la poésie et la prose, est posée, d’une manière ou d’une autre, à travers les quarante-sept poèmes courts de la première partie du livre ("Envie de cadences") et surtout les cinq compositions plus amples – dont trois consistent en hommage à des poètes qui lui sont proches : l’Egyptien Amal Junqul, le Grec Yannis Ritsos et le Syrien kurde Salim Barakat.
Titre original : Lâ ta’tadhir ‘ammâ fa’alta (2004)
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2006 Editions Actes Sud
Traduit par Elias Sanbar
133 pages
ISBN : 2742759085
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Ce recueil de poésie met en avant le Proche-Orient (avec des poèmes dédiés à l Égypte, Tunis ou Damas) et la culture arabe (par ses épigraphes). Mais c est la Palestine, l'idée de cette terre perdue, qui traverse l ouvrage et bouleverse.