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  • #0 02 Juin 2022 01:30:21

    Et j'en profite pour remercier encore une fois Julie pour tout son travail, encore une fois ce book club a été une réussite!  :clapi:
  • #0 01 Juin 2022 16:55:52

    J'aime bien aussi ces "déviation" ! Il ne faut pas s'empêcher d'intervenir dans les bookclub, c'est le but justement!
  • #0 01 Juin 2022 11:20:37

    Mais non, c'est très intéressant, ces questions! ;)  Moi tant qu'on parle de littérature, ça ne me dérange pas qu'on dévie un peu... :lol:
  • #0 01 Juin 2022 11:13:57

    Coucou,

    J'ai fait dévier le débat (par rapport au.x sujet.s principal/aux du livre!), avec mon dada d'avoir un aspect contextuel en plus du texte même... :sifflote:
    Je ne vais pas reprendre tout ce que vous dites, je reviens trop tard, mais juste un point:

    Emmani a écrit

    C'est tout à fait vrai ! Il y a quelques exceptions, je pense à La papeterie Tsubaki qui laissait beaucoup voir le Japon et nous faisait vraiment voyager là-bas. Il y a aussi le fait que comme la "littérature africaine" était le thème de ce BC, on s'est mis en tête de découvrir tel pays d'Afrique et du coup, ça accentue les attentes de ce côté-là.

    Assez d'accord sur le traducteur, il ne doit intervenir que quand il y a problème à la compréhension (les prénoms/noms japonais et la signification de l'utilisation de l'un plutôt que l'autre dans notre dernier BC par exemple), mais il ne doit pas prendre trop de place.


    En effet je n'y pensais pas à La papeterie Tsubaki, où on est réellement "transportés" dans un certain Japon!
    Et je suis d'accord avec toi Emmani que le traducteur ne doit pas prendre trop de place, ce n'est pas son rôle, MAIS rien n'empêche une note en postface!
    Ma référence absolue en la matière reste L'homme qui savait... -qui, en plus, est un très bon livre!- où le traducteur a pris la peine d'une postface didactique mais pas trop, et tout à fait opportune! ;)

    Mais bon, tout ça c'est ma vision du "livre idéal" qui n'existera jamais (à moins que je me lance dans l'édition? ah ah! #seconddegré) et comme je disais, ça nous éloigne d'Americanah  en fait. Je suis désolée!

  • #0 31 Mai 2022 22:02:19

    C'est tout à fait vrai ! Il y a quelques exceptions, je pense à La papeterie Tsubaki qui laissait beaucoup voir le Japon et nous faisait vraiment voyager là-bas. Il y a aussi le fait que comme la "littérature africaine" était le thème de ce BC, on s'est mis en tête de découvrir tel pays d'Afrique et du coup, ça accentue les attentes de ce côté-là.


    C'est que là j'imagine que c'était un des buts de l'auteur.  Peut-être même qu'il pensait aux lecteurs internationaux dès le départ en écrivant ce livre.  (Je ne l'ai pas lu, cela dit)

  • #0 31 Mai 2022 10:44:57

    Grominou a écrit

    Je viens de penser à quelque chose.  Souvent quand on lit un auteur d'un pays étranger, on s'attend à ce qu'il y ait une description de la culture, vie quotidienne, politique etc.  Alors qu'on ne s'attend pas à cela si on lit un livre de la France ou des États-Unis.  Si je lis un roman québécois, ça va me sembler superflu s'il y a beaucoup de descriptions de la culture, alors que vous lecteurs européens allez aimer cela si la visite à la cabane à sucre est décrite en détails, avec même un petit historique de l'importance de l'industrie de l'érable au Québec, par exemple.  Alors je me dis qu'un écrivain africain (ou japonais par exemple, comme pour notre BC précédent) n'a pas nécessairement pour but premier de faire connaître la culture de son pays quand il écrit un roman.  Qu'en pensez-vous?


    C'est tout à fait vrai ! Il y a quelques exceptions, je pense à La papeterie Tsubaki qui laissait beaucoup voir le Japon et nous faisait vraiment voyager là-bas. Il y a aussi le fait que comme la "littérature africaine" était le thème de ce BC, on s'est mis en tête de découvrir tel pays d'Afrique et du coup, ça accentue les attentes de ce côté-là.

    Assez d'accord sur le traducteur, il ne doit intervenir que quand il y a problème à la compréhension (les prénoms/noms japonais et la signification de l'utilisation de l'un plutôt que l'autre dans notre dernier BC par exemple), mais il ne doit pas prendre trop de place.

    Dans une romance ou un roman doudou, je ne m'attends pas à ce qu'on m'explique le système politique du pays,


    Oui, c'est vrai qu'il faut prendre du recul. Moi je n'avais pas lu le résumé depuis le moment où le livre avait été proposé la première fois alors à part le fait qu'on parlait d'une Nigériane exilée aux E-U c'est tout ce que je savais du livre avant de le commencer :lol: Du coup j'attendais de voir un peu plus le Nigéria (mais je le verrai peut-être dans la suite un peu plus aussi !)

  • #0 31 Mai 2022 06:27:47

    ellalecrivain a écrit

    Grominou a écrit

    Perso je trouve que le traducteur n'a pas à aller plus loin que ce que l'auteur a voulu faire, à part le strict nécessaire pour permettre de comprendre l'intrigue.  Je ne trouve pas que ce soit son travail de nous faire un portrait complet de la société, si ce n'était pas le but de l'auteur.  Donc oui, des notes très courtes éclaircissant certains points précis lorsque c'est nécessaire pour l'intrigue, mais je ne m'attends pas à un document de plusieurs pages en annexe. ;)


    Je partage ton avis. Aller plus loin ce serait travestir l'auteur. Le traducteur traduit la pensée de l'auteur, il ne fait pas d'interprétation, il ne va pas au-delà
    Pour les descriptions, j'aime bien quand il y a quelques références à la culture (pas une tonne sinon ça devient un guide de routard) : au moins un plat, une ou deux habitudes typiques des habitants, des endroits fameux, etc.... Lire, c'est voyager pour moi.
    Le contexte politique, je m'en fiche comme dans la vraie vie :lol:

    A titre d'exemple, c'est à travers des romances que j'ai eu envie de découvrir le Gabon.


    C'est sûr qu'il faut aussi que ce soit adapté au genre littéraire.  Dans une romance ou un roman doudou, je ne m'attends pas à ce qu'on m'explique le système politique du pays, mais dans un thriller, ça peut avoir son importance.;)

  • #0 31 Mai 2022 03:40:58

    Je trouve ça super intéressant ce que tu dis Domi!
    C'est sur que des notes de bas de page trop longues ça alourdie, mais des notes pour mettre en contexte une référence culturelle par exemple c'est sympa et pertinent sans en faire un guide de voyage.

    J'imagine qu'avec un auteur d'un autre pays c'est à l'éditeur de cerner les besoins de ses lecteurs? Voir quelle référence risque d'être le moins bien comprise?
    J'avais déjà entendu une entrevue d'un auteur québécois qui parlait des modifications apportées à son roman pour qu'il sorte en France, et ça ne semblait pas  si apparent les modificationd ( pas en annexe ou en note de bas de page).
    Il y a donc surement beaucoup de chose qu'on me réalisé pas en temps que lecteur (après la magie du cinéma, la magie de l'édition? ):ptdr:
  • #0 31 Mai 2022 00:23:26

    Grominou a écrit

    Perso je trouve que le traducteur n'a pas à aller plus loin que ce que l'auteur a voulu faire, à part le strict nécessaire pour permettre de comprendre l'intrigue.  Je ne trouve pas que ce soit son travail de nous faire un portrait complet de la société, si ce n'était pas le but de l'auteur.  Donc oui, des notes très courtes éclaircissant certains points précis lorsque c'est nécessaire pour l'intrigue, mais je ne m'attends pas à un document de plusieurs pages en annexe. ;)


    Je partage ton avis. Aller plus loin ce serait travestir l'auteur. Le traducteur traduit la pensée de l'auteur, il ne fait pas d'interprétation, il ne va pas au-delà
    Pour les descriptions, j'aime bien quand il y a quelques références à la culture (pas une tonne sinon ça devient un guide de routard) : au moins un plat, une ou deux habitudes typiques des habitants, des endroits fameux, etc.... Lire, c'est voyager pour moi.
    Le contexte politique, je m'en fiche comme dans la vraie vie :lol:

    A titre d'exemple, c'est à travers des romances que j'ai eu envie de découvrir le Gabon.

  • #0 30 Mai 2022 21:51:53

    Perso je trouve que le traducteur n'a pas à aller plus loin que ce que l'auteur a voulu faire, à part le strict nécessaire pour permettre de comprendre l'intrigue.  Je ne trouve pas que ce soit son travail de nous faire un portrait complet de la société, si ce n'était pas le but de l'auteur.  Donc oui, des notes très courtes éclaircissant certains points précis lorsque c'est nécessaire pour l'intrigue, mais je ne m'attends pas à un document de plusieurs pages en annexe. ;)
  • #0 30 Mai 2022 21:37:16

    Grominou a écrit

    Je viens de penser à quelque chose.  Souvent quand on lit un auteur d'un pays étranger, on s'attend à ce qu'il y ait une description de la culture, vie quotidienne, politique etc.  Alors qu'on ne s'attend pas à cela si on lit un livre de la France ou des États-Unis.  Si je lis un roman québécois, ça va me sembler superflu s'il y a beaucoup de descriptions de la culture, alors que vous lecteurs européens allez aimer cela si la visite à la cabane à sucre est décrite en détails, avec même un petit historique de l'importance de l'industrie de l'érable au Québec, par exemple.  Alors je me dis qu'un écrivain africain (ou japonais par exemple, comme pour notre BC précédent) n'a pas nécessairement pour but premier de faire connaître la culture de son pays quand il écrit un roman.  Qu'en pensez-vous?


    Pour ma part, tout à fait d'accord avec toi, Grominou.
    L'auteur  ne doit pas décrire sa culture etc. dans sa narration même! - enfin, plus exactement: libre à lui/elle de le faire, et dans quelle mesure, mais ce n'est pas ça qu'on attend d'un.e auteur.e; ce qu'on attend, c'est qu'il/elle nous raconte une histoire qui nous emporte "ailleurs". ;)

    En revanche, j'insiste toujours sur le fait que c'est le boulot du traducteur (puisque c'est théoriquement le plus "informé", ou pour le moins ça fait partie de son boulot de se renseigner un maximum), qui peut alors proposer une "note du traducteur" plus ou moins longue (c'est le cas dans L'homme qui savait la langue des serpents par exemple, et comme ni les Français ni les Québécois ni les Belges :P ne connaissent vraiment l'Estonie, et encore moins l'Estonie historique, c'était vraiment indispensable!), et, en dernier ressort, de l'éditeur, de proposer sous forme d'annexe, de préface, d'introduction ou que sais-je, quelques éléments (et une ou des carte.s!) qui permettent à tous les lecteurs de s'y retrouver, quel que soit leur âge et leur accès (ou non, parce que oui, ça existe encore, des gens non connectés!) à Internet.
    Dans ma vision des choses, un livre devrait se suffire à lui-même pour tous ces points-là, et les éditeurs devraient aller plus loin que seulement proposer un texte et basta... ça ne doit pas forcément être long, pas de longues théories sur des tas de pages qui feraient grimper le prix du livre, et ceux qui n'en veulent pas ne sont pas obligés de lire ces éléments annexes, mais au moins l'objet-livre serait vraiment complet.
    Mais bon, c'est ma vision des choses, qui s'accentue quand il s'agit d'un.e auteur.e "exotique" par rapport à ce qu'on connaît, mais visiblement elle n'est que rarement partagée...

  • #0 30 Mai 2022 21:08:04

    Je viens de penser à quelque chose.  Souvent quand on lit un auteur d'un pays étranger, on s'attend à ce qu'il y ait une description de la culture, vie quotidienne, politique etc.  Alors qu'on ne s'attend pas à cela si on lit un livre de la France ou des États-Unis.  Si je lis un roman québécois, ça va me sembler superflu s'il y a beaucoup de descriptions de la culture, alors que vous lecteurs européens allez aimer cela si la visite à la cabane à sucre est décrite en détails, avec même un petit historique de l'importance de l'industrie de l'érable au Québec, par exemple.  Alors je me dis qu'un écrivain africain (ou japonais par exemple, comme pour notre BC précédent) n'a pas nécessairement pour but premier de faire connaître la culture de son pays quand il écrit un roman.  Qu'en pensez-vous?
  • #0 30 Mai 2022 12:43:45

    J'ai lu vos avis aussi en sautant les passages qui parlaient de choses que je n'avais pas lues, car malheureusement j'espérais avancer mais j'en suis toujours à la moitié (juste quelques chapitres plus loin, le week-end a été chargé et je n'ai pas envie de presser cette lecture). J'ai été particulièrement lente parce que j'écoutais l'audio (au début je n'appréciais pas trop la lectrice, ça n'a pas aidée à m'immerger dans le livre, je l'ai emprunté en papier du coup et en fait je me suis habituée à sa façon de lire) et je passais à la version papier que de temps en temps.

    Dommage pour la participation au bookclub, mais je vais prendre mon temps pour le terminer tranquillement, je viendrai peut-être en reparler si j'ai des choses à rajouter.

    Je comprends ce que dit Gnout et d'autres. C’est à la fois très bien et en même temps on est pas vraiment à fond et on a pas plus que ça envie d'y retourner. Peut-être que c’est le manque d’habitude de cette littérature-là ? Ou tout simplement ce n'est pas ce genre de livre-là. Au final, je passe quand même un très bon moment de lecture, et surtout, ma lecture est très édifiante.

    → Les personnages :
    J’ai eu du mal au début à m’y attacher. J’ai trouvé que la façon d’entrer dans le livre n’était pas l’idéal, autant sur l’intrigue que sur la découverte des personnages. Les scènes dans le salon de coiffure était d’une lenteur infinie et on avait l’impression qu’Ifemelu était en position de supériorité par rapport aux autres, ce que je n’aimais pas trop…
    Quand on entre dans son passé et notamment qu’on voit sa rencontre avec Obinze, j’ai commencé à m’attacher à elle et après c’était parti. J’ai beaucoup aimé la tante Uju (beaucoup moins une fois aux États-Unis) et Obinze, évidemment. Dike aussi m'a plu, notamment avec son point de vue d'expat' dès la toute petite enfance et ses questionnements identitaires. Guinica m’avait déplu de prime abord, mais elle est grandement remontée dans mon estime (spoiler des premiers 40% grand max) :


    Spoiler (Cliquez pour afficher)

    vu l’aide qu’elle apporte à Ifemelu, notamment quand elle est en dépression après le mec du tennis…



    Les personnages rencontrés au fur-et-à-mesure ne m’ont pas fait grande impression autrement, que ce soit Kimberley, Curt, Morgane.

    → L’intrigue :
    Comme je disais sur le topic d’inscription : j’ai vraiment mis beaucoup beaucoup beaucoup de mal à rentrer. J’ai cru que j’allais l’abandonner franchement. L’intrigue avançait peu (on a passé combien de temps dans ce salon de coiffure ? Elle y revenait sans cesse), Domi parlait aussi de la temporalité un peu spéciale sur le topic d'inscription et c’est vrai que ça m’a déstabilisée, pas dans le sens où j’étais perdue mais plutôt où j’étais en mode « okay donc on change encore, elle me parle de quoi ? Mmh, j’étais mieux dans l’intrigue d’avant ». Et puis, je trouvais le style assez froid et ça me donnait du fil à retordre, mais au final je m’y suis faite. J’avoue que la romance avec Obinze, bien que je me sois dit « okay super classique » au départ, m’a bien aidée à rentrer dans le livre. Je trouve que le fait qu'elle ait plusieurs histoires dans sa vie permet à la limite de diluer un peu l'importance de la romance, je ne pense pas que ça me gênera, et je trouve leur histoire belle jusque là.

    → Les thématiques :
    C’était surtout traité à partir du moment où elle est partie aux Etats-Unis (j’ai trouvé qu’elle mettait un temps fou à y aller d’ailleurs), et c’est vraiment le gros plus du livre. J’ai trouvé ça hyper intéressant, bien décrit, j’ai ressenti tout ce que pouvait ressentir Ifemelu, j’ai été dégoutée, en colère, triste avec elle. Comme vous disiez, en tant que personne blanche, lire ce livre était vraiment instructif et important. C'est pour moi le gros point fort du roman. Je crois que toute la partie de son arrivée aux Etats-Unis, de ses galères, des discriminations, des changements chez elle dans sa façon de se voir etc a été le moment le plus intéressant jusque là, j'ai avancé très vite sur cette partie-là.

    En revanche, je m’attendais à quelque chose de plus dépaysant, à plus découvrir la culture nigériane, mais bien qu’on y passe un certain temps, là où j’en suis j’ai trouvé que ça n’était pas si développée que ça, comme Domi et Julie, j'aurais aimé en avoir plus. Sans expliciter dans les moindres détails la politique au Nigeria, j'aurais aimé qu'on nous parle plus de la situation du pays, de la corruption et même niveau vie et culture, je m'attendais à en voir plus. Mais elle n'est pas encore retournée au Nigeria là où j'en suis alors j'ai espoir d'en voir un peu plus !

    → EN BREF :
    J’aime beaucoup ma lecture, qui est un peu atypique dans sa narration, avec un style un peu froid, mais hyper intéressante sur les thématiques. Si j’ai eu beaucouuup de mal au début, au final, j’adore l’héroïne et j’aime beaucoup suivre son parcours, même si certains passages m’intéressent moins.


    Spoiler (Cliquez pour afficher)

    Le passage où elle a enfin trouvé un job et où elle nous parle en détail des enfants de Kimberley… ça m’a pas trop intéressée par exemple. Pareil pour sa vie avec Curt qui ne la mérite pas à mes yeux et en fait trop pour moi, sans compter le décalage entre eux…

  • #0 30 Mai 2022 08:36:12

    J'ai rapidement lu vos avis mais je n'en suis qu'à 40% de lecture... On m'avait prévenu que la lecture serait dense et demandait de l'attention mais je m'y suis pris un peu trop tardivement. De plus, j'ai assez de mal à entrer dans l'histoire, je lis avec entrain et finalement assez rapidement mais une fois le livre posé, je n'ai pas spécialement envie d'y retourner.
    Je pense que c'est sans doute lié au fait qu'il n'y a pas vraiment d'intrigue, ce sont surtout des tranches de vie, entre USA et Nigeria, la romance entre les 2 personnages principaux n'étant pas vraiment ce qui m'attire le plus.
  • #0 30 Mai 2022 06:41:58

    Julie27 a écrit

    Des phrases du type "Il n' y a pas de race, que la race humaine", j'en ai peut-être déjà dit.... Du coup dans mes dents "C’est exactement le privilège des Blancs, que vous puissiez faire ce genre de réflexion. La race n’existe pas véritablement pour vous parce qu’elle n’a jamais été une barrière. Les Noirs n’ont pas ce choix."
    J'ai vraiment trouvé l'approche immersive et instructive ! C'est ce qui m'a marquée.


    Tout à fait ça, hélas...

    Concernant la "Romance", j'ai trouvé intéressante chacune des relations des deux protagonistes car elles étudiaient tout des rapports de force ou d'intérêts. Elles m'ont plus en tant qu'objet d'étude XD