@Catysprint : Parce que
La petite fille qui aimait Tom Gordon passe son temps à te faire qu'il va se passer quelque chose et te fait un pet mouche en fin de scénario pour que tu ne puisses pas dire qu'il ne s'y passe rien... :goutte: Donc arrivé en fin de lecture, j'ai comme un petit goût de foutage de g*****... :-1: D'où l'énervement... Mais 2 mauvais moments sur +/- 25 King lus, c'est pas mal même si tout le reste n'était pas des "chefs-d'oeuvre" mais il y a eu de très très belles perles!
Et oui, je comprends pour
Désolation qui personnellement n'est pas allé jusqu'à m'agacé mais plutôt me donné une sensation de gâchis : la première moitié avec une mise en place qui était plutôt bien mais la résolution, la fin... est très plate... C'est pour ainsi dire de la série Z. :goutte: C'est dommage.
Alors je ne sais pas si je dois commenter
Les yeux du dragon tout de suite ou attendre que tu le lises. :goutte:
Pour une part de ses écrits, Stephen King évacuait des cauchemars qui lui étaient propres (notamment du un trauma enfantin) et au fond oui, je pense sincèrement que c'est quelqu'un qui a une imagination débordante mais l'idée de départ aussi bonne soit-elle ne fait pas tout. Il peut avoir tendance à "rallonger" ses histoires inutilement inutilement parfois (d'où pour moi son efficacité dans les nouvelles) ou à ne pas toujours savoir comment terminer finement ses histoires (
ex :
Désolation). Et disosn-le cette réputation de "King n'écrit que de l'horreur" est complètement erronée! Il faut lire
Marche ou crève ("anticipation") ou encore
Rage ("drame"), et il en a écrit encore bien d'autres mais ce sont ceux qui me viennent à l'esprit en premier parmi ceux que j'ai lus.
A l'inverse, j'ai du mal avec les adaptations ciné... :goutte: Oui j'en ai vu des pas mal parmi celles que j'ai lu mais c'est tout. Mais il y a des films que j'adore mais dont je n'ai pas encore lu le livre. =) J'ai pas encore le
Simetierre de l'an passé.
Pour le personnage féminin dans
La Tour Sombre tome 2, je confirme les dires de
@Grominou. ;)
Mais il n'y a pas eu que l'entourage, il n'y a pas que l'entourage. Pour dire les choses, telles qu'elles sont, je crois surtout que
Le cœur de l'ogre fut une lecture troublante car elle parlait de l'ogre au fond de chacun de nous : celui qui nous est propre. Elle parle de l'ogre qui fait partie de soi-même : le mien y compris. Sur ce plan-là, certains passages étaient d'une force qui m'a fait fibrer... Parce notre ogre n'est pas forcément sanguinaire (il peut l'être mais ne l'est pas forcément), il juste faim : de connaissances, de donner, de raconter, de compter,... irasciblement faim. On a tous une ou des choses comme ça qu'on ne peut s'empêcher de "faire", c'est "plus fort que nous". C'est notre ogre. Et Isabelle Sorente, le dit bien tant qu'on y fait attention et qu'on a conscience de lui, qu'on ne lâche pas la corde, il peut très bien être là au fond sans causer de mal à qui que ce soit. Et c'est pour ça que Gilles de Rais est cité tout du long c'est parce qu'elle prend là un personnage célèbre notamment pour avoir perdu le contrôle de son ogre, pour s'être fait dévorer par lui...
D'ailleurs si ça te tente, j'ai retrouver ma
critique, j'écrivais moins à ce moment-là. :goutte:
Pas de problème pour l'analyse ciné! :D Y a pas d'excuses à faire! ;) Je peux comprendre un certain ras-le-bol si tu as ça chez toi constamment. :D
@Cendre : Je l'ignorais. :D
@Grominou : Le mot "cycle" est déjà utilisé pour certaines "sagas", notamment chez
Bernard Werber il me semble car c'est le nom que lui leur donne.
Je te rejoins complètement à propos de King. :-) Sauf sur
Les Yeux du dragon car je fais en effet partie de la seconde catégorie... :goutte: