#1007 04 Mars 2015 20:05:18
J'ai entendu une émission de radio dans laquelle était invité un type qui avait fait une thèse en sociologie sur les livres de développement personnel, et sur leur public. Les enquêtes réalisées montraient que la plupart des fictions pouvaient être considérées comme des livres de développement personnel, pourvu que le lecteur inscrive sa lecture dans la perspective d'une amélioration de la connaissance de soi et de son quotidien.
Tout ça pour dire que si on ne peut pas trouver dans les livres de choses qui n'y sont pas, on n'y trouve en revanche que ce que l'on y cherche!
Je viens de terminer un roman/autofiction/essai d'Elif Shafak, Lait noir.