[Topic unique] Des trésors dans vos livres - Citations

Il faut garder à l'esprit que les lois sont rédigées par ceux qui détiennent le pouvoir et dans le but de les maintenir au pouvoir
(Lakota Woman- Marie Crow Dog)

Nous sommes simplement deux personnes. Il n'y a pas tant de choses qui nous séparent. Pas autant que je l'aurais cru
(La couleur des sentiments - Kathryn Stockett )

C'est l'interprétation des écrits que je remets en question. Les hommes interprètent ces textes comme il leur plait, selon le contexte. Dieu a coté l'humaine d'une intelligence ; les églises cherchent à la circonscrire avec des doctrines qui font de l'homme le centre de l'Univers. Ce qui n'est point le cas. L"homme évolue dans un milieu qui évolue avec lui et non pour lui
(La fille du pasteur Cullen - Sonia Marmen)

on n'a pas assez de temps ; c'est cette absence de temps qui provoque les combats dans nos coeurs, et il nous faut donc le dépenser sagement. On ne peut pas offrir du temps. Mais on peut le partager.
(Un cadeau du ciel - Cecelia Ahern)

La richesse d'un homme n'est pas ce qu'il possède mais ce qu'il laisse derrière lui

Celui qui te raconte qu'il existe symphonie plus grande que le souffle qui t'anime te ment. Il en veut à ce que tu as de plus beau : la chance de profiter de chque instant de ta vie. Si tu pars du principe que ton pire ennemi est celui-là même qui tente de semer la haine dans ton coeur tu auras connu la moitié du bonheur. Le reste, tu n'auras qu'à tendre la main pour la cueillir. Et rappelle-toi ceci : il n'y a rien, absolument rien au-dessus de ta vie.. Et ta vie n'est pas au-dessus de celle des autres. 
(L'attentat - Yasmina Khadra)

"J'évoque alors avec force détails les affres dans lesquelles je me débats, les stratégies matinales pour retarder le moment de m'y mettre (remplir le lave-vaisselle, vider le lave-linge), mes somatisations diverses (lumbago, contractures musculaires, crampes, torticolis) visant à m'empêcher de m’asseoir devant mon ordinateur, les cheveux que je m'arrache au sens propre comme au figuré, les vingt-cinq cigarettes que je rêve de fumer d'affilée sans reprendre mon souffle, les pastilles-à-la-menthe-à-la-framboise-au-caramel-aux-pins-des-Vosges que je suçote avec passion puisque je ne fume plus, ce sentiment de me battre au sens physique du terme, d'en découdre pour de bon."

"[...]ma mère éprouva une forme de paix, de soulagement, à côtoyer d'aussi près quelqu'un dont le tourment était au moins aussi douloureux que le sien."

"Lucile nous a laissé ce doute en héritage, et le doute est un poison".

"Lucile avait des lubies, des phobies, des coups de gueule, des coups de cafard, aimait prononcer des bizarreries - auxquelles elle-même croyait plus ou moins - passer du coq à l'âne et de l'âne au coq, se mettait martel en tête, lançait des piques, frôlait les limites, jouait avec le feu. Lucile aimait naviguer à contre-courant, mettre les pieds dans le plat, se savait sous surveillance, défiait parfois notre regard, s'amusait à nous alarmer et revendiquait sa singularité.
Lucile n'aimait pas la foule, le nombre, le monde, les grandes tablées, fuyait les mondanités, se laissait apprivoiser en tête à tête, en petit comité, ou bien au court d'une promenade, dans le mouvement de la marche. Lucile restait secrète sur ses sentiments, ne livrait jamais le plus intime, réservait à quelques-uns le fond de sa pensée. Elle était ce mélange étrange de timidité maladive et d'affirmation de soi".

"J'ai lu et relu la pudeur de Lucile, cette élégance qui consiste à mêler le prosaïque à la douleur, l'anecdote à l'essentiel."

Rien de s'oppose à la nuit - Delphine de Vigan

"Vous, vous allez régner à votre tour. Enfin,
Soit. Mais souvenez-vous que vous avez eu faim."

Mangeront-ils ? de Victor Hugo

Une année particulière, Thomas Montasser