#57 30 Janvier 2019 20:54:43
Coucou tout le monde,
J’ai terminé "Celui qui a peur du loup" de Karin Fossum.
Mon avis
J’ai passé un très bon moment de lecture avec ce roman policier.
Et pourtant, j’ai été déroutée pendant une bonne partie du début. En effet, le style de narration m’a enquiquinée jusqu’à ce que je me souvienne qu’il s’agissait exactement du même utilisé par Camilla Läckberg dans ses romans. Ce sont donc une suite de paragraphes s’occupant chacun d’un des personnages, le tout à la suite et avec pour simple coupure, un tout petit espace entre les paragraphes. Il est vrai qu’au début, c’est quelque peu déroutant, mais finalement on s’y retrouve.
L’enquête policière est assez simple et pourtant prenante. J’y ai retrouvé tout le style relatif aux polars nordiques, toute cette lenteur inhérente à ce genre. Il ne faut donc pas s’attendre à énormément d’action mais plutôt à des personnages forts et le tout centré sur leur psychologie.
J’ai finalement beaucoup aimé ce livre même s’il faut reconnaître qu’il ne révolutionne pas le genre. Malgré tout, si vous appréciez Camilla Läckberg, je ne peux que vous conseiller de découvrir cette auteure, tout en sachant que Karin Fossum se centrera tout de même moins sur la vie privée de ses personnages mais davantage sur leur psychologie.
Ma note : 15/20
* * *
Voici ma nouvelle lecture. Il s’agit de "Ce qu’ils n’ont pas pu nous prendre" de Ruta Sepetys.
Résumé de l’éditeur
Une nuit de juin 1941, Lina, quinze ans, sa mère, Elena et son petit frère, Jonas, dix ans sont brutalement arrêtés par la police secrète soviétique.
Au bout d’un voyage épouvantable de six semaines, presque sans eau et sans nourriture, entassés dans des wagons à bestiaux, ils débarquent au fin fond de la Sibérie, dans un camp de travail soviétique. Logés dans des huttes, sous alimentés, brutalisés, les déportés tentent de survivre et de garder espoir. Dans le kolkhoze, le travail de la terre est éreintant. Mais malgré la mort, la maladie, le froid, la faim et la terreur, Lina tient bon, soutenue par une mère exemplaire, son amour pour un jeune déporté de dix-sept ans, Andrius, et portée par sa volonté de témoigner au nom de tous et de transmettre un signe de vie à son père (condamné à mort dans un autre camp) grâce à son art du dessin et à l’écriture.
Ceci est une lecture commune avec ma Julie que je remercie de bien vouloir partager à nouveau la lecture d’un roman de cette auteure. :bisous: Nous avions adoré "Le sel de nos larmes", du coup, nous espérons surtout ne pas être trop déçues.
Des bisous. :pink: