Merci pour tous vous messages !
@Aveline : c'est vrai que ça ferait une bonne petite série de films à la Nicolas Cage ou à la Indiana Jones (mon péché mignon de temps à autre et aussi une des raisons pour lesquelles j'ai fait histoire de l'art). Ce deuxième tome m'a un peu moins plu que le premier. Disons que le tombeau d'Hercule est oublié pendant une grosse partie du roman. J'ai le troisième tome que j'ai emprunté.
@Grominou : cela me rassure, car L'Assomoir fait partie de ceux qui me font le plus peur de lire dans cette série... Je pense que je le commencerai relativement prochainement. J'ai commandé Une page d'amour et Nana que j'ai hâte de recevoir.
@Triskeliga : tu pourras certainement plus l'apprécier que moi. J'ai eu du mal avec les personnages, je trouvais l'histoire trop prévisible, parfois inutilement longue.
@Mypianocanta : tu fais bien de me le rappeler pour le challenge. Je peux comprendre qu'il soit un des moins bien apprécié. Il y a beaucoup d'attentes dans ce roman et, en définitif, il ne se passe pas grand chose. La fin n'est pas aussi flamboyante que dans La Conquête de Plassans, par exemple.
@Catysprint : le seul atout du confinement. Mais j'avoue que j'ai hâte que les lieux patrimoniaux et culturels rouvrent. Même si je fais la saison cet été en Haute-Savoie à faire des visites guidées, les postes plus pérennes sont difficiles à trouver dans la culture en ce moment.
Au niveau horreur, The Year of the Witching ne m'a pas donné de cauchemars, contrairement à mon autre coup de coeur, The Hollow Places. Aveline pourra aussi confirmer que ce dernier nous a fait quelques sueurs froides... :'S All the bad apples est encore dans ma tête, alors que ça va bientôt faire un an que je l'ai lu. C'est une histoire incroyable.
J'étais prête à aller acheter Faust samedi dernier, mais quand j'ai vu la queue dans ma librairie préférée, je me suis dit que ça attendra la semaine prochaine. Je dois y passer cette semaine et je le prendrai à ce moment. Je ne connaissais pas le von Kleist mais je note aussi. Les frères Grimm :heart: J'adore aussi. Peut-être mes préférés avec Andersen.
Merci. Il n'a pas beaucoup avancé ces derniers jours, mais je vais m'y remettre.
Depuis mon dernier passage, j'ai lu deux romans très courts, mais adorables.
• Il n'est jamais trop tard d'Anne Yougson, qui traînait depuis un moment dans ma wish-list. Un roman épistolaire entre un conservateur de musée danois et une anglaise sur l'homme de Tollund (qui existe vraiment et les hommes et femmes des tourbières sont fascinants. J'ai eu l'occasion d'en voir plusieurs quand j'habitais en Irlande) et, petit à petit, sur leurs vies, ce qu'ils en attendent...
• Le rêve de nos mères de Carine Pitocchi, que j'ai découvert par hasard à la médiathèque et que j'ai beaucoup aimé. Pas un coup de coeur, mais j'ai beaucoup aimé suivre les aventures d'Edna, Emily et Julia dans leurs quêtes d'amour, de liberté...
Depuis quelques temps je suis dans un essai historique sur les épouses des hauts dignitaires nazis et j'en suis grandement déçue. Il se laisse lire, mais le résumé me laissait penser à un ouvrage plus ambitieux que ce que je suis en train réellement de lire. De un, souvent, les épouses s'effacent à nouveau devant leurs maris. De deux, bonjour les ragots (qui est amie avec qui, pourquoi cette dernière n'aime pas celle-ci, qui son mari trompe avec sa secrétaire,... De trois, de nombreuses coquilles, fautes de frappes... L'auteur n'est pas un historien également, il est auteur/scénariste et, même s'il y a une bibliographie, le texte manque de notes de bas de pages, de précision. C'est écrit comme un roman. Je me demande pas si c'est plutôt un titre racoleur (et un contenu qu'il est tout autant) que vraiment une étude sérieuse. Il est plutôt bien noté sur Goodreads, ce qui me fait poser des questions sur ma lecture, d'y poser un regard trop critique sur la manière dont il est écrit, l'utilisation des sources, savoir si la problématique de départ est bien répondu... Sincèrement, je pourrai même commenter le résumé...
Femmes de nazis de James Wyllie
Goering, Goebbels, Himmler, Heydrich, Hess, Bormann... Derrière ces noms synonymes de pouvoir et d'influence dans l'Allemagne hitlérienne, se cachent Emmy, Magda, Margarete, Lina, Ilse et Gerda. Compagnes des plus hauts dignitaires nazis, elles ont participé à la conquête du pouvoir, se sont tenues au côté de leurs époux, les ont encouragé parfois.
Ferventes idéologues, personnalités fascinées par Hitler ou en quête de pouvoir et de richesse, elles jouèrent un rôle déterminant dans la conduite des affaires du Troisième Reich. Et pourtant, écartées des grands procès qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, elles furent largement reléguées au second plan de l'Histoire. Explorant pour la première fois le destin de ces femmes de nazis, James Wyllie pose une question fondamentale : pourquoi ne tient-on pas les femmes autant responsables de l'Histoire que les hommes ?