: Un roman feel-good sans prise de tête, parfait pour bouquiner sur la plage ou dans le jardin l’été. On ne se fatigue pas vraiment les neurones, mais c’est frais et mignon. Ces deux sœurs que tout oppose : caractère, style de vie, choix de valeurs finissent par se rapprocher et redécouvrir l’essentiel. Ça fait du bien, tout simplement !
<image> Titre du livre : Lemon Auteur : Yeo-Sun Kwon
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: Court roman coréen fortement conseillé par ma libraire préférée qui, cette fois, s’est trompée pour moi. J’ai l’impression d’être totalement passée à côté de ce livre. Je me suis embrouillée dans les personnages et n’ai pas saisi les intentions de l’autrice. Dommage, sans doute … On lit une description d’une certaine société coréenne en réaction à l’assassinat d’une jeune fille. C’est supposé être un thriller mais je n’y ai pas retrouvé les mécanismes du genre et suis restée sur ma faim quant au dénouement.
: Deuxième tome de la série : l’enquête se déroule dans le décor grandiose des Glénan, fort bien décrit par Jean-Luc Bannalec. Le livre vaut surtout, à mon avis, par les lignes dédiées à la Bretagne et l’océan très joliment dépeints par l’auteur. L’intrigue policière en elle-même n’est pas très originale et les personnages un peu nombreux, mais ça se lit tranquillement. Je continuerai la série en espérant un peu plus d’action.
: Série découverte grâce à Mickaël Brun-Arnaud qui avait lancé un book-club autour de la lecture de ce premier tome. J’ai adoré l’ambiance un rien surannée de ce manoir plein de charme et de secrets et la balade à travers les jardins en reconstruction de Penford Hall. Les descriptions des fleurs et autres plantes se peignaient sous mes yeux et j’ai vraiment eu envie d’accompagner Emma dans sa tâche. L’enquête très cosy mystery se teinte d’humour et la présence en pointillés de cette fameuse Tante Dimity donne envie de poursuivre la saga.
: C’est le troisième livre de l’auteur que je lis et sûrement pas le dernier. J’ai été très touchée par ce récit dans lequel le quotidien de Jean laisse transparaître celui de Baptiste. Je ne sais pas jusqu’où, ni quand le texte est autobiographique mais peu importe, il nous livre le devant de la scène et ses coulisses. On se doute bien que les soignants sont obligés de mettre une distance avec leurs patients pour supporter le quotidien et les souffrances ; Baptiste Beaulieu, avec un humour souvent caustique et surtout une immense sensibilité, nous ramène à l’essentiel, à l’humanité. C’est beau et profond. Merci pour son soutien indéfectible aux femmes …