Synopsis
Pendant plus de vingt ans, de 1824 à 1846, Balzac n'a pas cessé d'accompagner sa création de textes théoriques et critiques : au plus près de l'œuvre, des préfaces ; au plus intime, le chuchoté de la correspondance et ce journal de la création que constituent les Lettres à madame Hanska ; au grand jour, les comptes rendus d'œuvres contemporaines tels que l'étude célèbre sur La Chartreuse de Parme ; au sein des œuvres mêmes, enfin, le commentaire sur le roman et la littérature.
Contre ceux qui pensent que le roman n'a pas de poétique, c'est en poéticien qu'il définit l'art du roman et ses lois esthétiques, avec une conscience aiguë de son entrée par effraction dans l'ordre des genres dominants. Ainsi se développe une réflexion profonde - contribution majeure à une théorie romantique du roman - que cette anthologie présente dans la diversité des circonstances qui la virent naître, dans la force de ses certitudes et dans la permanence de ses refus.
Contre ceux qui pensent que le roman n'a pas de poétique, c'est en poéticien qu'il définit l'art du roman et ses lois esthétiques, avec une conscience aiguë de son entrée par effraction dans l'ordre des genres dominants. Ainsi se développe une réflexion profonde - contribution majeure à une théorie romantique du roman - que cette anthologie présente dans la diversité des circonstances qui la virent naître, dans la force de ses certitudes et dans la permanence de ses refus.
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Ce recueil de textes théoriques et critiques est intéressant lorsque l'on veut comprendre l'oeuvre d'Honoré de Balzac et que l'on veut découvrir sa propre compréhension de la création littéraire de son temps. Cet ouvrage bien que difficile à appréhender, tout comme certaines œuvres de Balzac, me semble indispensable pour les étudiants en littérature.