[Suivi Lectures] Aealo

 
  • honha

    Surfeur des couvertures

    Hors ligne

    #81 07 Mai 2018 12:46:27

    Cachal_eau, je te remercie beaucoup pour ce message. Très, mais alors très intéressant ! J'aimerais beaucoup lire le cours de Nabokov, ne serait-ce que pour connaître mieux sa propre interprétation.
  • Cachal_eau

    Espoir de la lecture

    Hors ligne

    #82 09 Mai 2018 16:42:37

    honha a écrit

    Cachal_eau, je te remercie beaucoup pour ce message. Très, mais alors très intéressant ! J'aimerais beaucoup lire le cours de Nabokov, ne serait-ce que pour connaître mieux sa propre interprétation.


    Je n'ai pas tout lu du cours de Nabokov, juste l'introduction. ensuite il fait un commentaire de texte sur chaque chapitre en citant largement des extraits. Ce qui fait que le texte du cours en devient plus long que le récit de Kafka. Mais de ce que j'en ai lu, il a des avis assez tranchés. Passionnant mais un peu étroit.

    Je met un extrait d'un article ici sur ces cours puisqu'ils ont été édités chez Bouquins.

  • Mirmont

    A la découverte des livres

    Hors ligne

    #83 09 Mai 2018 18:39:56

    > Honha & Cachal_eau

    Je suis votre discussion autour des interprétations de la Métamorphose avec intérêt. Puisque vous évoquez les lectures publiques de Nabokov à ce sujet, voici une curiosité qui pourrait vous plaire : deux brèves vidéos du cours en question, dans lesquelles le russe est interprété par l'acteur canadien Christopher Plummer.
  • Cervus

    Lecteur fou

    Hors ligne

    #84 10 Mai 2018 00:47:46

    @Cachal_eau : Grand merci pour ce message. Extrêmement pertinent. J'ai beaucoup aimé cette formule que tu as utilisée et qui résume, à mon sens, pas mal l'univers de Kafka : "... si doucement qu'on a l'impression qu'ils lèvent seulement un sourcil là où la plupart des gens seraient complètement affolés.". Je ne sais pas si tu as lu Le château mais dans ce registre, il n'est pas mal non plus. Chaque nouvel apport scénaristique ouvre de nouveaux degrés d'interprétations. Déroutant mais jouissif.
    Je pense en effet que pas mal de détails pourraient si on parvenaient à les percer donnerait encore d'autres perceptions/interprétations que celles que l'on se fait à sa première lecture.
    Pour ma part, m'est venu, parmi les interprétations que j'en ai (outre la plus rationnelle, celle de la source de revenu), l'impression d'une mentalité/foi à contre-courant/... , bref un facteur que diffère de la famille en tout cas (pas aussi poussée que ta deuxième interprétation je l'avoue) car très vite, on se rend compte que Gregor dénote au sein de sa famille, avant même sa métamorphose (où bien est-ce une impression qui m'est restée?). Pas une remise en cause totale, puisque qu'il culpabilise et abonde dans le sens du père (ou plutôt ne le contredit pas) mais suffisante pour engendrer au sein de la famille un rejet comme s'il était un monstre. Sensation qu'il finit par ressentir au point de culpabiliser, l'accepter et la "matérialiser" (métaphoriquement parlant). Dans un tel cas, les locataires ne seraient que le regard extérieur (le regard de la société qui s'invite dans le foyer et la crainte de ce que "les gens vont en penser"). La sœur tenterait de "l'accepter" mais n'y parvient pas tandis que le père rejette en bloc ce changement (d'état d'esprit).
    Je ne connais Gogol que de nom je en me suis pas encore penché dessus mais ça ne saurait tarder.
    Tout comme honha, j'étais curieux de lire les cours de Nabokov en te lisant. Je te remercie d'ailleurs pour ton lien, j'irai très vite lire  cet article.

    @Mirmont : Tu es le bienvenu en ces lieux! J'ai un peu de mal avec l'anglais mais avec les sous-titres ça devrait aller. Je te remercie pour cet apport qui s'annonce très riche de ce que j'ai pu entrevoir. J'irai voir ça à des heures plus clémentes. ^^

    Dernière modification par Aealo (10 Mai 2018 10:09:25)

  • Waterlyly

    Lecteur professionnel

    Hors ligne

    #85 10 Mai 2018 15:52:44

    Coucou Aealo,

    Comme je sais que tu as lu récemment "Lettre d’une inconnue", si tu veux venir en parler avec nous sur le lien de la LC organisée à cet effet, nous serions ravis de t’accueillir.
    Je te laisse le lien : https://www.livraddict.com/forum/viewto … p;id=29784

    Des bisous. :pink:

    Dernière modification par Waterlyly (10 Mai 2018 15:53:24)

  • honha

    Surfeur des couvertures

    Hors ligne

    #86 10 Mai 2018 17:57:31

    @ Cachal_eau et Mirmont : merci pour vos références. C'est vraiment très intéressant de pouvoir connaître les interprétations d'autrui.

    @ Aealo : j'ai vu que avait lu un livre de D. Foenkinos. Pour ma part et à l'heure actuelle, je n'ai rien lu de cet auteur. Toutefois, j'ai appris à la connaître, lui et ses livres via une émission que je trouve très intéressante (j'ai eu l'occasion d'en parler brièvement sur le suivi lecture de Mirmont). Il s'agit de Livres & vous, émission d'un peu moins d'une heure diffusée sur la chaîne LCP Public Sénat, et que l'on retrouve en replay sur le site internet de cette chaîne, ou sur youtube. Il se trouve que D. Foenkinos était l'invité il y a de cela un peu moins d'un mois, et j'ai beaucoup appris. Je souhaitais t'en faire part ! D'ailleurs, j'y pense en t'écrivant, je crois que je vais créer un topic au sujet de cette émission :D !

    Dernière modification par honha (10 Mai 2018 17:58:02)

  • Cachal_eau

    Espoir de la lecture

    Hors ligne

    #87 11 Mai 2018 11:29:35

    Aealo a écrit

    @Cachal_eau : Grand merci pour ce message. Extrêmement pertinent. J'ai beaucoup aimé cette formule que tu as utilisée et qui résume, à mon sens, pas mal l'univers de Kafka : "... si doucement qu'on a l'impression qu'ils lèvent seulement un sourcil là où la plupart des gens seraient complètement affolés.". Je ne sais pas si tu as lu Le château mais dans ce registre, il n'est pas mal non plus. Chaque nouvel apport scénaristique ouvre de nouveaux degrés d'interprétations. Déroutant mais jouissif.
    Je pense en effet que pas mal de détails pourraient si on parvenaient à les percer donnerait encore d'autres perceptions/interprétations que celles que l'on se fait à sa première lecture.
    Pour ma part, m'est venu, parmi les interprétations que j'en ai (outre la plus rationnelle, celle de la source de revenu), l'impression d'une mentalité/foi à contre-courant/... , bref un facteur que diffère de la famille en tout cas (pas aussi poussée que ta deuxième interprétation je l'avoue) car très vite, on se rend compte que Gregor dénote au sein de sa famille, avant même sa métamorphose (où bien est-ce une impression qui m'est restée?). Pas une remise en cause totale, puisque qu'il culpabilise et abonde dans le sens du père (ou plutôt ne le contredit pas) mais suffisante pour engendrer au sein de la famille un rejet comme s'il était un monstre. Sensation qu'il finit par ressentir au point de culpabiliser, l'accepter et la "matérialiser" (métaphoriquement parlant). Dans un tel cas, les locataires ne seraient que le regard extérieur (le regard de la société qui s'invite dans le foyer et la crainte de ce que "les gens vont en penser"). La sœur tenterait de "l'accepter" mais n'y parvient pas tandis que le père rejette en bloc ce changement (d'état d'esprit).
    Je ne connais Gogol que de nom je en me suis pas encore penché dessus mais ça ne saurait tarder.
    Tout comme honha, j'étais curieux de lire les cours de Nabokov en te lisant. Je te remercie d'ailleurs pour ton lien, j'irai très vite lire  cet article.


    Le Château fait partie de mes prochaines envies. La métamorphose était ma deuxième approche de Kafka après Le procès. Mais avant ça, sur le conseil d'honha et après avoir un peu suivi ce fil de discussion, je vais bientôt lire la lettre au père.
    Concernant la sœur, j'ai d'abord eu l'impression d'un personnage encore enfant qui est dépendante et qui admire son frère (seul membre de la famille à vraiment l'encourager dans sa pratique du violon) et qui lorsqu'elle est obligé de trouver un travail prend son indépendance à la fois financière et sentimentale par rapport à son frère. D'où la plus grande difficulté de le prendre en charge puisqu'au début ce qui était un acte d'amour et d'altruisme devient un fardeau pénible et pesant. Un fardeau dont elle demande le monopole d'ailleurs puisqu'elle s'emporte lorsque la mère veut intervenir. J'ai d'ailleurs un doute sur l'interprétation que je donne à la colère de la sœur à ce moment là. Est-ce une réminiscence du passé où elle veut maintenir un lien particulier avec Gregor ou un geste d'orgueil de celle qui voit l'intrusion de la mère comme une remise en cause de ses compétences.

  • Cervus

    Lecteur fou

    Hors ligne

    #88 12 Mai 2018 00:14:49

    @Waterlyly : Je te remercie pour cette invitation ! Ce sera avec plaisir!

    @honha : En effet, je viens de lire mon premier Foenkinos. Je développerais ça d'ici peu avec L'éloge de la faiblesse et Rage.

    @Cachal_eau : Pour ma part, c'est l'inverse : c'est Le procès qui se trouve dans ma pal (ainsi que son Journal).
    Hâte d'avoir ton retour sur Lettre au père dans ce cas!
    Concernant la soeur, vis-à-vis de la question que tu te poses j'opterais pour la réminiscence du passé dans un premier temps (d'où une certaine forme de sincérité au début) qui peut à peu en devient un geste d'orgueil suite (à son indépendance récente).
  • Cervus

    Lecteur fou

    Hors ligne

    #89 13 Mai 2018 16:36:23

    Il est temps de donner les dernières nouvelles littéraires. ;)

    J'ai récemment fait l'acquisition de 3 livres. Une nouvelle sortie : La terre des morts de J-C Grangé. Ainsi que 2 livres de seconde main : Le magasin des suicides de Jean Teulé et Excusez les fautes du copiste de Grégoire Polet.

    Mais pour ce qui est des dernières lectures en date. Il y a eu à boire et à manger.
    Je suis tombé sur ce petit livre par le plus grand des hasards. J'en avais déjà vaguement entendu parlé mais je n'aurais plus su dire si c'était en bien ou en mal (pas même certain qu'un avis m'ait été donné). Bref, c'est surtout le titre de livre qui m'intriguait, d'autant qu'il se présentait comme un livre philosophique. J'ai donc pensé que Eloge de la faiblesse de Alexandre Jollien  était un genre d'essai basé sur son expérience personnelle. Je décidai donc de l'emprunter avec enthousiasme. Et à partir de là, ça n'a été que désillusion.
    Eloge de la faiblesse se révèle très vite être une autobiographie au titre pompeux et inapproprié. En effet, ce livre se veut ''original'' par sa forme : un entretien imaginaire entre l'écrivain et Socrate. Mais peut-on parler originalité quand le seul rôle de "Socrate" va être de poser des (bêtes) questions à notre auteur. Mais nulle interrogation philosophique là-dedans, non non, seulement des questions personnelle concernant Alexandre Jollien  : son enfance, son parcours, son handicap, ses amitiés, ses difficultés... Et seulement pour cela prendre Socrate comme interlocuteur, quelle modestie...
    Alors oui j'ai lu la préface et je sais comment il l'explique tout ça mais ça n'empêche pas qu'il y ait hypocrisie sur la marchandise. En effet, il joue la carte de la philosophie dans la présentation et dans l'introduction. Or ce n'est pas 3 ou 4 petites citation philosophiques qui font d'un livre un ouvrage philosophique. Et vu la fonction de Socrate dans ce livre ce n'est pas lui non plus qui l'apportera : le Socrate ici présent étant aussi philosophe que si l'entretien avait été tenu par Jean-Pierre Pernaut ou David Pujadas.
    Tout cela au final pour juste raconter sa vie sans même (vu les propos) avoir pris de recul (ou si peu) pour la raconter. Parce qu'il ne fait aucun doute que les rancœurs et les amertumes sont encore là et polluent toute possibilité d'arriver à quelques chose de constructif. C'est même tout le contraire puisque final on se retrouve avec un livre au fond plus "plaintif". Pour une livre intitulé "Eloge de la faiblesse", c'est un comble non? Si vous souhaitez une vraie éloge de la faiblesse il faudra donc repasser.
    Bref, une étiquette qui se révèle complètement erronée et un titre qui est se révèle être pompeux (pour ne pas dire prétentieux vu le contenu) pour un livre qui ne tient pas ses promesses.

    A la base, cet emprunt à la bibliothèque n'était pas de moi mais lorsqu'on m'en a parlé, je me suis souvenu que j'avais déjà entendu parlé de cette histoire quelques années auparavant. Le livre n'étant pas encore rendu à la bibliothèque, j'en ai profité pour le lire sans trop savoir où il allait m'emmener. Je me souvenais de cette histoire de bibliothèque des livres refusés chez les éditeurs mais Le mystère Henri Pick de David Foenkinos n'allait quand même pas parlé de ça pendant 300 pages non?
    Alors non en effet, l'histoire de cette bibliothèque nous sert simplement d'introduction à ce roman, elle est sans doute à l'origine de l'idée de ce roman. Dans cet établissement, parmi les fameux livres recalés, on y découvre un certain Les Dernières Heures d'une histoire d'amour signé d'un certain Henri Pick. Le livre avec ses mystères se retrouve plongé sur le devant de la scène littéraire. Mais voilà, lorsque l'on creuse, Henri Pick, décédé quelques années auparavant, ne semblait pas être un grand littéraire dans l'âme. Certains commencent à mettre en doute l'identité de l'auteur (et je n'en dirai pas plus pour ne rien spoiler).
    A travers ce livre, David Foenkinos nous emmène découvrir l'autre côté du miroir, ce qui se cache dans les coulisses du milieu littéraire. Pour nous permettre d'en faire le tour le plus complet possible, nous faisons très vite la connaissance d'une palette de personnages en tout genre : Delphine une jeune éditrice, Frédéric un jeune écrivain dont le succès ne fut pas au rendez-vous, Jean-Michel Rouche un journaliste ancien critique littéraire, Magali bibliothécaire tenancière de cette fameuse bibliothèque bizarre, Madeleine veuve de Henri Pick, leur fille Joséphine... Pour rendre ce roman encore un peu plus réaliste, les personnages fictifs vont croiser des personnages réels (tels que les éditions Grasset, François Busnel...).
    Cherchant à montrer l'univers du livre dans ce qu'il a de plus large, David Foenkinos y montre également comment un livre peut bouleverser une (des) vie(s).
    Mais Le mystère Henri Pick n'est pas exempt de défauts, j'en ai trouvé même quelques-unes désagréables. C'est le seul David Foenkinos que j'ai lu mais ces astérisques et notes de bas de pages! Je n'en ai eu ras-le-bol. Pour donner des infos sur l'histoires ou les personnages, on retrouve des notes de pages qui non seulement ne servent à rien mais en plus coupent dans le rythme de la lecture. Et encore ceci ne serait dérangeant si elles donnaient des éléments pertinents ou drôles. Mais ce n'est pas le cas. Alors à quoi servent-elles? Je l'ignore toujours. Si ce n'est pas intéressants et que ça n'a pas été intégré au texte, quel intérêt?
    A force de se balader de personnages en personnages, on peut aussi avoir une impression de décousu car au fil conducteur, et pas la même occasion le "héros" de cette histoire c'est ce livre d'Henri Pick et ses mystères.
    Petite déception pour ma part concernant la chute que j'ai vu venir grâce à/à cause d'un petit détail, 100 pages avant la fin... Dommage pour la surprise...
    Au final, Le mystère Henri Pick se révèle être malgré tout une agréable plongée au cœur du milieu littéraire car je pense que l'auteur a souhaité à travers ce livre, à la fois exprimer son amour des livres, rentre hommage à toutes les facettes du milieu littéraire et  d'une certaine façon faire un peu de dénonciation.

    Je m'étais donc lancé dans ma première lecture commune avec @iamthelandscape avec la lecture de Rage de Stephen King. Ca faisait un petit temps que je n'avais plus lu un King autre que les Tour Sombres. C'est toujours un plaisir de retrouver le maître de l'horreur. Même si celui-ci est un peu particulier...
    En effet, sans rentrer dans les détails, ce roman de King risque devenir de plus en plus difficile à trouver puisqu'il n'est plus édité. Après des années à le chercher désespérément, j'ai enfin trouvé quelqu'un qui le possédait, ni tenait pas et nous avons donc simplement swaper. Je l'ai depuis moins d'un an, je pensais le lire bientôt et puis l'opportunité s'est ouverte avec iamthelandscape et nous y voici.
    Beaucoup des premiers King ceux parmi ceux qui m'ont le plus marqué (Shining, Salem, Carrie, Marche ou crève...) et Rage vient de s'ajouter à cette liste. En effet, Rage est particulier à plus d'un titre, outre cette histoire d'édition, il marques par son thème, sa fin, sa psychologie, sa subtilité, son dénonciation, son atmosphère...
    Charles est un garçon dont la vie n'a pas toujours été facile (on en apprend les détails au fur et à mesure). Un beau jour, Charles sans trop comprendre lui-même ce qu'il fait, rentre armé dans sa classe et prend en otage celle-ci. A partir de ce moment précis, le monde de Charles bascule, et celui de cette classe avec lui. Les langues se délient, les comptes se règlent loin du regard des "adultes". Tandis qu'à l'extérieur, les adultes tentent de libérer les otages.
    Ce qu'il se passe dans cette classe est à la fois dérangeant, étonnant, interpellant et captivant. L'atmosphère qui règne dans ce livre est à la fois oppressante et confidentielle. On a l'impression un des nombreux élèves assis dans cette classe : au début on ne comprend pas, on écoute, on compatis, on finit presque par le comprendre. La psychologie du groupe et son évolution sont subtiles et bien gérée. Charles fait peur au début puis peu à peu, cette peur devient empathie. Le syndrome de Stockholm a opéré, même sur nous. Cela fait-il de nous des complices?
    Stephen King taille ici une veste au système scolaire et à l'autorité en général, comme si une part de l'ado qui l'a été (et de la rage de cette époque) avait eu la possibilité de lever le poing le temps d'un livre.
    Il y aurait encore beaucoup de choses à dire sur ce livre en l'analysant mais dans ce cas, il me faudrait révéler toute la suite de l'histoire et ça je ne peux m'y résoudre. Mais c'est un livre à lire!

    L'expérience de la Lecture Commune m'a énormément plu. C'est une expérience à réitérer dés que j'en aurai l'occasion. @Waterlyly, @honha, @iamtheandscape, @Delphine.B... C'est quand vous voulez pour une prochaine! ;)

    Du coup, je suis déjà passé à la suite avec mon premier Shakespeare, La tempête, ainsi qu'avec Mortelle transparence de Denis Olivennes et Mathias Chichportich mais pour ce dernier je n'en suis encore qu'au début.

    Dernière modification par Aealo (13 Mai 2018 20:55:49)

  • iamthelandscape

    Magicien des lignes

    Hors ligne

    #90 13 Mai 2018 19:53:39

    Salut toi,

    Tu me diras ce que tu penses du livre Le magasin des suicides de Jean Teulé. Perso j'ai beaucoup aimé, j'avais vu le film d'animation avant que j'avais bien aimé. Les images sont très belles et l'humour noir vraiment au rendez-vous ! Je ne t'en dis pas plus, il se lit très vite en tout cas.

    BOUMMMMMMM pour Eloge de la faiblesse, je ne voudrais pas être l'auteur qui lit cette critique haha.

    le Socrate ici présent étant aussi philosophe que si l'entretien avait été tenu par Jean-Pierre Pernaut ou David Pujadas.


    j'en rigole encore.

    Pour Rage, je te rejoins complètement dans ta critique :) et le livre fait vraiment son petit effet, quand tu écoutes Another brick in the wall des Pink Floyd en même temps :aouh:. D'ailleurs en parlant de La Tour Sombre je m'y remets bientôt pour le 6e tome.

    Bonne lecture !