#76 13 Juillet 2018 23:14:44
Mypianocanta a écritJ'ai lu Jonathan Livingstone très jeune (vers 9 - 10 ans), et les descriptions de vol ne m'ont pas gênée. Elles m'ont davantage surprise lorsque je l'ai relu adulte en fait. Mais j'avais déjà un faible pour les oiseaux de mer à l'époque et ça ne s'est pas arrangé à la lecture :lol: Et en effet les messages sont forts, il faudrait que je regarde si j'ai toujours mon exemplaire tiens.
Bonne nouvelle lecture :)
Merci ! C'est intéressant d'avoir ton avis ! J'ai encore parfois du mal à évaluer l'âge minimum nécessaire pour apprécier un livre. Très contente d'apprendre que tu l'as aimé si jeune ! Ah je comprends totalement que ton amour pour eux ne se soit pas arrangé avec cette lecture... Depuis hier, je regarde vraiment attentivement CHAQUE goéland que je croise avec une affection et une attention toute renouvelées (pourtant j'appréciais déjà ces oiseaux à la base...) !
Melody Pond a écritOuuuuh tout ce mystère ! Tu sais attiser notre curiosité. :D
Ta nouvelle lecture a l'air sympa aussi, mais elle m'attire moins. Les vaches ne me font ni chaud froid. ^^
Bonne soirée à toi ! :bisous:
Hahaha, nickel si j'ai réussi à faire passer quelque chose =D
Oh ben mince pour les vaches, mais j'aime bien avoir ton ressenti, c'est gentil !
Bonne soirée à toi aussi et merci beaucoup d'être passée !! :bisous:
Devinez quoi, j'ai encore.... craqué :ptdr: Sur recommandations lues et reçues via le forum, 2 nouveaux achats viennent vider ma Wish-list et remplir ma PAL :angel: :ptdr:
<image>La grammaire est une chanson douce, d'Erik Orsenna. Tome 1 d'une série de 5 petits romans ayant pour thème la langue française (les suivants étant Les Chevaliers du subjonctif, La Révolte des Accents, Et si on dansait ? et La Fabrique des mots, ça donne une petite idée d'où on va !). Ce sera sûrement ma lecture du soir après celle sur les vaches :D
Résumé :
Jeanne, la narratrice, pourrait être la petite soeur d'Alice, précipitée dans un monde où les repères familiers sont bouleversés. Avec son frère aîné, Thomas, elle voyage beaucoup. Un jour leur bateau fait naufrage et, seuls rescapés, ils échouent miraculeusement sur une île inconnue. Mais la tempête les avait tant secoués qu'elle les avait vidés de leurs mots, privés de parole. Accueillis par Monsieur Henri, un musicien poète et charmeur, ils découvriront un territoire magique où les mots mènent leur vie : ils se déguisent, se maquillent, se marient.
<image>Nymphéas noirs, de Michel Bussi. C'est ce titre-là qui m'a convaincue pour un premier contact avec cet auteur que je voulais découvrir, parce que l'histoire se déroule à Giverny et qu'il y est question de peintures de Claude Monet, que j'apprécie beaucoup ! Je ne pensais pas l'acquérir si vite, mais mon père cherchait aussi une lecture d'été et ça l'a beaucoup intéressé lui aussi ! Il va donc le lire avant moi :D
Résumé :
Tout n'est qu'illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, le village cher à Claude Monet, sont bien réels. Au coeur de l'intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit tout et sait tout. Et puis, bien sûr, une passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées, dont les fameux Nymphéas noirs. Perdues ou volées, telles les illusions quand passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps.