[Suivi lecture] Chaotic

Aealo :
Bonjour et bienvenu (toi aussi) sur mon suivi.

(attention les deux prochains paragraphes c'est du radotage)
Ce que je reproche à Journal d'hirondelle

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c'est pas le taff que fait le personnage principal, qu'on soit clair. Les ouinouin-considération morales "omg il brise un des 10 commandements sacré et en plus c'est un crime passible d'emprisonnement gneugneuh" je m'assois dessus. Ce qui m'escagasse dans ce bouquin 1/ c'est que le personnage principal soit (je crois que j'me trompe pas) un homme qui chouine sur sa frigidité et son emmerdement chronique qui trouve rien de mieux que d'utiliser les sujets de ses contrats comme des objets (oui "sujet" et "objet" ne sont pas utilisé au hasard dans cette phrase) pour assouvir son désir retrouvé avec tant de viril virilité virilesque, 2/ que l'objet de son amour est présent trois lignes (oui je fais volontairement l'impasse sur les évocations permanentes qu'on en fait pendant la seconde moitié du bouquin pcq ràf qu'il l'idéalise, je veux le personnage et plus longtemps que celui présenté dans la salle de bain) et qu'elle soit à peine majeure. 3/ que le résumé qualifie un homme qui tue de "fou" et son obsession d'"histoire d'amour".
J'ai autre chose à faire que de connaitre ce genre de point de vue dont on nous inonde à longueur de temps dans "la réalité", ou qu'on essai de me faire ressentir de la pitié (plus que de l’empathie, je crois j'ai l'impression) pour ce genre de personnage qu'on me demande déjà de dédouaner et cocooner au dépend de ma propre vie dans "la réalité"

Ce que je reproche maintenant à Stupeur et Tremblement

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c'est qu'au lieu de renforcer le dégout du vice-président sur sa fonction, l'autrice le renforce sur son obésité. Ce qu'on aime pas, et qui transparait de ce personnage, c'est l'aspect détenteur du capital(je suis pas sûre de pas exagérer en utilisant cette expression)/employeur/dominant qui détient le contrat de location de ta force de travail et qui de par ta peur que ce contrat soit rompu (contrainte financière et pas que) pourra te faire subir n'importe quelle humiliation qui l'amusera/lui plaira (on retrouve l'idée d'objet dont on fait ce qu'on veut). C'est pas "obèse" le "problème" dans ce personnage et pourtant l'emphase est mise dessus sauf que ce qui caractérise les employeurs c'est pas qu'ils soient obèses c'est qu'ils fassent ce qu'ils veulent de toi employé, c'est de la paresse intellectuelle d'avoir recourt à ce raccourci fallacieux.

Oui alors ça à l'air d'une critique radicool de la radicalité, en fait de mon pov c plutôt "laissez les gros tranquille greuh"
Si c'est ça "le 'style Nothomb'" je crois que je je changerai pas d'avis.

J'hésitais entre frappe toi le coeur et les prénoms épicènes pour mes dernières tentatives avant que vous Aealo et iamthelandscape me parliez de Mercure et Acide sulfurique, et d'ailleurs merci pour les suggestions.

Si je m'écoutais je dirais "lisons le ensemble !" (bonjour tristesse) mais j'ai tellement trop de (mal)chance d'avoir du mal à le lire, aha.

Et merci de m'avoir accueillie sur les LC Le parfum et Frankenstein :)

(pardon, c'est plus une tartine, c'est un double big mac, le cairon)

iamthelandscape : Genre qu'à chaque fois que tu le lis tu spotted un truc que t'avais pas remarqué la précédente et l'histoire prend une autre dimension, comme Shingeki no Kyojin ? (oui bonjour la ref)
J'ai aussi hâte pcq je les ai jamais lu, aussi pcq j'ai vu une bookstagrameuse parler d'une autre journal de Mary Shelley cette semaine (Que les étoiles contemplent mes larmes) et l'écriture avait l'air jolie. J'ai juste "peur" des descriptions dont j'ai entendu parlé qu'elles seraient "contemplatives" (dans ma tête c'est synonyme d'une longueur interminable)
Bonne journée all.