Bob Morane, tome 160 : La nuit des négriers
Henri Vernes1997

- J'ai rarement vu une fête travestie finir de cette façon, dit Morane, au moment où les phares de plusieurs voitures s'allumaient devant eux, les prenant dans leurs faisceaux de clarté aveuglante comme des acrobates sous les feux des projecteurs.
En même temps une voix criait:
- Surtout, ne bougez pas,... Vous êtes sous la menace d'armes automatiques.
Bill Balantine poussa un grognement de dépit. Il ignorait lui aussi comment les fêtes travesties se terminaient d'habitude mais tout ce dont il était certain, c'était que cette Nuit de Négriers finissait mal.