Les jeunes filles, tome 4 : Les lépreuses
Henry de Montherlant1939

Couverture Les jeunes filles, tome 4 : Les lépreuses

Saga Les jeunes filles

Synopsis

Moyenne

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BON

- ... Il y a trois cents lépreux dans Paris, dont vingt seulement sont hospitalisés, et dans la salle commune, encore. Les autres se promènent la canne à la main. Peut-être le garçon qui nous a servis... Il y a des femmes qui ont vécu trente ans avec un mari lépreux et n'ont pas été contaminées. Tout ce que je vous dis, ce ne sont pas des boniments qu'on m'a racontés pour me rassurer. On me l'a dit, mais je l'ai lu aussi dans un livre de médecine. Vous n'avez qu'à en acheter un.
- Mais comment avez-vous attrapé cela ? Si vous l'avez attrapé, car je ne peux pas y croire.
- Avec une femme.

4 éditions | 0 chronique | 2 commentaires

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Couverture Les jeunes filles, tome 4 : Les lépreuses Editions Folio 1992

1992 Editions Folio

Française Langue française | 252 pages

Couverture Les jeunes filles, tome 4 : Les lépreuses Editions Folio 1983

1983 Editions Folio

Française Langue française | 252 pages

Couverture Les jeunes filles, tome 4 : Les lépreuses Editions Le Livre de Poche 1962

1962 Editions Le Livre de Poche

Française Langue française | 247 pages

Couverture Les jeunes filles, tome 4 : Les lépreuses Editions Le Livre de Poche 1939

1939 Editions Le Livre de Poche

Française Langue française | 247 pages

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2 commentaires

  • KatheryneRoy Le 16 Octobre 2017 à 16:19
    À l'époque, il était peut-être de bon ton de sombrer dans des généralisations méprisantes à propos des femmes. Ce n'est plus le cas. La misogynie de ce texte (et de l'appendice en particulier) m'a fait dresser les cheveux sur la tête. Vite, à oublier!!!
  • Beacakista Le 28 Décembre 2022 à 21:57
    Comment vomir sa haine et son mépris des femmes avec violence et suffisance ? M. De Montherlant donne ici une masterclasse. Si j’avais pu croire à une ironie mordante pourquoi pas, mais cette misogynie à chaque page m’a tout simplement dégoûté. Rajoutez de la pédophilie et un kink sexuel sur les tuberculeuses et c’est le gros lot. Une œuvre triste par sa colère, au style flamboyant nonobstant.

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