Synopsis
Schefferville, 1959. Dans le guest house de l'Iron Ore Company of Canada, le vieux Chef se meurt. Attaque cérébrale soudaine. Du moins, c'est ce qu'on prétend. Parce qu'il apparaît vite qu'il se trame quelque chose de louche, à Schefferville. C'est à Paul-Émile Gingras, jeune policier trifluvien pas spécialement doué, que son grand-oncle Jos-D., ministre de la Colonisation et bras droit de Maurice Duplessis, assigne la tâche de démêler tout ça. Alors pas le choix, avec son ami Gégard Godin – oui, ce Godin-là –, Gingras prend la route de la Côte-Nord.
Un roman noir, donc ? Oui, mais le plus coloré qui soit. Passant de la farce à la fresque historique, du drame familial au vrai-faux portrait d'une classe politique, du picaresque au naturalisme, Joël Bégin louvoie entre les genres et les époques pour composer la fantasmagorie jubilatoire d'une Grande Noirceur à l'agonie.
Un roman noir, donc ? Oui, mais le plus coloré qui soit. Passant de la farce à la fresque historique, du drame familial au vrai-faux portrait d'une classe politique, du picaresque au naturalisme, Joël Bégin louvoie entre les genres et les époques pour composer la fantasmagorie jubilatoire d'une Grande Noirceur à l'agonie.
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Le premier qualificatif qui me vient à l'esprit concernant ce livre est baroque. Il s'agit d'une fresque exubérante sur la période de la Grande Noirceur, le tout raconté avec un humour absurde et une multitude de personnages caricaturaux. Bien que calqué sur la réalité, on n'est pas du tout dans un roman historique, plutôt dans une farce politique, où le langage ludique nous plonge dans le passé.