Bonjour à tous ! C’est le
suivi de la flemme@RedPanda wahou c’est navrant. Tu travailles dans quel secteur ? J’ai adoré Woman World et toi ?
@Noemie.Isth oups désolée (non en fait :D) il y’a plein de BD féministe hyper intéressante et surtout pas forcément de notre culture occidentale tu vas vraiment pouvoir te régaler :) .
Pour les podcast j’ai écouté et aimé :
Les pires moments de l’histoire
Les Baladeurs
La Poudre (il y’a d’ailleurs une interview de Mona Chollet ;) )
Entre nos lèvres
Les couilles sur la table
Bourlinguez
Quoi d’meuf
Dépêche
Emotions
Le Nuage
Le Canon sur la Tempe
Affaire sensibles
@Triskeliga j’ai adoré aussi
Gagner la guerre. Le personnage de Benvenuto est génial, complexe et pertinent. L’univers est fou il n’y a pour moi pas un seul temps mort.
@Centre et je te comprends … :
La Huitième couleur de Terry Pratchett ou comment passer le temps ...
Résumé : Dans une dimension lointaine et passablement farfelue, un monde se balade à dos de quatre éléphants, eux-mêmes juchés sur la carapace de la Grande Tortue...Oui, c'est le Disque-monde... Les habitants de la cité d'Ankh-Morpork croyaient avoir tout vu. Et Deuxfleurs avait l'air tellement inoffensif, bonhomme chétif, fidèlement escorté par un Bagage de bois magique déambulant sur une myriade de petites jambes. Tellement inoffensif que le Patricien avait chargé le calamiteux sorcier Rincevent de sa sécurité dans la cité quadrillée par la Guilde des Voleurs et celle des Assassins ; mission périlleuse et qui devait les conduire loin : dans une caverne de dragons ; peut-être jusqu'au Rebord du Disque. Car Deuxfleurs était d'une espèce plus redoutable qu'on ne l'imaginait : c'était un touriste.
Avis : D’abord je ne peux que féliciter l’ingéniosité de l’univers que Terry Pratchett a crée. Une planète sur le dos de quatre d’éléphants, eux-mêmes sur une carapace de la grande tortue A-Thuin il fallait le penser. Je n’ai pas détesté loin de là mais c’était sans surprise et lassant. Sortant du Comte de Monte Cristo s’attaquer à de la Fantasy humoristique n’était pas forcément un choix judicieux. Qu’importe, c’est facile, ce n’est pas un pavé. Le problème de ce genre de livre c’est que l’on peut nous dire n’importe quoi, ça fonctionne tout est prétexte au farfelu. Bien sûr dés fois j’ai souri au jeux de mots surtout avec le terme : « hache-sueur-rance » (assurance) et je me suis pris d’affection pour le coffre à pattes. Mais voilà c’est sans surprise. Dés le début on sait comment chaque aventure va se terminer et c’est lassant, on se raccroche plutôt à l’ambiance générale tantôt un village médiéval bourré de bandits, tantôt une forêt, tantôt un temple, tantôt un village de dragons … Bref tout y passe mais toujours dans le même schéma : on vit une aventure - oh non l’un de nous fait une bêtise ou se fait kidnapper - on va essayer de le sauver - on se sort de façon surréaliste. J’ai peiné les cinquante dernières pages en sachant pertinemment comment ça allait se finir. Tout a exactement le même foutu schéma, c’est plaisant d’un côté on se laisse totalement porter, c’est facile, ça fait sourire, on se prend pas la tête et en même temps je ne me vois pas en lire 34 sans compter les hors-séries.
Le retour au boulot et à la médiathèque signifie une multitude de BD à lire …
La Nuit est mon Royaume de Claire Fauvel :heart: - Des ados et du rock
<image>
Quelques heures de Joel Orff - :heart::heart: - Un récit émouvant et une fin à couper le souffle
<image>
Les oiseaux lumineux :heart:heart: - Un conte de science-fiction visuellement magnifique
<image>
La mécanique du sage :chaispas: :zzz: - La mécanique de l’ennui ?
<image>
Le seuil :heart: - Format intéressant qui montre la brutalité de la relation toxique (mais soyons franche la BD de Sophie Lambda sur le même sujet est mieux)
<image>
Sauf imprévu :heart: :zzz: - Belles illustrations, récit ennuyant …
<image>
Les fleurs de la mer Égée :heart: - Bride Stories à l’italienne.
<image>
Funky town :-1: - Je l’avoue, je n’ai strictement rien compris mais alors rien
<image>
Ma fille, mon enfant :zzz: :chaispas: -
Un récit qui traite le racisme en surface et n’apporte aucune réponse et c’est un peu gratuit. L'histoire est banale mais assez brutale
<image>
Wolcano, la sorcière du cul :heart::heart: - Une pincée d’adventure time, de la poudre de Fantasy et des bonnes louches de blagues salaces et politiquement incorrectes. Voilà Wolcano !
(J'avoue avoir un peu hésité à vous mettre cette image :lol:)
<image>
En ce moment je lis : Croire aux fauves et ça risque d’être un coup de :heart:
Résumé : « Ce jour-là, le 25 août 2015, l'événement n'est pas : un ours attaque une anthropologue française quelque part dans les montagnes du Kamtchatka. L'événement est : un ours et une femme se rencontrent et les frontières entre les mondes implosent. Les limites physiques entre un humain et une bête, en se confrontant, ouvrent des failles sur leurs corps et dans leurs têtes. C'est aussi le temps du mythe qui rejoint la réalité ; le jadis qui rejoint l'actuel ; le rêve qui rejoint l'incarné. » Croire aux fauves est le récit d'un corps-à-corps entre un ours et une anthropologue au Kamtchatka. Et comme Nastassja Martin le souligne immédiatement, c'est une blessure et une renaissance, dont elle sortira en partie défigurée, mais surtout transfigurée.
Et vous vous lisez quoi ?