#575 16 Juin 2019 18:56:32
@honha : Salut honha !
J'ai commencé ce matin Moins qu'hier (plus que demain) et je te confirme que je me régale ! ^^ Je vais prendre note pour Le discours alors ! ^^
Pour Clarissa et le Yalom, je comprends, on a tous des phases ainsi. Qu'allais-tu entamer de Kafka ?
Ah ! La symphonie pastorale de Gide se trouve dans ma pal donc curieux d'avoir ton avis dessus ! ;)
A présent petite mise à jour... incomplète je le crains. :angel:
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Alors, il a pas mal tourné sur LA, je pense que c'est chez honha que je l'ai vu la première fois et surtout que j'en ai eu autant d'éloges : ZaÏ zaï zaï zaï de Fabcaro. Là encore, je ne savais plus trop de quoi il était question depuis le temps. Donc ce fut d'abord un étonnement dans les 3 premières pages, le temps de rentré dans le "décalage" de Fabcaro. Mais une fois passée cette belle surprise, le reste n'a plus été que drôlerie et humour absurde comme je l'aime !
En un mot : Jubilatoire !
Je viens d'entamer Moins qu'hier (plus que demain) et je pense que je vais très sérieusement me pencher sur le reste de son oeuvre car j'adore !
<image>J'ai d'abord été intrigué par ce titre si étrange... Quel peut bien être le programme d'un tel livre ? De quoi peut-il parler ? Et je n'ai volontairement pas chercher plus d'infos sur En cuisine avec Kafka de Tom Gauld. Mais...
Si je dois le résumer en un seul mot je dirais : Décevant.
D'abord par son titre... Quel rapport entre le contenu et le titre ? Je l'ignore car ce ne sont pas deux gages avec Kafka qui en font un titre d'ouvrage...
Ensuite, il y a bien quelques bonnes idées qui m'ont fait sourire voire rire mais elles n'étaient pas légions... Alors oui dans l'ensemble c'est plutôt originale... Mais même cette originalité a ses limites. Puisque certains "mécanismes comiques" sont ré-utilisés plusieurs fois...
Et puis certains gages me donnent l'impression d'être des vannes d'auteurs/écrivains qui ne feront lire quasi que les auteurs/écrivains... Humour de niche...
Bref... Mouais...
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Bon j'avoue j'étais très curieux de voir ce que donnait La horde du Contrevent, tome 1 : Le cosmos est mon campement de Eric Henninot et Alain Damasio... Mais comment ne pas l'être ? Mais surtout j'oubliais qu'au sein d'une adaptation, il est toujours difficile de confronter les images qu'on s'est construites aux images d'un dessinateur... Et ça a beau être une belle adaptation, je cale...
Les effets du vent sont très bien pensé, le scénario est plutôt bien adapté, notamment l'introduction, mais je ne reconnais pas "physiquement" les personnages que j'ai "connus" d'où une lecture qui reste moins savoureuse que l'original.
<image>Elle m'est tombée entre les mains aussi celle-ci... mais elle fut au final un coup de :heart:. Elle m'a intriguée à la bibliothèque...
Une couverture au graphisme faisant plutôt penser à un album jeunesse.
Une fois ouvert, une ambiance tout autre... Sombre voire macabre...
Il ne m'en a pas fallu beaucoup plus pour embarquer Le Serpent d'eau de Tony Sandoval ! :angel:
Synopsis :
Alors quelle nage au détour dune rivière, Mila rencontre Agnès. Entre ces deux filles solitaires va naître une amitié profonde, fraternelle, presquephysique. Dhistoires en escapades, de bosquets en ravins, Mila la brune et Agnès la blonde nous emmènent hors du temps, dans un espace où les règles sabolissent, un terrain de jeu libre et ouvert.
Je ne connaissais pas l'auteure mais une chose est certaine : je vais me renseigner sur le reste de son oeuvre ! Tout d'abord, un dessin sublime et trompeur (ne laissant rien paraître de ce qui va arriver).
Ensuite une histoire étrange entre rêve et réalité, où les fantômes et les monstres ne sont pas aussi loin qu'on pourrait le croire (non je n'en dirai pas plus). Vous l'aurez compris une atmosphère qui devient très vite ambiguë, qui très vite prend des allures de conte macabre.
Un bon moment un peu particulier sans doute pour certains qui fut un pur plaisir pour moi !
Une vraie surprise obscure ! :pink:
J'ai également lu Carthago, tome 8 : Léviathan de Christophe Bec et Ennio Bufi dont le cycle commence à tiré en longueur sans donner de véritables révélations... Et ce tome en est la preuve flagrante... Dommage...
<image>Ayant été particulièrement touché par ma lecture de Ainsi parlait Zarathoustra, je me suis toujours dit que je devrais me pencher sur la vie de son auteur. Nietzsche, se créer liberté de Michel Onfray et Maximilien Le Roy en était l'occasion !
Alors une première surprise : le "peu" de texte par rapport à ce qu'on pourrait imaginer dans un BD de ce genre. Ce qui est plutôt culotté il faut bien l'avouer.
Une seconde source d'étonnement : des jeux/effets de couleurs pour montrer les malaises ou les crises vécues par Nietzsche. Donc cette BD ne manquait pas d'idées à la base.
Mais dans sa réalisation, elle manque son objectif... Car on n'est pas beaucoup plus avancé sur notre connaissance/compréhension de la vie de Nietzsche (peut-être un peu sur certains de ses concepts mais sans plus...). Son oeuvre n'a pour ainsi dire pas de place dans le récit (mais on peut le comprendre pourquoi dans la BD).
Mais au final, cette lecture m'a quand même donné l'impression de passer à côté de beaucoup (trop) de choses. Dommage...
Je pense que Zweig sera plus à même de répondre à mes attentes...
La suite arrive bientôt
Je vous souhaite de belles lectures ! :salutation: