[Suivi Lectures] Aealo

 
  • Cervus

    Lecteur fou

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    #1361 17 Novembre 2020 23:27:09

    Maüsch…


    Je ne vais pas mourir et surtout pas ici ! Je veux être traité comme un être humain !


    <image> D’aussi loin que je me souvienne je pense avoir presque toujours connu Maüs de Art Spiegelman car déjà gamin lorsque je trainais dans les étalages BD de la bibliothèque cette couverture m’avait marqué. Et cette couverture me mettait mal  l’aise (sans savoir pourquoi à cette époque) et chaque fois que je retournais à la bibliothèque, elle était là…
    Ce n’est que plus tard, une fois adulte qu’on peut comprendre de quoi il est question dans ce roman graphique :
    Maus raconte la vie de Vladek Spiegelman, rescapé juif des camps nazis, et de son fils, auteur de bandes dessinées, qui cherche un terrain de réconciliation avec son père, sa terrifiante histoire et l'Histoire. Des portes d'Auschwitz aux trottoirs de New York se déroule en deux temps (les années 30 et les années 70) le récit d'une double survie : celle du père, mais aussi celle du fils, qui se débat pour survivre au survivant. Ici, les Nazis sont des chats et les Juifs des souris.

    Alors avant toute chose : oui je comprends que ce soit culte de par la nature de son histoire et la dureté de son propos. L’histoire ne peut que toucher tant celle-ci est déchirante, le fond ne peut que marquer tant celui-ci est important.
    Le jeu sur les temps permet de souffler entre les coups sur le plan du rythme mais permet également d’illustrer un fils tentant de comprendre son père, tentant de percer les silences de ce survivant qui garde tellement de choses enfuies en lui.

    Quand on a faim, on fait n’importe quoi...

    Le choix de jouer sur les animaux : chats pour les Nazis et souris pour les Juifs est bien vu pour ne pas dire plutôt intelligent même. Mais je ne comprends pas complètement celui… En effet, un autre animal apparait : le cochon. Si je comprends bien c’est pour les Allemands non Juifs. Mais pourquoi des cochons? A vrai dire, je ne certain de bien comprendre ce choix… :chaispas:

    ... Mourir c’est facile. Mais il faut lutter pour rester en vie !

    <image>
    Mais Maüs possède un problème au-dessus duquel je ne peux pas passer… C’est même pire que ça,  ça me bloque dans ce genre de lecture : le graphisme.
    J’ai donc avec Maüs un problème qui m’arrive de temps en temps avec les romans graphiques, les bandes dessinées, les comics ou encore les mangas… Pour le dire crument, si le graphisme ne me plait pas j’ai un mal fou à lire, à accrocher et à rentrer dans l’histoire. Cela ne remet pas en question le contenu ou le scénario. Mais le scénario pourrait être le meilleur du monde, si je n’aime pas le graphisme, ça ne passera pas, je n’accrocherai pas…
    Et je n’aime vraiment pas le graphisme de Maüs… Je n'aime vraiment pas ce dessin... Vraiment ça ne passe pas... Et ça me gêne dans l'appréciation de tout le reste...
    En temps normal, je n’aurais pas terminé ma lecture et serais très vite passé à une autre lecture… Mais celle-ci est devenue tellement ‘’culte’’ que je me suis fait un devoir d’aller jusqu’au bout de celle-ci…
    Ajouté à cela qu’une telle lecture noire tombait plutôt mal au moment où je l’ai lue… :goutte: Vous voyez le tableau…

    Des amis ? Tes amis ? Enfermez-vous une semaine dans une seule pièce, sans rien à manger, alors tu verras ce que c’est, les amis !

    <image>
    Alors au final, bien que je reconnaisse des qualités à ce roman graphique, il possède des défauts (surtout un énorme pour moi) qui font qu’avec moi, ça ne passe pas malgré tout.
    Oui je suis content de l’avoir lu, non je n’ai pas apprécié ma lecture.

  • Cervus

    Lecteur fou

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    #1362 21 Novembre 2020 22:04:14

    Claire comme du pétrole


    Avec toutes les jolies femmes saines qu’il y a dans la région il a fallu qu’il craque sur moi. Un cas clinique. Une étrangère. Quelqu’un qu’on devrait déclarer incurable. Il fait vraiment lourd, hein ? Je crois que c’est parti pour un moment, dit-il. Je liquide ma canette à grandes lampées et respire par le nez en ayant envie d’être très exactement morte.


    <image> A vrai dire, je n’avais jamais au grand jamais entendu parlé ni de ce livre ni de cette autrice mais lorsque j’ai vu cette couverture, je l’ai trouvé terrible. Comme je ne me fie que rarement à la couverture, le synopsis avait l’air, lui aussi intéressant :

    Dans un coin de campagne perdu, une jeune femme lutte contre ses démons : l’ennui des jours, le tourment des nuits, le sentiment d’aliénation – à soi-même et au monde –, les pulsions de désir et de violence qui sans cesse l’assaillent et viennent peu à peu fissurer le tableau d’une vie domestique en apparence sans histoires. On la trouve instable, ingérable ; on l’appelle l’étrangère ; l’hystérique ; la folle. Et de fait, la folie est là, tapie dans les ombres du quotidien, prête à fondre à tout moment sur cette femme brûlant de liberté mais corsetée par les rôles contradictoires que la société des hommes et le carcan de la famille entendent lui faire jouer – celui d’épouse dévouée, de mère attentionnée, mais aussi celui de sorcière et de putain, éternellement jetée en pâture à la vindicte autant qu’à la concupiscence.

    C’est ainsi que Crève, mon amour de Ariana Harwicz s’est retrouvé embarqué…
    … ou plutôt que je me suis laissé embarqué…

    Je vais le dire directement : je n’ai pas terminé cette lecture.
    Et pourtant Dieu sait qu’il en faut beaucoup pour que je ne termine pas un roman…

    Ariana Harwicz souhaite dresser le portrait d’une femme qui ne se sent vraiment pas à sa place, qui doute de tous les choix de vie qu’elle a pu faire, qui ne comprend vraiment pas ce que son mari a pu lui trouver, qui est fatiguée et perdue de vivre comme elle le fait, qui ne sait plus sur quel pied danser, qui ne sait plus comment être tout simplement, qui accumule les étiquettes sauf celle d’être elle-même puisqu’elle ne le sait plus…
    En d’autres mots : elle est au bord du précipice et commence déjà à montrer des signes de pied dans le vide… Sujet qui aurait pu être extrêmement intéressant !
    Mais pour nous montrer le sac de nœuds qu’elle a dans la tête… La fausse bonne idée qui est utilisée pour l’illustrer est de nous donner le contenu brut des idées qui lui traversent la tête telles qu’elles arrivent et ‘’dans l’ordre’’ dans lequel elles arrivent…
    Et là, bon sang mais quelle horreur! Non non pas que c’est bien fait et qu’on se rende compte de ce qui se passe réellement. Non non…
    J'ai rarement lu un tel bordel écrit!
    C'est complètement décousu ! Ça saute d'un point à un autre comme une puce sous ecstasy... C’est tellement brut qu’à la fin d’une page j’aurais été incapable de raconter son contenu…
    Alors imaginer une lecture en plusieurs fois : c'est impossible à suivre... Du coup on avance et la fois suivante lorsqu’on reprend le livre en main, ni où en en était vraiment, ni de quoi il était question la dernière fois (normal quand il semble impossible de résumer ne serait-ce qu’une page)...

    Je comprends donc l’effet désiré. Je vois bien le malaise, la détresse, l’angoisse, la tempête dans lequel ce livre veut nous plonger…
    Mais trop c’est trop et ça en devient pour ainsi dire illisible pour moi…


    <image>

  • Mypianocanta

    Gardien du savoir

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    #1363 22 Novembre 2020 17:28:19

    A l'inverse de toi rien que le titre et le résumé me donnent envie de fuir :lol:
    Bonne fin de dimanche !
  • Cervus

    Lecteur fou

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    #1364 22 Novembre 2020 22:58:24

    Hello @Mypianocanta !

    C'est vrai que le titre est particulier mais la couverture est très jolie je trouve. :-)

    Bonne semaine à toi!
  • Cervus

    Lecteur fou

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    #1365 22 Novembre 2020 23:02:13

    <image>

    Parce qu’il n’y a pas toujours grand-chose à dire …




    Une bonne suite


    <image> Il y a peu j’ai découvert le premier tome que j’avais adoré. Je me suis donc tout naturellement tourné vers la suite Black magick, tome 2 : Passé Recomposé de Greg Rucka et Nicola Scott.
    Sans revenir dessus le premier tome ouvrait un univers rempli de mystères et donc de question. On approfondit ici celui-ci en répondant à quelques questions, histoire de nous en mettre un peu sous la dent et ainsi montrer que nous ne nous sommes pas trompés dans nos impressions du tome 1.
    Viennent s’ajouter avec ce tome 2, d’autres questions encore plus importantes !
    Mais surtout les dangers aperçus dans le tome précédent sortent enfin de l’ombre et viennent montrer le bout de leurs griffes… Ils ne sont pas tendres et promettent d’être cruels et sans pitiés.
    Le tout dans un graphisme toujours aussi impeccable : nuances de gris pour tout sauf pour la magie qui apparait en couleur ! Plaisir des yeux !
    De quoi nous mettre en appétit en attendant le tome 3 (dont la date de sortie était encore inconnue aux dernières nouvelles)


    - Ta maitresse... Quel est son nom, familier ? Où puis-je la trouver ?
    - Va te faire foutre. Si tu es ici, tu connais son nom. Et à lui seul, il devrait transformer en glace la pisse qu'il y a en toi.
    - Très bien. J'ignorais qu'il y avait un familier. Depuis combien de temps es-tu à son service ?
    - Et si tu me donnais un petit quelques chose d'abord ? Histoire que je puisse lui dire qui lui a rendu visite ? Ou alors tu as une carte à laisser sur le guéridon avant de décarrer ?
    - Hum. Dis à maitresse Black que mon nom est Laurent Lévêque de Pont-L'évêque. C'est in nom dont elle se souvient.




    Malaise au pays d’Alice


    <image> Une participante du CdL a chanté les louanges de Laurent Gaudé la dernières fois (Salina mais j’y reviendrai). Je me suis donc décidé et me suis lancé… J’étais dans une phase théâtre, je me suis dis pourquoi pas Cendres sur les mains suivi de Sofia douleur de Laurent Gaudé Mais je n’aurais pas du y aller à l’aveugle…
    Mais commençons dans l’ordre avec Cendres sur les mains :
    Dans un pays dévasté par la guerre, deux hommes sont chargés de brûler les corps. Une femme, laissée pour morte, se relève. Ils la nourrissent, prennent soin d'elle, lui demandent d'entretenir le bûcher. Elle ne leur parle pas, ne s'adresse qu'aux défunts.
    Le début était prometteur, je pensais que l’ambiance serait porteuse. Sur l’ambiance je ne m’étais pas trompé, c’est le point fort de cette pièce : très grise, très lourde. On en ressent le poids sur les épaules. L’opposition entre les deux hommes d’un côté et la femme de l’autre est très forte et prend au ventre. Surtout les monologues de cette dernière. Mais je ne suis pas certain d’avoir bien compris le message, j’en suis sorti avec des questions et une sensation de flou… J’ai du loupé quelque chose…

    Et terminons avec Sofia douleur :
    Sofia a le diable au corps. Elle est née ainsi, avec un appétit profond de jouissance. Ses trois mères, scandalisées par ce dérèglement obscène, la mutilent et la bannissent.
    Et là… J’ai été complètement perdu… Je pense avoir une idée de ce que cette pièce exprime mais je en suis même pas certain vu sa forme… Sofia va être punie pour la découverte de son corps et de sa sexualité. Mais cette punition à pour conséquence que Sofia devient perdue, inconnue à elle-même, déboussolée, ne sachant que faire ni ou aller… et va rencontrer bon nombre de personnages loufoques, dignes du pays des merveilles, dont certaines symboliques sont évidentes et d’autres m’échappent (je ne suis qu’un homme)… Laurent Gaudé veut sans doute montrer les nombreux problèmes/traumas/risques rencontrés durant la vie d’une femme mais moi qui n’ai pas supporté la lecture d’Alice au pays des merveilles je ne pouvais pas accroché à cette forme symbolique à laquelle je n’ai pas tout compris… Je ne sais pas vraiment ce que j’ai lu mais ne demande pas mieux si quelqu’un peut venir éclairer ma lanterne (rouge en l’occurrence)…

    Ils les jettent. Sans ménagement. Ils n'y pensent même pas. Moi, je regarde ces corps, étendus là, les jambes pliées, un bras derrière le dos, parfois. Comme désarticulés. Je les regarde. Je m'en approche. Je ne peux pas les laisser. Comme ça. Tordus. Je m'approche. Je les remets comme il faut. Mais ça ne suffit pas.




    Digne du premier


    <image> Là encore j’ai lu le premier tome il n’y a pas si longtemps. Et je m’étais ré-ga-lé !
    Du coup, c’est au tour de Faut pas prendre les cons pour des gens, tome 2 de Emmanuel Reuzé et Nicolas Rouhaud !
    J’y suis allé en pleine confiance puisque le premier avait été un pur bonheur d’humour absurde. Et ce tome-ci prolonge le plaisir de la situation décalée voire absurde !
    A nouveau le genre de BD qui devrait plaire aux amateurs de l’humour de Fabcaro par exemple ! Si c’est votre cas, foncez !

    - Les manifestants s'en sont pris aux signes extérieurs de richesse, ils ont brûlé toutes les autos de luxe du quartier !
    - Mais... regarde ! Ma Ferrari est intacte, quelle horreur ! Tu crois qu'elle ne fait pas assez riche ? Que vont penser les voisins en voyant ma Ferrari intacte, que je suis un prolo ?!... On va être la risée du quartier !
    - Les Dupont de Moncourt se sont même fait brûler leurs deux autos !
    - Quels crâneurs !
    - Je savais que tu aurais dû acheter celle avec un aileron, c'est tout de suite plus tape-à-l'oeil !
    - Parce que tu crois qu'ils y connaissent quelque chose en Ferrari, les prolétaires ?! Arriérés de gauchistes, ça veut faire la révolution et c'est pas foutu de mettre le feu à une bagnole !
    - On ne peut compter sur personne !

  • Grimhilde

    Serial lecteur

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    #1366 22 Novembre 2020 23:25:13

    Coucou par ici !

    J'espère que tu vas bien.

    Tes dernières lectures sont plutôt intrigantes, surtout les Gaudé et Crève mon amour que je ne connaissais pas. Je vois que toutes ne t'ont pas plu.

    Pour les romans graphiques/BD/mangas je suis comme toi : si le graphisme ne me plait pas j'ai beaucoup de mal à rentrer dedans, à apprécier ma lecture, voire à aller vers le livre tout court. C'est ce qui fait que je n'ai jamais emprunté Maus (bien qu'il ait toujours été en tête de gondole au CDI), jamais terminé Le rapport de Brodeck de Manu Larcenet (énormément d'à plats de noir, pfff) mais qu'en revanche j'ai adoré Moi ce que j'aime c'est les monstres ou encore L'âge d'or ou Bride stories. Garfield est ma seule exception à la règle :lol:

    Depuis que tu as parlé de Black Magick je suis bien tentée mais je ne l'ai pas trouvé en bibliothèque encore =)

    Bonnes lectures à toi.
  • Miyuki_

    Parent d une bébé PAL

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    #1367 23 Novembre 2020 06:51:43

    Hello !

    Je ne suis pas une grande fan de Laurent Gaudé. J'ai été absolument traumatisée par La porte des enfers et je n'ai pas accroché à la tournure prise par L'Eldorado. Donc pas sûre d'aller lire un autre livre de cet auteur ...

    Il faut pas prendre les cons pour des gens, je l'avais vu en librairie ! Mais, je n'achète pas de BD, je préfère les emprunter sauf quand je tombe sur Shangri-La à 10 euros en méga bon état et que je cherchais ce roman graphique depuis mille lune XD et j'espère qu'un jour, je le trouverai dans le catalogue de ma bibliothèque, il a l'air super fun.

    Et puis Maus, j'étais dégoûtée parce qu'au moment où je le découvre, ma bibliothèque me fait savoir qu'il a quitté le catalogue pour ne plus y revenir :'S Je vais essayer de trouver une intégrale en occasion ou en troc sur le fofo mais, c'est pas gagné :euhnon:

  • Cervus

    Lecteur fou

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    #1368 24 Novembre 2020 22:05:35

    Bien le bonjour/bonsoir tout le monde !

    J’espère que vous allez bien !

    Oui oui je suis de retour, avec des bouts de ficelles et brols raccommodés mais de retour quand même…
    Je vais tant bien que mal tenter de me remettre à jour dans les lectures. J’ai déjà commencé avec les lectures d’une phase qui ne fut pas terrible comme vous avez pu le lire. Mais il y a du plus positif qui arrive ! :D
    Par contre, sur le plan acquisitions, je vais redémarrer de zéro plutôt que de tenter de rattraper le retard ! :D

    Niveau lectures actuelles :
    - « Passe-moi le champagne, j’ai un chat dans la gorge » de Loïc Prigent : Oui vous avez bien lu ! C’est tout le ‘’plaisir’’, toute la drôlerie de ce livre – ce sont des ‘’perles’’ du milieu de la mode récoltées par Loïc Prigent. J’avoue que pour certaines on ne sait s’il faut rire ou pleurer… J’ai mesuré à quel point c’est un monde à des années-lumière de notre monde… (ça me rappelle la semble-t-il ‘’pertinence’’ de 99 Francs mais sans le recul et sans le degré cynique pour pouvoir tenter de relativiser). Je l’aurai fini d’ici très peu de temps…
    - Mademoiselle S : lettres d’amour de 1928-1930 de S. : Je m’étais promis de le finir cette année car je le trouvais un peu répétitif mais voilà qu’à peine quelques pages après ma reprise, les choses bougent, la relations remue, des questions se posent. Ca devient plus facile de se replonger dedans du coup. Une lecture toujours aussi particulière. Je pense la finir d’ici la semaine prochaine.
    - Le nom de la rose de Umberto Eco : On attaque là, l’élément perturbateur en ce  moment… Une LC lancée avec @Luhnatic. Mais la plume est lourde surtout de détails notamment d’architecture. La progression est extrêmement lente. Le contexte historique n’est pas des plus évidents non plus il faut le reconnaître. Ce qui fait que je ne sais pas si j’oserai entamer un autre livre après la fin des deux autres en parallèle de celui-ci… Car autant le dire : Un autre pavé m’attend en LC début décembre : Les enfants de Venise

    Je me suis déjà un peu penché sur mon bilan lecture de l’année 2020. Je prends un peu les devants…

    Je vous souhaite de belles lectures ! ^^



    Hello Caty ! ^^

    J’ai des (pas très) hauts et des (parfois très) bas. Disons que ça va aujourd’hui. ^^
    M’être remis à l’écriture ne fait pas de tort en tout cas. ;)

    Disons que Gaudé, si je n’avais pas eu l’éloge au CdL et donc la certitude que je lirais Salina. Je pense que ça aurait pu se terminer là. Avec cette lecture… :goutte: Et ça aurait été tellement dommage (mais j’en reparlerai plus tard lorsque j’aurai écrit sur Salina) !

    Pour Crève mon amour, c’est vraiment la plume qui coince. Mais @Premiere-Neige l’a lu aussi si j’ai bonne mémoire.

    C’est drôle que tu parles de Manu Larcenet car, malgré que je comprenne qu’on n’aime pas, j’adore son style ! J’ai d’ailleurs hâte de lire Le rapport de Brodeck justement ! :D

    Oh mais tu as raison, il faut lire Black Magick ! ;) Le seul vrai point négatif ça va être d’attendre la suite… :angel:

    De bonnes lectures et à très vite ! ;)




    Bonjour Miyuki-Panda

    Ce que tu dis de Laurent Gaudé ne m’étonne pas. D’ailleurs, j’ai eu une petite pensée pour toi en lisant Salina. Laurent Gaudé n’est pas un tendre. Je pense (je ne l’ai pas encore décortiqué complètement) que ça fait partie des choses qui me plaisent chez lui : une façon de traiter le sujet sans détour, ni demi-mesure. Donc je comprends tout à fait ce qui peut te déplaire dans son genre. Vu que la première lecture ne fut pas terrible et la seconde extraordinaire, j’ai hâte d’en lire d’autre de sa plume pour trancher. ^^ La porte des enfers et L'Eldorado m’attendent d’ailleurs dans ma pàl justement.

    Ah oui, c’était ma décision aussi il y a quelques années mais j’ai changé d’avis et à présent j’achète des BDs et des Comics (pas de mangas par contre). :goutte: :D
    Oui il est super fun oui vu que tu aimes Fabcaro ! :D

    Oh ça ne devrait pas être trop compliqué de trouvé Maüs car c’est un réel classique graphique.
    Par contre, je m’étonne que la bibliothèque ne puisse pas le ‘’commander dans d’autres bibliothèques’’. Par chez moi, certaines bibliothèques font des emprunts entre elles. Je ne comprends pas pourquoi ce ne serait pas possible pour celui-ci…

    Je te souhaite de bonnes lectures et te dis à bientôt. ;)

  • Melody Pond

    Lecteur-express

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    #1369 25 Novembre 2020 15:10:06

    Hey hey !

    On revient sur le forum plus ou moins en même temps.
    Je n'ai pas eu de problèmes techniques, juste un problème de motivation. =D

    Je ne connais aucune de tes lectures en cours, à part Le nom de la rose et tu sais déjà ce que j'en pense.
    Je n'en peux déjà plus de parler de ce bouquin. :lol:
    Et ne t'inquiète pas, même si c'est un pavé, Les enfants de Venise est bien plus agréable à lire (enfin, pour moi ça l'était :D)

    A bientôt !

  • Mypianocanta

    Gardien du savoir

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    #1370 25 Novembre 2020 17:30:56

    IL faut s'accrocher un peu pour Le nom de la Rose mais il vaut le coup ; alors courage :pompom: