Bonjour !
Suite à mon dernier message, vous avez créé
cette fiche pour déplacer une édition d'une autre fiche. J'aimerais rajouter trois détails :
- la collection précise à laquelle appartient cette édition est GF
- le livre a été publié en 1762
- la bonne 4eme de couverture est :
Nous voyons aujourd'hui l'Emile comme une anticipation révolutionnaire des méthodes nouvelles en éducation. Mais, en 1762, sa publication et son succès mettent le feu aux poudres : la façon dont Rousseau y nie le péché originel lui vaut condamnation de l'Eglise. Convaincu d'une forme de bonté naturelle de l'enfant, que n'aurait pas encore pervertie la société humaine, Rousseau en vient à l'idée que l'enfance est un moment essentiel de l'existence et que son développement obéit à des lois générales sur lesquelles tout bon pédagogue devrait s'appuyer.
Les deux premiers livres de l' Emile portent sur les deux stades initiaux de l'enfance (de la naissance à 2 ans et de 2 à 12 ans), au cours desquels la pédagogie est, d'emblée, un enjeu des plus sérieux. Mettant en scène un gouverneur et son jeune élève à travers une narration théorique d'une infinie richesse, Rousseau nous donne à penser les questions les plus cruciales soulevées par toute réflexion sur l'enfance.
J'ai également une autre correction à demander :
Sur
cette fiche, comme pour le livre précédent, l'édition Flammarion de 2020 est un extrait de l'œuvre globale (livres IV et V), serait-il possible de lui faire une fiche à part ? De même, c'est également la collection GF, et la bonne quatrième de couverture est :
"Qu'est-ce que les Contemplations ? C'est ce qu'on pourrait appeler, si le mot n'avait quelque prétention, les Mémoires d'une âme" (Préface).
Peu d'œuvres poétiques se réfèrent plus ouvertement à leur contexte historique et biographique que celle-ci. Publiées en 1856, Les Contemplations portent la marque d'un double deuil : la perte de la fille du poète, Léopoldine, et la mort symbolique que représente l'exil. Mais ce qui s'y joue touche à la puissance de la parole poétique : par la contemplation, plongée aux tréfonds de soi d'où doit émerger la poésie, Hugo fait du déchirement un acte créateur et du verbe lyrique l'instrument d'une recherche d'absolu.
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Edit : oupsi il existe déjà
une fiche pour les livres IV et V avec cette édition dedans, donc ça fait un doublon eheh (bon après sur cette fiche y'a pas la bonne date, pas le bon nombre de pages et c'est pas le bon éditeur non plus)
Aussi, cette même fiche est intégrée à
une saga qui présente deux volumes, mais ces deux volumes ont le livre IV en commun (I-IV, IV-V), ce qui est bizarre je trouve :/ je sais pas si vous voulez y faire quelque chose
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Voili voualou, merci d'avance et bonne fin de wk <3 (vous faites un super boulot !)