Synopsis
On sait que le pétrole viendra à manquer un jour. D’ici 20 ans, 50 ans, 100 ans? La date butoir n’est pas encore fixée. Mais si les stocks de pétrole n’en avaient plus que pour quelques mois, à quoi ressemblerait la vie quotidienne? C’est ce que tente d’imaginer Hervé Bourhis dans La Main verte.
L’auteur de Comix Remix (une histoire décalée de super-héros) et d’Un enterrement de vie de jeune fille (une comédie sombre) donne cette fois dans la science-fiction pas si fictionnelle, sur un sujet brûlant: la crise énergétique. Il met en scène un auteur de BD contraint de devenir vélo-taxi dans une ville française où les emplois manquent et les denrées premières sont devenues hors de prix, en raison du coût du transport. On y croise des militants UMP fermiers adeptes du « élever plus pour gagner plus », une bourgeoise en manque de sexe, des cultivateurs de luzerne OGM armés jusqu’aux dents, des militants écolos tout aussi armés et des tomates à 50 € le kilo.
Mais c’est aussi l’histoire d’un jeune père de famille devant faire face à la frustration de son épouse, aux questions innocentes de son fils et à la relation distante qu’il entretient avec son propre père. Le tout raconté avec le ton doux-amer et le dessin léger propres à l’auteur. Rendez-vous donc pour une apologie du potager individuel.
L’auteur de Comix Remix (une histoire décalée de super-héros) et d’Un enterrement de vie de jeune fille (une comédie sombre) donne cette fois dans la science-fiction pas si fictionnelle, sur un sujet brûlant: la crise énergétique. Il met en scène un auteur de BD contraint de devenir vélo-taxi dans une ville française où les emplois manquent et les denrées premières sont devenues hors de prix, en raison du coût du transport. On y croise des militants UMP fermiers adeptes du « élever plus pour gagner plus », une bourgeoise en manque de sexe, des cultivateurs de luzerne OGM armés jusqu’aux dents, des militants écolos tout aussi armés et des tomates à 50 € le kilo.
Mais c’est aussi l’histoire d’un jeune père de famille devant faire face à la frustration de son épouse, aux questions innocentes de son fils et à la relation distante qu’il entretient avec son propre père. Le tout raconté avec le ton doux-amer et le dessin léger propres à l’auteur. Rendez-vous donc pour une apologie du potager individuel.
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L'histoire est vraiment bien comme le dessin mais j'ai trouvé le héros assez antipathique et agaçant dommage.