Synopsis
Lorsque les habitants d'El Idilio découvrent dans une pirogue le cadavre d'un homme blond assassiné, ils n'hésitent pas à accuser les Indiens de meurtre. Seul Antonio José Bolivar déchiffre dans l'étrange blessure la marque d'un félin. Il a longuement vécu avec les Shuars, connaît, respecte la forêt amazonienne et a une passion pour les romans d'amour. En se lançant à la poursuite du fauve, Antonio José Bolivar nous entraîne dans un conte magique, un hymne aux hommes d'Amazonie dont la survie même est aujourd'hui menacée.
Titre original : Un viejo que leía novelas de amor (1992)
Moyenne
15.5
765 votes
BON
15 éditions pour ce livre
2020 Editions Points
Traduit par François Maspero
144 pages
ISBN : 9782757886250
2004 Editions Métailié
Traduit par François Maspero
140 pages
1er janvier 1992
ISBN : 9782864248712
2002 Editions À vue d'oeil
Traduit par François Maspero
234 pages
ISBN : 2846660441
1994 Editions Points
Traduit par François Maspero
130 pages
ISBN : 2757862421
2014 Editions Audiolib
Lu par Feodor Atkine
Durée : 201 min
3 décembre 2014
ISBN : 9782356417145
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106 commentaires
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Je m'attendai à mieux au vu de tous les éloges que j'avais entendus. Je ne nie pas qu'une fois rentrés dans l'histoire on soit plongé dans un univers quasiment onirique, mais cela n'a pas fonctionné avec moi, la magie n'a pas opéré car je trouvais que le "texte", l'histoire était lent à se mettre en place. Néanmoins il y a un message fort concernant le respect de la nature, parfois cruelle...
Ce livre j'ai devait le lire dans le cadre scolaire ; je n'ai tellement pas apprécié que j'ai lu seulement les 3 premiers chapitres
Une histoire assez dure mais un seul passage (celui de la poursuite du prédateur) vaut la lecture de tout ce roman. Un coup de coeur.
Une lecture agréable mais je suis un peu déçue : je m'attendais à être vraiment émue et finalement, il n'y a pas eu l'étincelle nécessaire. Il s'agit cependant d'un bel hommage à l'Amazonie, magnifique et cruelle.
Magnifique histoire qui fait réfléchir sur la colonisation, la déforestation, la violence faite aux animaux. Du très bon Sepulvedda