Synopsis
Yashiro, un masochiste totalement dépravé, patron d’un clan de yakuza et de la société de finance Shinsei, embauche comme garde du corps Chikara Dômeki, un homme taciturne et peu bavard. Yashiro tombe peu à peu sous le charme taciturne de Dômeki, mais ce dernier reste impassible aux avances de son patron. C'est le début d'une histoire oppressante entre Yashiro qui ne parvient pas à surmonter ses traumatismes d'enfance et Dômeki qui tout en obéissant sans mot dire aux ordres de son patron, cache au fond de lui une cicatrice plus profonde...
Titre original : Saezuru tori wa habatakanai, book 1 (2011)
Moyenne
17.0
50 votes
TRES BON
1 édition pour ce livre
Qui a lu ce livre ?
85 membres ont lu ce livre
Aucun membre ne lit ce livre
32 membres veulent lire ce livre
61 membres possèdent ce livre
chronique de blog
Aucune chronique de blog pour le moment.
En vous inscrivant à Livraddict, vous pourrez partager vos chroniques de blog !
Pour poster un message, il faut être inscrit sur Livraddict
On se retrouve au milieu de guerres de clans yakuzas ou violences, sexes extrêmes et meurtres sont monnaie courante avec deux personnages meurtris par leur passé. Un addict au sexe et masochiste et un autre impuissant, à la dérive et qui vont se séduire au milieu du sang et des règlements de compte. C'est sombre, fascinant et sans temps mort et prenant.
Ce 1er tome pourrait en dissuader plus d’un, il n’est pas très engageant à première vue à cause de ses persos borderline et ses scènes érotiques par forcément pertinentes. L'univers est sombre. Pourtant vous pourriez passer à côté d’une histoire bien plus complexe et travaillée qu'il n’y parait. J'ai aimé la psycho et le récit des persos principaux qu'on découvre petit à petit. Yaoi à découvrir.
Quelle superbe découverte, j'ai adoré du début à la fin de ce premier volume. Cette mise en place de l'univers est juste parfaite et les graphismes juste magnifique... vivement la suite.
Yoneda Kou est à l'heure actuelle l'une des meilleures auteures de yaoi sur le marché. Elle sait écrire des histoires, de vraies histoires (ici, avec des yakuzas), sans perdre de vue l'équilibre entre sensibilité et masculinité. Twittering birds never fly est une série à suivre, c'est un chef d'oeuvre d'ambiguïté morale et sentimentale.