Synopsis
C'est l'histoire d'un soldat qui court ; un petit soldat qui court toujours. Le voilà rencontrant le Vieux qui lui échange un livre qui vaut de l'or contre son petit violon à 10 francs. De l'or pour 10 francs, je vous dis ! Exactement ! Alors le petit soldat s'en retourne chez lui tout content, mais personne ne le reconnaît. Lui, petit bout d'homme que tout le monde a oublié jusqu'à sa tendre moitié, remariée pour cause d'absence prolongée.
Allant maudire le vieil homme, notre soldat prend conscience du pouvoir de l'argent et de son influence sur le temps. Ne sachant que faire, il devient l'homme le plus puissant de la Terre. Reste que l'argent ne lui rend pas le Bonheur et pour guérir la princesse, il faudrait des notes, de belles notes toutes rondes de mélodie.
Seulement, son violon, il l'a refilé au vieux monsieur. Il a troqué amour-toujours contre argent-vulgaire. Ah comment faire ? Comment faire pour revenir en arrière ?
En voilà un drôle de conte ! Ecrit par Charles-Ferdinand Ramuz, c'est à l'origine une pièce de théâtre mise en musique par Stravinsky. Un drôle de conte vraiment ! Un conte dans lequel le bonheur semble échapper à ceux qui délaissent l'art au profit de l'argent. Casanave redonne, au travers de ses dessins faussement maladroits un nouveau souffle à ce texte du début du XXème siècle. Presque un siècle après, nous ne pouvons qu'être étonnés par la force intemporelle d'une telle histoire, où l'individu se retrouve plus que jamais transformé en porte-monnaie.
Allant maudire le vieil homme, notre soldat prend conscience du pouvoir de l'argent et de son influence sur le temps. Ne sachant que faire, il devient l'homme le plus puissant de la Terre. Reste que l'argent ne lui rend pas le Bonheur et pour guérir la princesse, il faudrait des notes, de belles notes toutes rondes de mélodie.
Seulement, son violon, il l'a refilé au vieux monsieur. Il a troqué amour-toujours contre argent-vulgaire. Ah comment faire ? Comment faire pour revenir en arrière ?
En voilà un drôle de conte ! Ecrit par Charles-Ferdinand Ramuz, c'est à l'origine une pièce de théâtre mise en musique par Stravinsky. Un drôle de conte vraiment ! Un conte dans lequel le bonheur semble échapper à ceux qui délaissent l'art au profit de l'argent. Casanave redonne, au travers de ses dessins faussement maladroits un nouveau souffle à ce texte du début du XXème siècle. Presque un siècle après, nous ne pouvons qu'être étonnés par la force intemporelle d'une telle histoire, où l'individu se retrouve plus que jamais transformé en porte-monnaie.
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2005 
Editions 6 pieds sous terre (Blanche)
63 pages
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