Synopsis
Moyenne
14.2
40 votes
MOYEN
4 éditions pour ce livre
2021
Editions Belin / Gallimard (Classico - Lycée)
320 pages
18 mai 2021
ISBN : 9791035817213
1996
Editions Folio
248 pages
1996
Editions Folio
248 pages
ISBN : 9782070401185
2004
Editions Gallimard (Écoutez lire)
Lu par André Marcon, François Marthouret et Thibault de Montalembert
Durée : 140 min
ISBN : 9782070569755
Qui a lu ce livre ?
73 membres ont lu ce livre
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118 membres possèdent ce livre
3 chroniques de blog
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26 Mai 2017Aiko16 / 20Lire la chronique
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11 Décembre 2015BlueMoon16 / 20Lire la chronique
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03 Décembre 2010achille49Lire la chronique
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9 commentaires
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8 / 20 Le 05 Avril 2022 à 15:58 Alex-Mot-à-Mots
Je me faisais une joie de découvrir ces vies minuscules.
La première vie, celle d'André Dufourneau, m'a plu. J'ai aimé son message : on retrouve toujours ce que l'on fuit.
Je m'attendais à aussi bien pour la seconde vie, mais le style trop ampoulé et sans respiration m'a lassé.
Oui, les phrases sont belles, travaillées, mais alignées les unes à la suite des autres, c'était trop.
Un RDV raté. -
16 / 20 Le 11 Mars 2020 à 08:01 Yukiness
Une belle ambition : celle de faire vivre un peu plus longtemps ceux dont les vies auraient pu tomber dans l’oubli. Ces vies minuscules se dégustent, chaque mot est poésie. Le style est très beau sans être grandiloquent. C’est authentique et très fin, économe mais très riche. Une lecture apaisée et hors du temps.
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15 / 20 Le 19 Février 2019 à 11:35 LaurineR
Un concept touchant puisque ces "vies minuscules" racontent celles de personnes ayant vraiment vécues et qui ont gravité autour de Michon. Certes l'écritures est dense mais poétique, ce qui m'a beaucoup plu !
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14 / 20 Le 01 Février 2019 à 17:32 Elouan
Trop conscient de son talent d'écriture ? (Michon est vraiment doué en effet) on frôle parfois le morceau de bravoure. Ça va jusqu'à camoufler un peu le contenu...
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16 / 20 Le 14 Août 2018 à 10:55 enirehtac
C’est un chatoiement de couleurs de langue. Une langue à oraliser absolument pour bien l’entendre, au risque sinon de s’y noyer. C’est une écriture complexe et parfois sublime. Très autobiographique et comme venue des cieux. Ou d’outre-tombe. Ou les deux. Je n’ai pas tout aimé mais adoré « vie d’Eugène et Clara », « vie de Georges Bandy » et « vie de la petite morte »
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